[Giebel, Karine] Terminus Elicius
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Votre avis sur "Terminus Elicius" de Karine Giebel
[Giebel, Karine] Terminus Elicius
Terminus Elicius
Auteur : Karine Giebel
Edition : Pocket
Nombre de pages : 249 pages
Quatriéme de couverture :
Istres-Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien entre son travail de gratte-papier au commissariat et la maison de sa mère. Elle attend néanmoins qu'un événement vienne secouer le fil de son existence : un regard, enfin, du capitaine Esposito ? La résolution, peut-être, de cette affaire de serial killer qui défraie la chronique phocéenne ?
"«" "Vous êtes si belle, Jeanne. Si touchante et si belle." "»" Ce soir-là, une lettre, glissée entre deux banquettes, semble combler toutes ses espérances. Un peu trop, même. Car derrière le mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police. Commence alors une correspondance amoureuse qui, pour Jeanne, n'aura de terminus qu'au bout de l'enfer…
Mon appréciation :
J'ai bien aimé encore le livre de Karine Giebel même si j'ai préféré les morsures de l'ombre que j'avais vraiment adoré celui ci est un ton en dessous mais c'est un bon thriller.
Les personnages de ce livre sont un peu frappa dingue, une qui se frappe la tête par les murs et un qui se prend pour l'ange de la vengeance. Jeanne est un peu folle, se sent abandonné et mal aimé dans sa vie et son travail et tombe amoureuse d'un fou, tueur en série qui lui écrit des lettres qu'il lui laisse dans le train.
Ma note : 8/10
Invité- Invité
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
Je ne connaissais pas K.Giebel. J'ai aimé ce premier livre.
marine- Membre connaisseur
-
Nombre de messages : 267
Age : 65
Localisation : Alsace
Emploi/loisirs : lire, lire et toujours lire.
Date d'inscription : 27/01/2010
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
C'est le premier roman de cet auteure et le premier que je lis d'elle. Et il a été pour moi un véritable coup de coeur. J'ai adoré l'intrigue, me suis parfaitement identifiée à Jeanne, pauvre créature solitaire, névrosée, avide d'amour. La fin m'a laissée pantoise, c'est un roman qui me laissera des traces, comme tous ceux que j'ai adorés. Un roman à ne surtout pas manquer !
Invité- Invité
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
Je m'attendais à une autre fin...
Mais j'ai adoré cette lecture.
Deuxième roman de Karine Giebel que je dévore (je ne compte pas m'arrêter là...) après les Morsures de l'ombre.
Mais je nepartage pas l'avis de Lisalor : pour moi, il est un cran au-dessus des Morsures de l'ombre. Il y avait des scories dans ce roman, des détails qui ne me plaisaient pas : le personnage de Djamila qui me semblait échappé de Plus belle la vie, des incohérences dans la psychologie de Lydia, quelques facilités ici et là...
Dans Terminus Elicius, il y a de jolies descriptions de Marseille et de la mer, presque poétiques parfois, et aucun détail gênant. J'ai bien aimé les Morsures de l'ombre mais j'ai préféré Terminus Elicius.
Coup de coeur.
Mais j'ai adoré cette lecture.
Deuxième roman de Karine Giebel que je dévore (je ne compte pas m'arrêter là...) après les Morsures de l'ombre.
Mais je nepartage pas l'avis de Lisalor : pour moi, il est un cran au-dessus des Morsures de l'ombre. Il y avait des scories dans ce roman, des détails qui ne me plaisaient pas : le personnage de Djamila qui me semblait échappé de Plus belle la vie, des incohérences dans la psychologie de Lydia, quelques facilités ici et là...
Dans Terminus Elicius, il y a de jolies descriptions de Marseille et de la mer, presque poétiques parfois, et aucun détail gênant. J'ai bien aimé les Morsures de l'ombre mais j'ai préféré Terminus Elicius.
Coup de coeur.
Invité- Invité
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
Mon avis sur ce livre :
Après la claque « Meurtre pour rédemption", il était évident que je ne pouvais pas rester indifférente aux autres livres de Karine Giebel. Je me suis procurée le reste en poche ce qui me permettra de les découvrir à mon rythme et selon mes envies.
