[Benoist, Cécile] Jacques l'étripeur
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[Benoist, Cécile] Jacques l'étripeur
Titre : Jacques l’étripeur
Auteur : Cécile Benoist
Éditions : Éditions de Londres ( Novembre 2013)
Collection : East End
Série : Jacques l'Éventreur
Nombre de pages : 31
ISBN : 978-1-909782-46-4
e-book
Quatrième de couverture
Le jour, Jacques est boucher dans un beau quartier de Toulouse, où il taille des steaks pour les rombières argentées. Le soir, il rentre chez lui dans la cité des Izards, où il mange végétarien en catimini. Eh oui, car la bidoche, il n’en peut plus : l’odeur, le touché, la vue ; cela l’obsède et le dégoûte. Jusqu’au jour où il tombe sur un documentaire à la télé qui va changer sa vie, et lui redonner l’envie de la barbaque.
Mon avis
Jacques l’étripeur est une nouvelle de la série « Jacques l’Éventreur », pour laquelle les auteurs doivent librement s’inspirer de l’histoire de Jack l’Éventreur en situant leur histoire en France.
----------------------------------------
Jacques est boucher de son métier et les clientes ne cessent de l’encenser, lui qui a de la bonne viande…
Oui, mais voilà, depuis quelque temps, toute cette barbaque, bidoche et compagnie ça le dégoûte, à tel point qu’il se sent imprégné de l’odeur des morceaux choisis et qu’il n’arrive même plus à sentir le gel douche à la vanille des jolies filles qui ne manquent pas de tomber dans ses bras (virils et musclés comme il se doit, c’est lourd toute cette marchandise).
Un jour d’ennui, il tombe sur un documentaire relatant un fait divers au Sénégal…
De quoi se changer les idées au départ, histoire de ne pas toujours penser à la même chose.
Sauf que ce reportage va le fasciner à tel point qu’il va l’installer à tourner en boucle sur son téléviseur….
N’allez pas imaginer que je vais vous raconter la suite de la nouvelle…
Tout ce que je peux vous dire c’est que Jacques, à la base, il n’avait pas tellement envie d’être boucher.
« C’est vrai qu’il rêvait de grandeur, le petit Jacques, lorsqu’il était enfant. Et tout le monde le sait : quand on n’accomplit pas ses rêves de gosses, on s’avachit, on ne meurt pas vraiment mais on se dissout dans le grand tout, comme ça, sans que personne ne remarque rien. »
L’anonymat, ce n’était pas trop son truc mais il faut bien manger n’est ce pas (que ce soit végétarien ou pas d’ailleurs…)
Il va donc laisser tomber la boucherie pour un autre type de commerce afin de retrouver le goût de toucher les belles filles, car il plait Jacques, donc elles sont vite conquises. En plus, il sait les convaincre tant par le geste que par la parole…
Leçon de séduction ? Pas vraiment non plus….
Une nouvelle où l’atmosphère pesante va aller crescendo, portée par une écriture pointue, incisive (non, je ne joue pas avec les mots du boucher ;-), des phrases qui font mouche et une intrigue qui se tient.
Moi qui aime la viande, j’ai été servie ;-)
Mon avis
Jacques l’étripeur est une nouvelle de la série « Jacques l’Éventreur », pour laquelle les auteurs doivent librement s’inspirer de l’histoire de Jack l’Éventreur en situant leur histoire en France.
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Jacques est boucher de son métier et les clientes ne cessent de l’encenser, lui qui a de la bonne viande…
Oui, mais voilà, depuis quelque temps, toute cette barbaque, bidoche et compagnie ça le dégoûte, à tel point qu’il se sent imprégné de l’odeur des morceaux choisis et qu’il n’arrive même plus à sentir le gel douche à la vanille des jolies filles qui ne manquent pas de tomber dans ses bras (virils et musclés comme il se doit, c’est lourd toute cette marchandise).
Un jour d’ennui, il tombe sur un documentaire relatant un fait divers au Sénégal…
De quoi se changer les idées au départ, histoire de ne pas toujours penser à la même chose.
Sauf que ce reportage va le fasciner à tel point qu’il va l’installer à tourner en boucle sur son téléviseur….
N’allez pas imaginer que je vais vous raconter la suite de la nouvelle…
Tout ce que je peux vous dire c’est que Jacques, à la base, il n’avait pas tellement envie d’être boucher.
« C’est vrai qu’il rêvait de grandeur, le petit Jacques, lorsqu’il était enfant. Et tout le monde le sait : quand on n’accomplit pas ses rêves de gosses, on s’avachit, on ne meurt pas vraiment mais on se dissout dans le grand tout, comme ça, sans que personne ne remarque rien. »
L’anonymat, ce n’était pas trop son truc mais il faut bien manger n’est ce pas (que ce soit végétarien ou pas d’ailleurs…)
Il va donc laisser tomber la boucherie pour un autre type de commerce afin de retrouver le goût de toucher les belles filles, car il plait Jacques, donc elles sont vite conquises. En plus, il sait les convaincre tant par le geste que par la parole…
Leçon de séduction ? Pas vraiment non plus….
Une nouvelle où l’atmosphère pesante va aller crescendo, portée par une écriture pointue, incisive (non, je ne joue pas avec les mots du boucher ;-), des phrases qui font mouche et une intrigue qui se tient.
Moi qui aime la viande, j’ai été servie ;-)
Cassiopée- Admin
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Genre littéraire préféré : un peu tout
Date d'inscription : 17/04/2009
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