[Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
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[Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Auteur : Jean Christophe RUFIN
Editeur : Flammarion
Nombre de pages : 538
4ième de couverture :
Juliette est une jeune militante écologiste, fragile et idéaliste. Elle participe à une opération commando pour libérer des animaux de laboratoire. Cette action apparemment innocente va l'entraîner au coeur d'un complot sans précédent qui, au nom de la planète, prend ni plus ni moins pour cible l'espèce humaine.
L'agence de renseignements privée "Providence", aux Etats-Unis, est chargée de l'affaire. Elle recrute deux anciens agents, Paul et Kerry, qui ont quitté les services secrets pour reprendre des études, l'un de médecine, et l'autre de psychologie. Leur enquête va les plonger dans l'univers terrifiant de l'écologie radicale et de ceux qui la manipulent. Car la défense de l'environnement n'a pas partout le visage sympathique qu'on lui connaît chez nous. La recherche d'un Pardis perdu, la nostalgie d'un temps où l'homme était en harmonie avec la nature peuvent conduire au fanatisme le plus meurtrier.
Mon avis :
C'est mon premier Jean Christophe Rufin et ce ne sera pas le dernier.
C'est un voyage fantastique du Cap-Vert à la Pologne, du Colorado au Brésil.
Ce sont des personnages attachants et aussi détestables pour d'autres.
C'est surtout l'avenir de la planète : que penser de la pauvreté.....
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Merci pour ta critique!
Pour moi, ce roman a été un véritable coup de coeur. Je ne me souviens pas de tout car il y a un bout de temps que je l'ai lu, mais j'avais adoré la partie où Juliette découvre la culture indienne au près de Harrow.
Ca m'avais d'ailleurs amenée à lire d'autres écrits sur les indiens et leurs pratiques.
Une petite citations tirée du roman :
"Sur le territoire où ils vivent, ils ne se comportent pas comme des maîtres. Ils ne transforment rien, n'abîment rien. La terre les tolèrent, et ils la respectent. Jamais ils n'oseraient se l'approprier, la découper en parcelles comme une viande morte. La terre, pour eux, est vivante. Ils ont conscience de faire partie d'un tout. Ce que l'on apprend avec eux, c'est l'équilibre de toutes choses."
Sinon, on sent bien que Rufin s'est beaucoup documenté pour rédiger ce roman et l'intrigue est pas trop mal ficelée.
A plus!
Pour moi, ce roman a été un véritable coup de coeur. Je ne me souviens pas de tout car il y a un bout de temps que je l'ai lu, mais j'avais adoré la partie où Juliette découvre la culture indienne au près de Harrow.
Ca m'avais d'ailleurs amenée à lire d'autres écrits sur les indiens et leurs pratiques.
Une petite citations tirée du roman :
"Sur le territoire où ils vivent, ils ne se comportent pas comme des maîtres. Ils ne transforment rien, n'abîment rien. La terre les tolèrent, et ils la respectent. Jamais ils n'oseraient se l'approprier, la découper en parcelles comme une viande morte. La terre, pour eux, est vivante. Ils ont conscience de faire partie d'un tout. Ce que l'on apprend avec eux, c'est l'équilibre de toutes choses."
Sinon, on sent bien que Rufin s'est beaucoup documenté pour rédiger ce roman et l'intrigue est pas trop mal ficelée.
A plus!
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
J'ai aussi beaucoup aimé cette lecture et je suis d'ailleurs une grande amatrice sinon fan de Jean Christophe RUFIN
CAROLE si tu as aimé Le parfum d'Adam, je te conseille du même auteur Globalia qui est dans la même veine: une société futuriste en perdition
CAROLE si tu as aimé Le parfum d'Adam, je te conseille du même auteur Globalia qui est dans la même veine: une société futuriste en perdition
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Merci beaucoup Snoopinette , je le note tout de suite dans ma liste LAL. Je sens qu'il va falloir que je fasse une grande "placette" dans ma bibliothèque a la lettre R comme Rufin !!!!
