[Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
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Votre avis:
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
alexielle63 a écrit:Cerisia a écrit: Cela ne m'arrive pas souvent mais là je ne sais pas quoi dire sur ce livre ! D'habitude j'arrive à écrire mon billet assez facilement mais là je bloque.
C'est drôle : j'ai eu le même souci!!!!!!
Oui mais toi tu as réussi à écrire un billet bien meilleur que le mien
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
il n'y a pas de bon ou mauvais billetCerisia a écrit:alexielle63 a écrit:Cerisia a écrit: Cela ne m'arrive pas souvent mais là je ne sais pas quoi dire sur ce livre ! D'habitude j'arrive à écrire mon billet assez facilement mais là je bloque.
C'est drôle : j'ai eu le même souci!!!!!!
Oui mais toi tu as réussi à écrire un billet bien meilleur que le mien
chaque billet est le reflet de celle ou celui qui a lu, avec son ressenti , son bagage personnel et son expérience.
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
+ 1 Mimi parce que si on compare, moi je n'ose plus écrire
Cassiopée- Admin
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
mimi54 a écrit:il n'y a pas de bon ou mauvais billetCerisia a écrit:alexielle63 a écrit:Cerisia a écrit: Cela ne m'arrive pas souvent mais là je ne sais pas quoi dire sur ce livre ! D'habitude j'arrive à écrire mon billet assez facilement mais là je bloque.
C'est drôle : j'ai eu le même souci!!!!!!
Oui mais toi tu as réussi à écrire un billet bien meilleur que le mien
chaque billet est le reflet de celle ou celui qui a lu, avec son ressenti , son bagage personnel et son expérience.
Exactement Mimi! Ce n'est pas une compétition et puis on ne voit pas tous la même chose dans un livre de par notre éducation, nos croyances, notre histoire perso... On est tous différents et c'est une richesse, pas une faiblesse
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Oui mais d'habitude j'arrive à écrire un truc mieux que ça mais là impossible
et je suis tout à fait d'accord avec vous il ne s'agit pas d'une compétition sinon moi non plus je n'écrirais pas de billet
et je suis tout à fait d'accord avec vous il ne s'agit pas d'une compétition sinon moi non plus je n'écrirais pas de billet
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Mon avis :
J'ai eu beaucoup de mal à le rédiger. Pour une fois, ce ne sera pas un texte structuré, mais plutôt une succession d'impressions reliées par des thèmes.
Courage :
Celui de l'auteur. Il en faut pour écrire un roman sur le conflit israélo-palestinien, qui n'est pas vraiment le thème chéri des lecteurs (ni maintenant, ni jamais). Ce choix est audacieux donc, et l'audace est d'autant plus grande que l'auteur ne prend pas partie. Il raconte avec le même soin, la même impartialité ce qui se passe dans chaque camp. L'issue du conflit semble ainsi insoluble, puisque les deux camps ont chacun des raisons de continuer le combat - et aucune de céder. La violence répond à la violence, elle est devenue la norme et provoque ainsi des réactions chez le lecteur. Je prendrai pour exemple la scène initiale, violente, primitive, intemporelle. Elle fut pour moi un choc. Peu importe pour quel pays va notre sympathie, j'ai eu envie de prendre fait et cause pour ceux qui étaient ainsi chassés de chez eux. Puis apparaît le personnage d'Asso, qui veut aider ce village.
Déracinés :
Asso est le personnage principal de ce roman, et il est, comme chacun des membres de sa famille, déraciné. Asso, orphelin, ne sait rien ou presque de sa famille. Sa mère est mort quand il était enfant, son père a trouvé la mort dans un accident (déjà, la violence accompagne sa vie), son père de substitution a une attitude équivoque à son égards (le roman dévoilera ses véritables motivations) et déjà Asso fuit, par crainte de céder à la manipulation. Où qu'il aille, il ne trouve pas de refuge, ni dans la religion (il a finalement choisi le bouddhisme, une religion prônant la non-violence), ni dans le mariage, ni dans la paternité, qui lui a été imposée par sa femme, tout comme elle lui a imposé cet exil en Israël. Sandra s'est déracinée en réponse à ses parents, qui ont renié leurs racines juives. Elle trouve dans le judaïsme un apaisement. Curieusement, alors que ses parents s'étaient convertis pour échapper aux nazis, Sandra donne un prénom à consonance germanique à son enfant, doublé d'un nouveau prénom hébraïque. Conrad/Gaï n'a alors plus vraiment d'identité, plus de pays, plus d'amis, et il va devenir une proie facile pour les extrémistes.
Roman d'espionnage ?
