[Hustvedt, Siri] Elégie d'un Américain
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Votre avis " Elégie d'un Américain" de Siri Hustvedt
[Hustvedt, Siri] Elégie d'un Américain
Elégie d'un Américain
Auteur : Siri Hustvedt
Editeur : Actes sud
Nombre de pages : 392
Quatriéme de couverture :
De retour à New-York aprés l'enterrement de leur pére, dans le Minnesota Erik Davidsen, psychiatre divorcé, et sa soeur Hinga, veuve dévasté et récente d'un écrivain célébre, découvrent la lettre qu'une femme a jadis adressée au disparu et par laquelle ils apprennent que leur pére aurait naguére été impliqué dans un mort mystérieuse. Dés lors, dans une amérique toujours traumatisé par les événements du 11 septembre survenus quatre ans plus tôt, tous les personnages que gravitent autour de la famille Davidsen vont, de proche ne proche, être amenés à se confronter à la part la plus opaque de leur être.
Appréciation :
Je suis désolé mais je n'ai pas pu le finir pourtant j'en ai lu les 3/4 mais j'ai abandonné hier soir dans la derniére ligne droite, pourtant j'avais vraiment envie de connaitre cette auteur mais je lui préfére son mari Mr Paul Auster.
J'ai trouvé l'histoire lonnnnnnnnnnnnnnngue et très embrouillé.
Ma note : Pas de note
Invité- Invité
Re: [Hustvedt, Siri] Elégie d'un Américain
Dans ce genre de cas, je me console en me disant que j'apprécierai d'autant plus le prochain livre que je lirai.
Invité- Invité
Re: [Hustvedt, Siri] Elégie d'un Américain
Pas grave Lisalor ça arrive, j'en sais quelque chose surtout en ce moment, comme dit Olorin le prochain sera meilleur
J'avais vu la présentation de ce livre dans l'émission Télématin, j'avais pas du tout été emballée, ça confirme mon impression
J'avais vu la présentation de ce livre dans l'émission Télématin, j'avais pas du tout été emballée, ça confirme mon impression
audreyzaz- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 3345
Age : 38
Localisation : Région parisienne (92)
Genre littéraire préféré : Un peu de tout
Date d'inscription : 03/06/2008
Re: [Hustvedt, Siri] Elégie d'un Américain
A l'occasion d'un déménagement, j'ai trié mes livres et suis tombée sur ce roman de Siri Hustvedt que je ne me souvenais pas avoir dans ma bibliothèque. Il m'a fallu au moins cinquante pages pour me rendre compte que je l'avais déjà lu ! Un deuxième passage n'a pas fait de mal à ma mémoire défaillante.
Si vous n'aimez pas New York, les secrets de famille, l'art contemporain et les poupées, passez votre chemin, et oubliez l'auteure. Siri Hustvedt a ses marottes, que l'on retrouve d'un livre à l'autre, et cette impression de déjà vu n'est pas désagréable, pour peu qu'on apprécie l'ambiance "galerie d'art à Manhattan".
J'ai sans doute préféré Tout ce que j'aimais, qui était ma première rencontre avec Siri Hustvedt, ainsi qu'Un été sans les hommes et Un monde flamboyant pour leur dimension féministe.
Si cette Élégie pour un Américain m'a moins parlé, c'est sans doute à cause de mes lacunes en histoire. Le père du narrateur, vétéran, est hanté par ses souvenirs de soldat en Asie. Il m'a fallu m'accrocher pour garder le fil de ces récits. Pourtant on ne peut pas les accuser de sonner faux : Siri Hustvedt a directement reproduit les carnets de son propre père.
Je me suis sentie plus concernée par le volet contemporain et new-yorkais de l'intrigue. Celui-ci gravite autour de la mystérieuse Miranda, qui emménage avec sa petite Eglantine dans l'appartement au-dessous de celui du narrateur. Assez vite, Erik tombe sous leur charme et se retrouve empêtré dans leurs ennuis. En parallèle, on suit Inga, la sœur du narrateur, veuve d'un écrivain célèbre et écrivain elle-même. Elle est entourée, mais ne sait jamais si l'affection de ses proches s'adresse vraiment à elle ou à la légende de son défunt époux. Elle préfigure en quelque sorte l'héroïne d'Un monde flamboyant et je l'ai trouvée touchante.
Frère et sœur sont confrontés à nombre de situations stressantes et de personnages inquiétants au cours de ce livre, ce qui explique sûrement pourquoi je l'avais lu mille fois trop vite et aussitôt oublié. C'est pourtant un ouvrage intelligent, subtil et dérangeant. J'ai apprécié cette relecture au cours de laquelle j'ai prêté plus d'attention à chacun des personnages (et j'ai quand même profité en grande partie du suspense).
Si vous n'aimez pas New York, les secrets de famille, l'art contemporain et les poupées, passez votre chemin, et oubliez l'auteure. Siri Hustvedt a ses marottes, que l'on retrouve d'un livre à l'autre, et cette impression de déjà vu n'est pas désagréable, pour peu qu'on apprécie l'ambiance "galerie d'art à Manhattan".
J'ai sans doute préféré Tout ce que j'aimais, qui était ma première rencontre avec Siri Hustvedt, ainsi qu'Un été sans les hommes et Un monde flamboyant pour leur dimension féministe.
Si cette Élégie pour un Américain m'a moins parlé, c'est sans doute à cause de mes lacunes en histoire. Le père du narrateur, vétéran, est hanté par ses souvenirs de soldat en Asie. Il m'a fallu m'accrocher pour garder le fil de ces récits. Pourtant on ne peut pas les accuser de sonner faux : Siri Hustvedt a directement reproduit les carnets de son propre père.
Je me suis sentie plus concernée par le volet contemporain et new-yorkais de l'intrigue. Celui-ci gravite autour de la mystérieuse Miranda, qui emménage avec sa petite Eglantine dans l'appartement au-dessous de celui du narrateur. Assez vite, Erik tombe sous leur charme et se retrouve empêtré dans leurs ennuis. En parallèle, on suit Inga, la sœur du narrateur, veuve d'un écrivain célèbre et écrivain elle-même. Elle est entourée, mais ne sait jamais si l'affection de ses proches s'adresse vraiment à elle ou à la légende de son défunt époux. Elle préfigure en quelque sorte l'héroïne d'Un monde flamboyant et je l'ai trouvée touchante.
Frère et sœur sont confrontés à nombre de situations stressantes et de personnages inquiétants au cours de ce livre, ce qui explique sûrement pourquoi je l'avais lu mille fois trop vite et aussitôt oublié. C'est pourtant un ouvrage intelligent, subtil et dérangeant. J'ai apprécié cette relecture au cours de laquelle j'ai prêté plus d'attention à chacun des personnages (et j'ai quand même profité en grande partie du suspense).
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