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Oui si tu aimes!!! quoi qu'il est moins "productif" que Marc Levy car il travaille toujours...
J'ai lu de lui La salamandre, L'abyssin, Le parfum d'Adam, Globalia, et Un léopart sur le garrot (qui est son autobiographie très intéressant car tu peux faire le lien entre sa vie et ses écrits...)
Par contre je n'ai pas "accroché" avec Asmara et les causes perdues, je ne désespère pas de le lire intégralement un jour...
J'ai lu de lui La salamandre, L'abyssin, Le parfum d'Adam, Globalia, et Un léopart sur le garrot (qui est son autobiographie très intéressant car tu peux faire le lien entre sa vie et ses écrits...)
Par contre je n'ai pas "accroché" avec Asmara et les causes perdues, je ne désespère pas de le lire intégralement un jour...
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
connais pas cet auteur mais vous me donner l'envie de le découvrir
allez je note lol
allez je note lol
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Je pense aussi que "Rouge Brésil" doit être un livre superbe (toujours de Rufin biensur ) Mais c'est aussi un pavé !!!
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Oui il est aussi très beau (d'ailleurs pourquoi ai-je oublié de le mentionner). Cependant il est également vrai que c'est un pavé et que l'écriture est un peu plus recherchée et donc il faut s'accrocher au début
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Je l'ai lu il y a quelques années et je n'en garde presqu'aucun souvenir. A part une intrigue poussive. Je vote "moyen".
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Es tu sûr que c'est bien de ce livre dont tu parles car il n'est sorti que depuis 2007?
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
... et nous sommes bientôt en 2011 ! Je l'ai lu quelques temps après sa sortie (ma médiathèque est réactive) et il ne m'a pas laissé un souvenir impérissable. Mais je me rappelle l'avoir terminé !Snoopinette a écrit:Es tu sûr que c'est bien de ce livre dont tu parles car il n'est sorti que depuis 2007?
- Spoiler:
- Je n'ai pas accroché avec le personnage de l'indien des montagnes, même si l'idée de se débarrasser des pauvres pour sauver la planète était assez choquante pour être originale (on parle bien du même livre ?)
En y réfléchissant un peu, finalement, je m'en souviens plutôt bien...
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Oui tu sembles quand même bien t'en souvenir pour quelqu'un qui disait ne pas l'avoir en mémoire!!
De toute facon même un livre qu'on n'a pas aimé laisse un souvenir
De toute facon même un livre qu'on n'a pas aimé laisse un souvenir
Invité- Invité
Ambiguité...
Je viens de finir "Le parfum d'Adam" et j'avoue en tirer un sentiment mitigé. Première partie de l'intrigue, j'accroche ; puis nous voilà parti dans une romance mal écrite entre Paul et Kerry. Qu'est-ce qu'il lui est arrivé à Rufin à ce moment, il a craqué sur une petite ou quoi ? Au bout d'un moment cela devient même gavant, d'autant que cela n'apporte rien à l'intrigue (plutôt bonne) ni à la fin... Je n'ai pas souvenir d'autres passages de ce "style" dans les autres romans de l'auteur. Après l'épisode "jecraquepoursuperwoman", on revient enfin à l'intrigue et à ses clefs. Et là, j'avoue avoir ressenti une gêne... Pendant des pages, nous allons toucher du doigt une vérité qui dérange : la surpopulation humaine et son accroissement. Bonjour Malthus. C'est tellement bien argumenté que seule la monstruosité du résultat nous fait garder les pieds sur terre. Et Rufin de balayer cette thèse d'un simple : heureusement, l'homme est bon et l'amour peut tout sauver... :<v: C'est quelque peu hypocrite...