J'aurai facilement dit "roman policier" au début (mon genre littéraire de prédilection), mais il n'y a pas d'enquête. La mort du père d'Asso trouvera sa résolution, parce qu'elle sert l'un des camps. Quant à l'enquête qui s'ouvre à la fin du roman, elle voit ses conclusions connues d'avance, grâce aux manoeuvres des deux camps.
Les deux camps s'affrontent et, par conséquent, s'espionnent mutuellement. La méfiance est de mise, au point que chacun ignore souvent ce qu'un autre, qui est pourtant de son camp, fait. La manipulation est reine. Les jeunes sont embrigadés et n'ont que de rares sursauts face à l'embrigadement qu'ils subissent. "Subir" est d'ailleurs un terme trop fort, car la douceur, la promesse d'un avenir meilleur, l'art du discours sont autant de moyen d'attirer vers l'extrémisme et l'action armé ces jeunes qui ne rêvent plus à un avenir possible et se retrouvent avec des responsabilités d'adultes (Ali est devenu le chef de famille après la mort de son père et de son frère).
Comme pour une action militaire, l'action est extrêmement minutée, rendant ainsi l'intrigue plus palpitante, jusqu'au dénouement.
Tragédie :
Ce roman nous raconte la tragédie individuelle d'Asso. Tragédie car, comme dans les oeuvres de Racine, Asso aura beau agir, se débattre, lutter, contre les autres, contre le destin, contre ses passions inavouées, il ne pourra rien faire. Il est pris au piège. Il ne lui restera plus qu'à fuir, comme il l'a toujours fait.
Merci aux éditions Kyklos et au forum Partage-Lecture pour cette belle découverte littéraire.
J'ai eu beaucoup de mal à le rédiger. Pour une fois, ce ne sera pas un texte structuré, mais plutôt une succession d'impressions reliées par des thèmes.
Courage :
Celui de l'auteur. Il en faut pour écrire un roman sur le conflit israélo-palestinien, qui n'est pas vraiment le thème chéri des lecteurs (ni maintenant, ni jamais). Ce choix est audacieux donc, et l'audace est d'autant plus grande que l'auteur ne prend pas partie. Il raconte avec le même soin, la même impartialité ce qui se passe dans chaque camp. L'issue du conflit semble ainsi insoluble, puisque les deux camps ont chacun des raisons de continuer le combat - et aucune de céder. La violence répond à la violence, elle est devenue la norme et provoque ainsi des réactions chez le lecteur. Je prendrai pour exemple la scène initiale, violente, primitive, intemporelle. Elle fut pour moi un choc. Peu importe pour quel pays va notre sympathie, j'ai eu envie de prendre fait et cause pour ceux qui étaient ainsi chassés de chez eux. Puis apparaît le personnage d'Asso, qui veut aider ce village.
Déracinés :
Asso est le personnage principal de ce roman, et il est, comme chacun des membres de sa famille, déraciné. Asso, orphelin, ne sait rien ou presque de sa famille. Sa mère est mort quand il était enfant, son père a trouvé la mort dans un accident (déjà, la violence accompagne sa vie), son père de substitution a une attitude équivoque à son égards (le roman dévoilera ses véritables motivations) et déjà Asso fuit, par crainte de céder à la manipulation. Où qu'il aille, il ne trouve pas de refuge, ni dans la religion (il a finalement choisi le bouddhisme, une religion prônant la non-violence), ni dans le mariage, ni dans la paternité, qui lui a été imposée par sa femme, tout comme elle lui a imposé cet exil en Israël. Sandra s'est déracinée en réponse à ses parents, qui ont renié leurs racines juives. Elle trouve dans le judaïsme un apaisement. Curieusement, alors que ses parents s'étaient convertis pour échapper aux nazis, Sandra donne un prénom à consonance germanique à son enfant, doublé d'un nouveau prénom hébraïque. Conrad/Gaï n'a alors plus vraiment d'identité, plus de pays, plus d'amis, et il va devenir une proie facile pour les extrémistes.
Roman d'espionnage ?
J'aurai facilement dit "roman policier" au début (mon genre littéraire de prédilection), mais il n'y a pas d'enquête. La mort du père d'Asso trouvera sa résolution, parce qu'elle sert l'un des camps. Quant à l'enquête qui s'ouvre à la fin du roman, elle voit ses conclusions connues d'avance, grâce aux manoeuvres des deux camps.
Les deux camps s'affrontent et, par conséquent, s'espionnent mutuellement. La méfiance est de mise, au point que chacun ignore souvent ce qu'un autre, qui est pourtant de son camp, fait. La manipulation est reine. Les jeunes sont embrigadés et n'ont que de rares sursauts face à l'embrigadement qu'ils subissent. "Subir" est d'ailleurs un terme trop fort, car la douceur, la promesse d'un avenir meilleur, l'art du discours sont autant de moyen d'attirer vers l'extrémisme et l'action armé ces jeunes qui ne rêvent plus à un avenir possible et se retrouvent avec des responsabilités d'adultes (Ali est devenu le chef de famille après la mort de son père et de son frère).
