[Grémillon, Hélène] La garçonnière
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[Grémillon, Hélène] La garçonnière
[Grémillon, Hélène] La garçonnière
[Grémillon, Hélène]
La garçonnière
Flammarion septembre 2013
ISBN 978 2 0813 0887 9
354 pages
Quatrième de couverture
Ce roman est inspiré d une histoire vraie. Les événements se déroulent en Argentine, à Buenos Aires. Nous sommes en août 1987. C est l hiver. Les saisons ne sont pas les mêmes partout.
Les êtres humains, si.
Ma chronique
Nous voici donc à Buenos Aires, ou Vittorio Puig psychanalyste est accusé du meurtre par défenestration de sa femme Lisandra, danseuse de tango. La mésentente du couple est certaine pour les voisins. Mais Eva Maria, l’une de ses patientes, qui ne se remet pas de la disparition de sa fille, sans doute tuée par la junte après le coup d’Etat de 1976, croit en son innocence et décide de mener sa propre enquête et soutenir Puig. Plusieurs personnes sont tout de même soupçonnées, dont des femmes et un certain Felipe, ancien sbyre de la junte. Mais peu à peu Vittorio et Lisandra apparaissent sous un nouveau jour, Eva Maria doute, le meurtrier est peut-être un patient de Puig…..Certainement le pire va arriver mais ce n’est pas ce qu’Eva Maria imaginait….
Mon avis
Deux portraits de femmes dans ce roman, celui de Lisandra, une femme fragile avec ses errements, sa jalousie, sa danse du tango tragique. Eva Maria, femme volontaire et alcoolique. Un roman passionnant et envoûtant, des passages vifs, des réflexions pertinentes sur la maternité, la jalousie, le couple et l’infidélité. Une histoire fascinante qu’on lâche difficilement, c’est avec ce polar et un grand mélodrame criminel qu’Hélène Grémillon nous conduit jusqu’au dénouement surprenant et terrible. Tous les éléments du roman m’ont passionnée, ce sera donc un coup de cœur. 5/5
La garçonnière
Flammarion septembre 2013
ISBN 978 2 0813 0887 9
354 pages
Quatrième de couverture
Ce roman est inspiré d une histoire vraie. Les événements se déroulent en Argentine, à Buenos Aires. Nous sommes en août 1987. C est l hiver. Les saisons ne sont pas les mêmes partout.
Les êtres humains, si.
Ma chronique
Nous voici donc à Buenos Aires, ou Vittorio Puig psychanalyste est accusé du meurtre par défenestration de sa femme Lisandra, danseuse de tango. La mésentente du couple est certaine pour les voisins. Mais Eva Maria, l’une de ses patientes, qui ne se remet pas de la disparition de sa fille, sans doute tuée par la junte après le coup d’Etat de 1976, croit en son innocence et décide de mener sa propre enquête et soutenir Puig. Plusieurs personnes sont tout de même soupçonnées, dont des femmes et un certain Felipe, ancien sbyre de la junte. Mais peu à peu Vittorio et Lisandra apparaissent sous un nouveau jour, Eva Maria doute, le meurtrier est peut-être un patient de Puig…..Certainement le pire va arriver mais ce n’est pas ce qu’Eva Maria imaginait….
Mon avis
Deux portraits de femmes dans ce roman, celui de Lisandra, une femme fragile avec ses errements, sa jalousie, sa danse du tango tragique. Eva Maria, femme volontaire et alcoolique. Un roman passionnant et envoûtant, des passages vifs, des réflexions pertinentes sur la maternité, la jalousie, le couple et l’infidélité. Une histoire fascinante qu’on lâche difficilement, c’est avec ce polar et un grand mélodrame criminel qu’Hélène Grémillon nous conduit jusqu’au dénouement surprenant et terrible. Tous les éléments du roman m’ont passionnée, ce sera donc un coup de cœur. 5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Localisation : Liège (Belgique )
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Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
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Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Merci Lalyre pour ta critique
louloute- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Merci Lalyre ! J'avais adoré "Le confident", et ta critique me donne envie de lire ce roman-ci !
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Difficile de résister à ton avis Lalyre, je ne connais pas cette auteur.
Je le note ainsi que "Le confident" conseillé par Alizaryn.
Je le note ainsi que "Le confident" conseillé par Alizaryn.
chocolette- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 13/05/2011
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Mon avis : Un livre de la rentrée littéraire; comme j'avais bien aimé "Le confident", j'ai voulu me faire une autre idée de l'auteur. J'ai vraiment alterné les hauts et les bas avec cette lecture et je ne peux pas dire qu'elle m'a conquise.