Une hypothèse avancée par un des personnages à la toute fin c'est le développement de la technologie qui permettra à chacun de vivre correctement avec les millions d'autres. Franchement, c'est difficile à imaginer. Nous serons 7 milliards dans deux ans (en fait nous y sommes déjà !!!) ; avant 2030 il y aura un milliard d'individus en +. Sans parler de la répartition géographique qui n'est pas égale, ni le développement. Rufin aborde de vrais problèmes vitaux, très argumentés, mais conclue avec une pirouette. Ce n'est pas très clair... :<è:
Mais ce roman a aussi l'intérêt de nous présenter un mouvement mal connu en Europe, celui de l'écologie radicale, et sa dérive vers le bioterrorisme, menace prise très au sérieux aux Etats-Unis. Nos écologistes à nous sont gentils, voire un peu neuneu... :x<;: Mais en réalité, l'extermination d'une partie de la population est bel et bien pensée par certains. Et en France, sans aller jusque-là, des écologistes comme Yves Cochet prône l'arrêt de la natalité. Sommes-nous face à la naissance d'un nouveau totalitarisme ? C'est fort possible...
Malgré cela, le livre de Rufin n'est pas si mal, mais moins séduisant que les autres je trouve.
Une hypothèse avancée par un des personnages à la toute fin c'est le développement de la technologie qui permettra à chacun de vivre correctement avec les millions d'autres. Franchement, c'est difficile à imaginer. Nous serons 7 milliards dans deux ans (en fait nous y sommes déjà !!!) ; avant 2030 il y aura un milliard d'individus en +. Sans parler de la répartition géographique qui n'est pas égale, ni le développement. Rufin aborde de vrais problèmes vitaux, très argumentés, mais conclue avec une pirouette. Ce n'est pas très clair... :<è:
Mais ce roman a aussi l'intérêt de nous présenter un mouvement mal connu en Europe, celui de l'écologie radicale, et sa dérive vers le bioterrorisme, menace prise très au sérieux aux Etats-Unis. Nos écologistes à nous sont gentils, voire un peu neuneu... :x<;: Mais en réalité, l'extermination d'une partie de la population est bel et bien pensée par certains. Et en France, sans aller jusque-là, des écologistes comme Yves Cochet prône l'arrêt de la natalité. Sommes-nous face à la naissance d'un nouveau totalitarisme ? C'est fort possible...
Malgré cela, le livre de Rufin n'est pas si mal, mais moins séduisant que les autres je trouve.
Dernière édition par marsiho le Mar 1 Nov 2011 - 21:13, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Tout à fait d'accord avec Marsiho. Etant moi-même engagé dans la vie associative et très sensible aux problèmes de l'environnement, j'ai commencé la lecture de ce roman avec un grand intérêt. Un intérêt qui s'est partiellement dissipé en cours de lecture. D'accord, le style de Rufin est impeccable et la lecture est, somme toute, assez agréable, mais j'aurais quelques objections à opposer à Monsieur Rufin, aussi bien sur le plan littéraire qu'idéologique.
Sur le plan littéraire, d'abord. Déjà, la quatrième de couverture prête à confusion. "Juliette est une jeune militante écologiste, fragile et idéaliste." Non, je ne dirais pas ça. Aucun des trois qualificatifs ne correspond à ce personnage. D'une manière générale, tous les soi-disant écologistes mis en scène dans ce roman sont des marginaux portés sur la violence. Harrow, par exemple, est présenté comme un homme issu de milieux défavorisés et qui, paradoxalement, déteste les pauvres. Néanmoins, il faut dire tout de même que ce personnage est parmi les plus intéressants et les plus crédibles du roman (avec, probablement, celui d'Archie). De plus, l'intrigue du roman n'est pas particulièrement intéressante et j'ai trouvé le côté suspense un peu mou (on nous présente comme des révélations quelque chose que nous avons déjà compris il y a 200 pages...)