L'histoire de Terminus Elicius est assez surprenante, voire originale. On suit Jeanne, jeune femme solitaire et timide, entre son travail administratif au commissariat, ses trajets domicile/travail et son domicile qu'elle partage toujours avec sa mère. Un quotidien monotone brisé par la réception de déclaration enflammée d'un inconnu. Seul bémol, ce dernier est un tueur qui sévit dans la région rechercher depuis des semaines par son commissariat, notamment le commandant Esposito en charge du dossier. Jeanne déroutée se retrouvera face à un dilemme : avertir sa hiérarchie coûte que coûte ou entretenir cette étrange correspondance.
Paralyser par la peur et enivrer par cette emprise, la décision de notre héroïne ne sera pas sans conséquence. À partir de cet instant cette dernière va s'enfoncer dans une spirale infernale et révéler une facette inconnue de sa personnalité.
Cette histoire n'a pas été un coup de cœur mais j'ai passé un bon moment de lecture. Je n'ai pas été tout de suite séduite par le personnage principal qui me semblait trop en retrait et trop maintenu dans une posture de victime. Heureusement, qu’au fur et à mesure des lettres reçues, Jeanne se métamorphose peu à peu : plus sûre, plus tourmentée, presque incohérente. Je ne suis pas vraiment arrivée à cerner totalement sa personnalité dû au fait qu'elle m'ai trop souvent dérangée et troublée.
L’auteur ne nous ménage pas. Elle nous tiraille entre l’enquête et cette relation impensable et irréelle pour nous mettre le doute, s’amuser de nous, et nous donner une issue surprenante qui semblait pourtant si évidente et banale au début (de mon point de vue).
Le rythme est parfaitement maitrisé par des chapitres plutôt court et une écriture nerveuse. Comme toujours, les personnages sont correctement développés.
Karine Giebel est vraiment un auteur que j’apprécie de plus en plus et ce petit thriller me motive vraiment à découvrir le reste des ses livres !!!
Après la claque « Meurtre pour rédemption", il était évident que je ne pouvais pas rester indifférente aux autres livres de Karine Giebel. Je me suis procurée le reste en poche ce qui me permettra de les découvrir à mon rythme et selon mes envies.
L'histoire de Terminus Elicius est assez surprenante, voire originale. On suit Jeanne, jeune femme solitaire et timide, entre son travail administratif au commissariat, ses trajets domicile/travail et son domicile qu'elle partage toujours avec sa mère. Un quotidien monotone brisé par la réception de déclaration enflammée d'un inconnu. Seul bémol, ce dernier est un tueur qui sévit dans la région rechercher depuis des semaines par son commissariat, notamment le commandant Esposito en charge du dossier. Jeanne déroutée se retrouvera face à un dilemme : avertir sa hiérarchie coûte que coûte ou entretenir cette étrange correspondance.
Paralyser par la peur et enivrer par cette emprise, la décision de notre héroïne ne sera pas sans conséquence. À partir de cet instant cette dernière va s'enfoncer dans une spirale infernale et révéler une facette inconnue de sa personnalité.
Cette histoire n'a pas été un coup de cœur mais j'ai passé un bon moment de lecture. Je n'ai pas été tout de suite séduite par le personnage principal qui me semblait trop en retrait et trop maintenu dans une posture de victime. Heureusement, qu’au fur et à mesure des lettres reçues, Jeanne se métamorphose peu à peu : plus sûre, plus tourmentée, presque incohérente. Je ne suis pas vraiment arrivée à cerner totalement sa personnalité dû au fait qu'elle m'ai trop souvent dérangée et troublée.
L’auteur ne nous ménage pas. Elle nous tiraille entre l’enquête et cette relation impensable et irréelle pour nous mettre le doute, s’amuser de nous, et nous donner une issue surprenante qui semblait pourtant si évidente et banale au début (de mon point de vue).
Le rythme est parfaitement maitrisé par des chapitres plutôt court et une écriture nerveuse. Comme toujours, les personnages sont correctement développés.
Karine Giebel est vraiment un auteur que j’apprécie de plus en plus et ce petit thriller me motive vraiment à découvrir le reste des ses livres !!!
Invité- Invité
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
et voila...je crois que cette fois,j'ai lu tous les romans de Mme Giebel...et ce n'est pas sans tristesse!
celui ci est à la hauteur de ses autres romans...bien difficile de le lacher...une fin un peu décevante toutefois...peut etre parce que je n'avais pas envie qu'il se finisse si vite....
J'ai hate de voir le prochain livre dans les rayons...et je ne suis pas sure d'attendre qu'il soit dans ma bibliotheque...
celui ci est à la hauteur de ses autres romans...bien difficile de le lacher...une fin un peu décevante toutefois...peut etre parce que je n'avais pas envie qu'il se finisse si vite....