Un soir en rentrant du cinéma Vittorio Puig, psychanalyste, retrouve sa femme Lisandra au pied de son immeuble, défenestrée. Accusé du meurtre, il est arrêté et emprisonné mais Eva Maria une de ses patientes persuadée de son innocence va mener son enquête.
J'ai bien aimé l'histoire principale : Eva Maria prend fait et cause pour Vittorio son psy et cherche par tous les moyens à le faire innocenter. J'ai apprécié les retranscriptions des patients, l'enquête et forcément le dénouement incroyable. Mais dommage , car elle est bâclée et se résume en deux pages comme si l'auteur voulait absolument se débarrasser d'une fin encombrante qui pour moi était la plus intéressante.
Par contre j'ai eu beaucoup de mal avec les passages sur Lisandra qui m'ont absolument ennuyée. Un condensé de sentiments indigestes, du sexe, de la jalousie et le sumum un index sur les différentes tendances sexuelles qui je n'ai pas lu tellement j'ai trouvé ce passage barbant.
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Eva Maria, sa fille est une victime de la dictature argentine, elle fait partie des 30000 disparus, c'est un personnage attachant quant à Vittorio et Lisandra, ils m'ont laissé complétement indifférente
Un soir en rentrant du cinéma Vittorio Puig, psychanalyste, retrouve sa femme Lisandra au pied de son immeuble, défenestrée. Accusé du meurtre, il est arrêté et emprisonné mais Eva Maria une de ses patientes persuadée de son innocence va mener son enquête.
J'ai bien aimé l'histoire principale : Eva Maria prend fait et cause pour Vittorio son psy et cherche par tous les moyens à le faire innocenter. J'ai apprécié les retranscriptions des patients, l'enquête et forcément le dénouement incroyable. Mais dommage , car elle est bâclée et se résume en deux pages comme si l'auteur voulait absolument se débarrasser d'une fin encombrante qui pour moi était la plus intéressante.
Par contre j'ai eu beaucoup de mal avec les passages sur Lisandra qui m'ont absolument ennuyée. Un condensé de sentiments indigestes, du sexe, de la jalousie et le sumum un index sur les différentes tendances sexuelles qui je n'ai pas lu tellement j'ai trouvé ce passage barbant.
J'ai beaucoup aimé le personnage d'Eva Maria, sa fille est une victime de la dictature argentine, elle fait partie des 30000 disparus, c'est un personnage attachant quant à Vittorio et Lisandra, ils m'ont laissé complétement indifférente
Invité- Invité
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Mon ressenti
C’est une histoire qui démarre sur une banale histoire de meurtre, enfin le croit-on. D’ailleurs, au début, j’étais avec la question du pourquoi… car rien n’est clair : meurtre ou suicide ? Toujours est-il que le coupable est derrière les barreaux…. Pas de dépistage, pas d’enquête… non, l’histoire est à l’envers de tout ce que je connais des policiers.
Le coupable un psychiatre, le détective une de ses patientes… au fil des pages, l’atmosphère s’alourdit, l’ambiance se fait pesante et il y a un je ne sais quoi qui s’insinue en vous. Surprenant comme impression. Et puis, il y a l’environnement de l’histoire, l’époque et l’Histoire de ce pays. Un policier seulement en surface, Hélène nous livre une trame passionnelle sur fond historique, un drame familial.
Comme une matriochka, l’auteur nous emmène dans un dédale de piste et de fausse piste jusqu’à l’apothéose qui scotche le lecteur. J’ai mis du temps à me débarrasser de cette sensation de malaise.
A découvrir
C’est une histoire qui démarre sur une banale histoire de meurtre, enfin le croit-on. D’ailleurs, au début, j’étais avec la question du pourquoi… car rien n’est clair : meurtre ou suicide ? Toujours est-il que le coupable est derrière les barreaux…. Pas de dépistage, pas d’enquête… non, l’histoire est à l’envers de tout ce que je connais des policiers.
Le coupable un psychiatre, le détective une de ses patientes… au fil des pages, l’atmosphère s’alourdit, l’ambiance se fait pesante et il y a un je ne sais quoi qui s’insinue en vous. Surprenant comme impression. Et puis, il y a l’environnement de l’histoire, l’époque et l’Histoire de ce pays. Un policier seulement en surface, Hélène nous livre une trame passionnelle sur fond historique, un drame familial.
Comme une matriochka, l’auteur nous emmène dans un dédale de piste et de fausse piste jusqu’à l’apothéose qui scotche le lecteur. J’ai mis du temps à me débarrasser de cette sensation de malaise.