Côté idéologique, maintenant. On nous explique qu'il existe deux sortes d'écologistes : les "humanistes" et les "anti-humanistes". Ah bon. Quid alors du mouvement appelé "deep ecology", ou "écologie profonde" ? La manière dont le sujet est traité fait penser au débat "environnementalistes contre humanistes" créé, à mon avis, de toutes pièces pour des raisons essentiellement politiques et consuméristes. Tous les écologistes que je connais sont également des humanistes, mais peut-être que Monsieur Rufin a une expérience différente ? Il devrait pourtant savoir que les problèmes écologiques et les questions humanitaires sont inséparables. Le cas des indigènes de l'Amérique du Sud en est un bon exemple.
Le titre du roman fait référence au premier homme, Adam, qui, avant d’avoir commis le péché originel, vivait en harmonie avec les animaux qui habitaient l’Éden. En effet, d’après la tradition chrétienne, la prédation n’existait pas avant la Chute du premier couple humain, puisque le Mal lui-même n’existait pas et tout le monde vivait dans la paix et l’amour dans le jardin divin. Est-il possible de revenir à cet état de félicité utopique ? Excellente question, sauf que la réponse que l'auteur du Parfum d'Adam apporte n'est pas très convaincante.
En dehors de cela, c'est un thriller, somme toute, bien écrit et qui a le mérite de poser les bonnes questions (tout en restant, hélas, trop superficiel à mon goût).
Sur le plan littéraire, d'abord. Déjà, la quatrième de couverture prête à confusion. "Juliette est une jeune militante écologiste, fragile et idéaliste." Non, je ne dirais pas ça. Aucun des trois qualificatifs ne correspond à ce personnage. D'une manière générale, tous les soi-disant écologistes mis en scène dans ce roman sont des marginaux portés sur la violence. Harrow, par exemple, est présenté comme un homme issu de milieux défavorisés et qui, paradoxalement, déteste les pauvres. Néanmoins, il faut dire tout de même que ce personnage est parmi les plus intéressants et les plus crédibles du roman (avec, probablement, celui d'Archie). De plus, l'intrigue du roman n'est pas particulièrement intéressante et j'ai trouvé le côté suspense un peu mou (on nous présente comme des révélations quelque chose que nous avons déjà compris il y a 200 pages...)
Côté idéologique, maintenant. On nous explique qu'il existe deux sortes d'écologistes : les "humanistes" et les "anti-humanistes". Ah bon. Quid alors du mouvement appelé "deep ecology", ou "écologie profonde" ? La manière dont le sujet est traité fait penser au débat "environnementalistes contre humanistes" créé, à mon avis, de toutes pièces pour des raisons essentiellement politiques et consuméristes. Tous les écologistes que je connais sont également des humanistes, mais peut-être que Monsieur Rufin a une expérience différente ? Il devrait pourtant savoir que les problèmes écologiques et les questions humanitaires sont inséparables. Le cas des indigènes de l'Amérique du Sud en est un bon exemple.
Le titre du roman fait référence au premier homme, Adam, qui, avant d’avoir commis le péché originel, vivait en harmonie avec les animaux qui habitaient l’Éden. En effet, d’après la tradition chrétienne, la prédation n’existait pas avant la Chute du premier couple humain, puisque le Mal lui-même n’existait pas et tout le monde vivait dans la paix et l’amour dans le jardin divin. Est-il possible de revenir à cet état de félicité utopique ? Excellente question, sauf que la réponse que l'auteur du Parfum d'Adam apporte n'est pas très convaincante.
En dehors de cela, c'est un thriller, somme toute, bien écrit et qui a le mérite de poser les bonnes questions (tout en restant, hélas, trop superficiel à mon goût).
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
J'allais te conseiller Globalia mais comme Snoopinette est passée avant moi , alors je rajoute l'Abyssin du même auteur, un genre très différent mais un très bon roman !!Snoopinette a écrit:J'ai aussi beaucoup aimé cette lecture et je suis d'ailleurs une grande amatrice sinon fan de Jean Christophe RUFIN
CAROLE si tu as aimé Le parfum d'Adam, je te conseille du même auteur Globalia qui est dans la même veine: une société futuriste en perdition
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
C’est le genre de livre que je redoute, car le coté politique engagé est parfois traité de façon complexe, mais là, ce n’est pas du tout le cas.