J'ai hate de voir le prochain livre dans les rayons...et je ne suis pas sure d'attendre qu'il soit dans ma bibliotheque...
bastinou33- Membre assidu
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Genre littéraire préféré : un peu de tout,pas mal de thrillers
Date d'inscription : 01/07/2011
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
Cette auteur est mon auteur préféré , et celui-ci a été un très bon moment de lecture, j'aime ce système de lettres laissées dans le train. Les personnages frappés, Jeanne skyzo et en plus de ça très spéciale et l'auteur des lettres( Elicius) qui se prend pour le justicier masqué. roman très efficace, mais c'est pas mon préféré, mais je n'ai pas une seule fois jusque là été déçu avec elle! encore du très bon
Invité- Invité
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
C'est un des premiers qu'elle a écrit.J'ai adoré cette histoire même qu'elle soit courte,elle nous tient en haleine et on se pose pas mal de questions et en plus cela se passe pas très loin de chez moi.Note:8/10
angele13127- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : un peu de tout sauf fantasy
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Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
Je viens de terminer ce roman, et je l'ai beaucoup apprécié !
Pas un coup de coeur, il m'a manqué le moment où je me suis dit : "Non ! Pas possible !".
Mais, ce livre reste un très bon thriller psychologique. La tension ne descend pas, dès le début du livre, et jusqu'aux dernières lignes. Les personnages sont habités, en détresse, attachants.
Et j'ai beaucoup apprécié également la nouvelle à la fin, "Aurore".
Ma note : 17/20
Pas un coup de coeur, il m'a manqué le moment où je me suis dit : "Non ! Pas possible !".
Mais, ce livre reste un très bon thriller psychologique. La tension ne descend pas, dès le début du livre, et jusqu'aux dernières lignes. Les personnages sont habités, en détresse, attachants.
Et j'ai beaucoup apprécié également la nouvelle à la fin, "Aurore".
Ma note : 17/20
Invité- Invité
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
Merci Vally pour ta critique, il est dans ma PAL Merci aussi aux autres
louloute- Grand sage du forum
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Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
J'ai bien aimé ce petit roman, j'ai retrouvé avec plaisir la plume de Giebel.
Un roman de fou dans un petit train marseillais, c'est troublant, horrible, on se languit de retrouver la gare, mais, on a quand même envie de s'y rasseoir histoire de voir si y a une lettre.
Heureusement, c'est pas le TGV. J'ai pu voyager entre Miramas et Istres, jolie balade, ca vous fait rien si pendant un certain temps je ne prends plus le train !!!! Et surtout eviter de glisser votre main entre les fauteuils, je dis ça je dis rien.
Bienvenu chez Giebel.
louloute- Grand sage du forum
-
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Age : 56
Localisation : Var, Sanary-sur-mer
Emploi/loisirs : mère au foyer
Genre littéraire préféré : thriller, historique, policier
Date d'inscription : 11/12/2009
Re: [Giebel, Karine] Terminus Elicius
Mon avis :
En refermant ce livre, je ne sais pas si je l'ai aimé, ou si j'ai été intéressée par celui-ci.
Nous rencontrons Jeanne, sur laquelle le récit se focalise. Jeanne a une vie réglée comme du papier à musique, et dès les premières pages, j'ai eu l'impression soit qu'elle avait des tocs, soit qu'elle était une éternelle inquiète : elle vérifie sans arrêt que son sac à main est bien fermée. Tous les jours de la semaine, elle prend le même train, puis le même métro, et effectue le même trajet en sens inverse le soir - elle vit à deux cent mètres de la gare d'Istres. Elle travaille au commissariat, et non, elle n'est pas policière, elle est secrétaire. Elle est invisible, transparente, elle se sent mise à l'écart par les trois autres secrétaires. Puis, un jour, elle trouve dans le train une lettre qui lui est destinée, une lettre écrite par un certain Elicius, lettre dont elle analyse soigneusement le style, tiquant sur certaines tournures grammaticales jusqu'à se prendre la vérité en face : celui qui lui écrit est un tueur, celui même que les policiers de Marseille recherchent. Que doit faire Jeanne ? En parler, à ses risques et périls, ou tout garder pour elle ? Note : pas un seul instant elle n'a pensé que celui qui a écrit ces lignes était un petit plaisantin, bien au fait de l'actualité. Qui est-il ? Je vous rassure, nous le saurons.