A découvrir
Pinky- Grand sage du forum
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Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Je n'ai pas lu " Le confident," je note merci
lalyre- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Le docteur Vittorio Puig est arrêté pour le meurtre de son épouse Lisandra.
Eva Maria va mener son enquête pour essayer de le disculper.
Les histoires tragiques de chacun s' entrechoquent dans ce Buenos Aires de 1987.
Tous les personnages sont passionnants, l' auteur les raconte avec une plume superbe, chaque mot est juste.
Comment savoir si la personne assise en face de vous dans un bus, dans un café ou dans une salle d' attente est un bourreau ou une victime.
Comment faire la part des choses lorsqu' on a perdu le sel de sa vie.
Ce roman m' a profondément bouleversée.
Et les dix dernières pages ajoutent tant de cruauté...dans cet univers où le sublime est assis à côté du sordide.
Eva Maria va mener son enquête pour essayer de le disculper.
Les histoires tragiques de chacun s' entrechoquent dans ce Buenos Aires de 1987.
Tous les personnages sont passionnants, l' auteur les raconte avec une plume superbe, chaque mot est juste.
Comment savoir si la personne assise en face de vous dans un bus, dans un café ou dans une salle d' attente est un bourreau ou une victime.
Comment faire la part des choses lorsqu' on a perdu le sel de sa vie.
Ce roman m' a profondément bouleversée.
Et les dix dernières pages ajoutent tant de cruauté...dans cet univers où le sublime est assis à côté du sordide.
joëlle- Modérateur
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Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
J' espère que vous prendrez autant de plaisir à le lire que moi!Anne26 a écrit:Je l'ai commencé hier... Avis à suivre!
joëlle- Modérateur
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Nombre de messages : 9709
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Date d'inscription : 30/09/2013
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Pour l'instant, je me régale : pas de temps mort ni description interminable et un mystère à la clef. Tout ce que j'aime!
Invité- Invité
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Un coup de coeur pour moi!
Très bien construit, très bien écrit.
Un petit bijou qui nous tient en haleine pendant 350 pages. Des personnages consistants, riches, ambigus, pluriels, j'adore.
Très bien construit, très bien écrit.
Un petit bijou qui nous tient en haleine pendant 350 pages. Des personnages consistants, riches, ambigus, pluriels, j'adore.
Véronique M.- Grand sage du forum
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Age : 55
Localisation : 04
Emploi/loisirs : prof d'écoles/ lecture randonnée jeux de société, puzzles
Genre littéraire préféré : un peu de tout, romans en tous genres,biographies, essais mais pas trop la science fiction.
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Merci Veronique pour ta critique et aux autres
louloute- Grand sage du forum
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Age : 56
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
L'enquête passionnante menée par Eva Maria nous apporte à chaque chapitre une histoire émouvante, souvent dramatique, et un coupable potentiel.
Eva Maria se bat elle même contre ces propres démons et l'auteur nous rappelle les heures sombres de la dictature militaire en argentine.
Il s'agit également du drame d'un fils et de sa mère qui se sont éloignés, et que le dénouement, bien que profondément injuste, va finalement rapprocher .
Tout le long du livre, je me suis interrogée sur ce titre, "La garçonnière", c'est étrange, quel rapport avec l'histoire? L'explication arrive à la fin, et ce fut une grande claque!
Un roman d'une grande richesse, très dense, que j'ai adoré.
Eva Maria se bat elle même contre ces propres démons et l'auteur nous rappelle les heures sombres de la dictature militaire en argentine.
Il s'agit également du drame d'un fils et de sa mère qui se sont éloignés, et que le dénouement, bien que profondément injuste, va finalement rapprocher .
Tout le long du livre, je me suis interrogée sur ce titre, "La garçonnière", c'est étrange, quel rapport avec l'histoire? L'explication arrive à la fin, et ce fut une grande claque!
Un roman d'une grande richesse, très dense, que j'ai adoré.
Invité- Invité
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Merci Titibus pour ta critique
louloute- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 24595
Age : 56
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Mon avis
Mon avis est très mitigé après la lecture de ce roman.
J'ai apprécié le début, la fin, mais le reste m'a laissé perplexe avec une impression de « non abouti » comme si, Hélène Grémillon n'était pas allée au fond des choses ou pas assez à mon goût.
L'idée est originale, bien réfléchie mais il y a un petit quelque chose « d'artificiel » qui m'a empêchée de rentrer à fond dans l'écriture.
Pourtant Lisandra, cette femme fragile, tourmentée, avait tout pour m'intéresser mais je suis restée là, sur le bord des pages, jamais à l'intérieur.