On suit au départ un médecin qui enquête sur le sabotage d’un labo en Pologne, et derrière la libération d’animaux va se dévoiler la préparation d’un acte terroriste monstrueux.
Cela est mené doucement, on sait qu’il y a du terrorisme biologique dans l’air mais, on ne sait ni comment, ni ou, il faut arriver au derniers chapitres pour comprendre. Cela aurait pu être traité en moins de pages mais on s’ennuie pourtant pas, l’enquête est détaillée, minutieuse et intéressante.
On suit au départ un médecin qui enquête sur le sabotage d’un labo en Pologne, et derrière la libération d’animaux va se dévoiler la préparation d’un acte terroriste monstrueux.
Cela est mené doucement, on sait qu’il y a du terrorisme biologique dans l’air mais, on ne sait ni comment, ni ou, il faut arriver au derniers chapitres pour comprendre. Cela aurait pu être traité en moins de pages mais on s’ennuie pourtant pas, l’enquête est détaillée, minutieuse et intéressante.
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Je suis étonnée qu'il n'y ait aucune critique de "Rouge Brésil" du même auteur, que j'ai lu il y a environ une dizaine d'années et qui pour moi a été un véritable coup de coeur. Malheureusement, je ne puis en faire la critique, ma mémoire ne le permettant pas. Je pense que je vais le relire... Pour vous donner envie de le lire!
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
C'est vrai, j'ai gardé un bon souvenir aussi de Rouge Brésil. A relire pour vérifier...
Invité- Invité
Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Bonne histoire, mais rien de bien nouveau. Ce roman m'a laissé assez indifférent.
Ma cote: 3/5.
Ma cote: 3/5.
Moulin-à-Vent- Grand sage du forum
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Re: [Rufin, Jean-Christophe] Le parfum d'Adam
Dans l'ensemble, je suis d'accord avec Marisho. Ce roman a été écrit un peu vite, peut-être ? Ca fait longtemps que j'ai envie de lire "Rouge Brésil", mais c'est un sacré pavé et j'avais le sentiment que ça n'est pas une lecture facile. Celui-ci m'a semblé plus abordable pour commencer avec cet auteur.
Eh bien, oui, c'est plus abordable. Mais plus que moyen. A un moment de ma lecture, j'avais définitivement renoncé à "Rouge Brésil."
Ca n'est plus le cas. Une fois terminée ma lecture, je fais le tri de mes impressions. Le roman d'espionnage, dans l'ensemble, n'est pas mauvais, hormis quelques (très) méchants clichés concernant Kerry et Paul. Malgré cela, j'ai découvert avec effarement et intérêt la "deep ecology". J'ai été très intéressée par l'exposé de ces théories concernant la "gestion" de la pauvreté.
Bref, le thème est très original à mes yeux. Au vu des critiques que j'ai lues concernant d'autre romans du même auteur, je suis certaine qu'il aurait pu le traiter beaucoup mieux, dommage...
Eh bien, oui, c'est plus abordable. Mais plus que moyen. A un moment de ma lecture, j'avais définitivement renoncé à "Rouge Brésil."
Ca n'est plus le cas. Une fois terminée ma lecture, je fais le tri de mes impressions. Le roman d'espionnage, dans l'ensemble, n'est pas mauvais, hormis quelques (très) méchants clichés concernant Kerry et Paul. Malgré cela, j'ai découvert avec effarement et intérêt la "deep ecology". J'ai été très intéressée par l'exposé de ces théories concernant la "gestion" de la pauvreté.
Bref, le thème est très original à mes yeux. Au vu des critiques que j'ai lues concernant d'autre romans du même auteur, je suis certaine qu'il aurait pu le traiter beaucoup mieux, dommage...
Pistou 117- Grand sage du forum
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