En marchant au côté de Jeanne, je n'ai cessé de ressentir un malaise. Parce qu'elle ne va pas bien, Jeanne, pas bien du tout, comme le montrent les médicaments qu'elle a en réserve dans sa pharmacie et qu'elle prend en cas de crise - et nous les verrons, les conséquences de sa crise. Nous saurons comment tout a commencé. Et j'aimerai dire que ce n'est plus possible de nos jours, que "la parole se délie", sauf que je suis tout sauf optimiste, et que, même si depuis 1995 (depuis l'époque où j'étais étudiante), l'on a cessé de progresser, il faut avant tout, pour être écouté, que l'on veuille bien vous écouter, que l'on veuille bien prendre en compte vos maux, et faire évoluer les mentalités. de même, quand on est au fond du trou, mais alors vraiment au fond, il est bon d'avoir quelqu'un voire même dans un beau monde idéal, plusieurs personnes qui sont là pour vous, pas seulement des médecins, des infirmières, mais des personnes qui veilleront sur vous, qui vous tendront la main, qui vous soutiendront sur le long, très long chemin de la guérison - si la guérison est possible.
Terminus Elicius est suivi par une nouvelle, Aurore, qui reprend la même thématique - le harcèlement. Alors oui, l'on en parle de plus en plus, ce qui ne veut pas dire que ce fléau est derrière nous. Pas tant que certains diront que survivre au harcèlement rend plus fort, ou donne une personnalité plus intéressante aux personnes qui ont pu s'en sortir. Aurore et Alban sont deux cibles faciles pour les harceleurs, et le dénouement est poignant.
En refermant ce livre, je ne sais pas si je l'ai aimé, ou si j'ai été intéressée par celui-ci.
Nous rencontrons Jeanne, sur laquelle le récit se focalise. Jeanne a une vie réglée comme du papier à musique, et dès les premières pages, j'ai eu l'impression soit qu'elle avait des tocs, soit qu'elle était une éternelle inquiète : elle vérifie sans arrêt que son sac à main est bien fermée. Tous les jours de la semaine, elle prend le même train, puis le même métro, et effectue le même trajet en sens inverse le soir - elle vit à deux cent mètres de la gare d'Istres. Elle travaille au commissariat, et non, elle n'est pas policière, elle est secrétaire. Elle est invisible, transparente, elle se sent mise à l'écart par les trois autres secrétaires. Puis, un jour, elle trouve dans le train une lettre qui lui est destinée, une lettre écrite par un certain Elicius, lettre dont elle analyse soigneusement le style, tiquant sur certaines tournures grammaticales jusqu'à se prendre la vérité en face : celui qui lui écrit est un tueur, celui même que les policiers de Marseille recherchent. Que doit faire Jeanne ? En parler, à ses risques et périls, ou tout garder pour elle ? Note : pas un seul instant elle n'a pensé que celui qui a écrit ces lignes était un petit plaisantin, bien au fait de l'actualité. Qui est-il ? Je vous rassure, nous le saurons.
En marchant au côté de Jeanne, je n'ai cessé de ressentir un malaise. Parce qu'elle ne va pas bien, Jeanne, pas bien du tout, comme le montrent les médicaments qu'elle a en réserve dans sa pharmacie et qu'elle prend en cas de crise - et nous les verrons, les conséquences de sa crise. Nous saurons comment tout a commencé. Et j'aimerai dire que ce n'est plus possible de nos jours, que "la parole se délie", sauf que je suis tout sauf optimiste, et que, même si depuis 1995 (depuis l'époque où j'étais étudiante), l'on a cessé de progresser, il faut avant tout, pour être écouté, que l'on veuille bien vous écouter, que l'on veuille bien prendre en compte vos maux, et faire évoluer les mentalités. de même, quand on est au fond du trou, mais alors vraiment au fond, il est bon d'avoir quelqu'un voire même dans un beau monde idéal, plusieurs personnes qui sont là pour vous, pas seulement des médecins, des infirmières, mais des personnes qui veilleront sur vous, qui vous tendront la main, qui vous soutiendront sur le long, très long chemin de la guérison - si la guérison est possible.
Terminus Elicius est suivi par une nouvelle, Aurore, qui reprend la même thématique - le harcèlement. Alors oui, l'on en parle de plus en plus, ce qui ne veut pas dire que ce fléau est derrière nous. Pas tant que certains diront que survivre au harcèlement rend plus fort, ou donne une personnalité plus intéressante aux personnes qui ont pu s'en sortir. Aurore et Alban sont deux cibles faciles pour les harceleurs, et le dénouement est poignant.
Sharon- Modérateur
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Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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