Seul Estéban, sans en avoir l'air pourtant, m'a semblé plus « étoffé », peut-être plus « humain » .
Je crois que ce livre aurait pu énormément me plaire mais pour moi, il lui manque un petit « supplément d'âme ».....
Mon avis est très mitigé après la lecture de ce roman.
J'ai apprécié le début, la fin, mais le reste m'a laissé perplexe avec une impression de « non abouti » comme si, Hélène Grémillon n'était pas allée au fond des choses ou pas assez à mon goût.
L'idée est originale, bien réfléchie mais il y a un petit quelque chose « d'artificiel » qui m'a empêchée de rentrer à fond dans l'écriture.
Pourtant Lisandra, cette femme fragile, tourmentée, avait tout pour m'intéresser mais je suis restée là, sur le bord des pages, jamais à l'intérieur.
Seul Estéban, sans en avoir l'air pourtant, m'a semblé plus « étoffé », peut-être plus « humain » .
Je crois que ce livre aurait pu énormément me plaire mais pour moi, il lui manque un petit « supplément d'âme ».....
Cassiopée- Admin
-
Nombre de messages : 16861
Localisation : Saint Etienne
Emploi/loisirs : enseignante
Genre littéraire préféré : un peu tout
Date d'inscription : 17/04/2009
[Grémillon Hélène] La garconnière
Mon avis:
Après son premier roman qui avait été une vraie révélation, Hélène Grémillon réalise un vrai tour de maître en nous livrant un deuxième chef-d’œuvre d'une qualité incontestable. L'action se déroule quelques années après la fin de la dictature du général Videla (1976-1983)
Ce roman mêle plusieurs histoires au sein de l'Histoire, celle de la dictature argentine. Autant de vies racontées que de traumatismes. L'auteure nous livre des analyses du genre humain riche en émotion et en justesse. Sa plume captivante est d'une grande sincérité et d'une vérité poignante. Les sentiments décrits sont aussi bouleversants que les témoignages réelles d'une génération écorchée vive par une dictature d'une grande cruauté.
L'enquête menée au centre du récit est particulièrement saisissante. Tout le monde suspecte tout le monde et chacun se perd dans les remords de son drame personnel.
Une fin digne de ce nom qui ne nous laisse pas indifférent et pour ma part dans un désarroi difficilement supportable.
Une mention spéciale pour la mise en forme du roman, on y trouve des souvenirs purs, des conversations enregistrées, des partitions de musique et des éléments de l'enquête. Tous ces éléments rajoute une originalité certaine au récit qui le rend unique.
Petite note d'avertissement, certains passages peuvent heurter les âmes sensibles.
Invité- Invité
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Merci pour ta critique !
Quand tu postes un nouveau roman, n'oublie pas de vérifier que le topic n'existe pas déjà (c'est le cas pour celui-ci) ainsi que d'ajouter une image de la couverture.
Quand tu postes un nouveau roman, n'oublie pas de vérifier que le topic n'existe pas déjà (c'est le cas pour celui-ci) ainsi que d'ajouter une image de la couverture.
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Sujets fusionnés, Lady-Mina, il faut revoter, merci.
Cassiopée- Admin
-
Nombre de messages : 16861
Localisation : Saint Etienne
Emploi/loisirs : enseignante
Genre littéraire préféré : un peu tout
Date d'inscription : 17/04/2009
Re: [Grémillon, Hélène] La garçonnière
Je suis mitigée, j'ai beaucoup aimé l'écriture, L'histoire en elle même est prenante, d'autant plus qu'elle est tirée de faits réels, ce qui rends cette histoire plus sordide. Par contre, j'ai eus du mal à accrocher avec les personnages tous torturés, la dictature argentine a laissé des traces indélébiles, ca je le conçoit, mais j'ai pas aimé la relation qu'a Eva envers son fils, du coup j'ai pas apprécié ces chapitres, au bout du compte elle lui dit je t'aime quand il rentre en prison. J'ai pas accroché avec le personnage de Lisandra, comme Lisalor trop c'est trop, jalousie, sexe que ca, certes cela permet de comprendre ce qui c'est passé mais ....
On voit bien les problèmes de justice, vite fait, mal fait et moi qui n'aime pas les fins injuste j'ai été gâté.
Note: 5/10 moyennement apprécié
On voit bien les problèmes de justice, vite fait, mal fait et moi qui n'aime pas les fins injuste j'ai été gâté.
Note: 5/10 moyennement apprécié
louloute- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 24595
Age : 56
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
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