Comme pour une action militaire, l'action est extrêmement minutée, rendant ainsi l'intrigue plus palpitante, jusqu'au dénouement.
Tragédie :
Ce roman nous raconte la tragédie individuelle d'Asso. Tragédie car, comme dans les oeuvres de Racine, Asso aura beau agir, se débattre, lutter, contre les autres, contre le destin, contre ses passions inavouées, il ne pourra rien faire. Il est pris au piège. Il ne lui restera plus qu'à fuir, comme il l'a toujours fait.
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Sharon- Modérateur
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Si tu devais mettre une appréciation à ce livre, Sharon, quelle note lui donnerais -tu ?
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Je remarque que nous sommes plusieurs à avoir eu des difficultés à écrire notre avis.
Est-ce que ce livre est trop "vrai", trop réel, un peu comme un documentaire, ou est-ce qu'il contient trop de choses?
Est-ce que ce livre est trop "vrai", trop réel, un peu comme un documentaire, ou est-ce qu'il contient trop de choses?
Cassiopée- Admin
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Je pense que c'est difficile parce que les souffrances que ce livre aborde sont réelles, et très proches de nous. Faire une critique sur un livre traitant de la deuxième guerre mondiale, d'un affrontement entre sorciers et mangemorts, est infiniment plus facile parce que les souffrances décrites sont passées ou imaginaires, désincarnées en quelque sorte.
A l'inverse, les horreurs décrites dans ce livre, on les prend tous les soirs en pleine figure. Du coup, il est difficile d'en faire une critique mesurée et objective, on doit s'y reprendre à plusieurs fois. En plus, si l'auteur s'était contenté de nous parler de conflit israélo-palestinien... Mais non, il en a lâchement profité pour aborder des thèmes aussi délicats que l'identité culturelle et religieuse, l'héritage, le devoir de mémoire... Pas facile de tout mettre en ordre et de tout coucher ensuite sur le papier.
A l'inverse, les horreurs décrites dans ce livre, on les prend tous les soirs en pleine figure. Du coup, il est difficile d'en faire une critique mesurée et objective, on doit s'y reprendre à plusieurs fois. En plus, si l'auteur s'était contenté de nous parler de conflit israélo-palestinien... Mais non, il en a lâchement profité pour aborder des thèmes aussi délicats que l'identité culturelle et religieuse, l'héritage, le devoir de mémoire... Pas facile de tout mettre en ordre et de tout coucher ensuite sur le papier.
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
en lisant ce livre, et je le verbalise seulement maintenant, j'avais l'impression de lire un quotidien nationale à la page "international"....Cassiopée a écrit:Je remarque que nous sommes plusieurs à avoir eu des difficultés à écrire notre avis.
Est-ce que ce livre est trop "vrai", trop réel, un peu comme un documentaire, ou est-ce qu'il contient trop de choses?
oui, ce livre est au cœur de l'actualité, au cœur de notre quotidien.Il nous interpelle, car cette région,, que l'on soit croyant ou non, est le berceau de notre civilisation occidentale, elle est notre matière
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
On est bien d'accord !!!
Cassiopée- Admin
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Astazie a écrit:Si tu devais mettre une appréciation à ce livre, Sharon, quelle note lui donnerais -tu ?
C'est difficile à dire, car je ne note pas les livres que je critique. Je dirai 16/20.
Saphyr a écrit:Je pense que c'est difficile parce que les souffrances que ce livre aborde sont réelles, et très proches de nous. Faire une critique sur un livre traitant de la deuxième guerre mondiale, d'un affrontement entre sorciers et mangemorts, est infiniment plus facile parce que les souffrances décrites sont passées ou imaginaires, désincarnées en quelque sorte.
A l'inverse, les horreurs décrites dans ce livre, on les prend tous les soirs en pleine figure. Du coup, il est difficile d'en faire une critique mesurée et objective, on doit s'y reprendre à plusieurs fois. En plus, si l'auteur s'était contenté de nous parler de conflit israélo-palestinien... Mais non, il en a lâchement profité pour aborder des thèmes aussi délicats que l'identité culturelle et religieuse, l'héritage, le devoir de mémoire... Pas facile de tout mettre en ordre et de tout coucher ensuite sur le papier.
Nous sommes d'accord.
Dernière édition par Sharon le Dim 18 Juil 2010 - 22:02, édité 1 fois
Sharon- Modérateur
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Astazie a écrit:Merci Sharon,
Tu n'aurais pas oublié une lettre ..
Oui, je risque de me mettre à écrire comme mes élèves (sauf qu'il faudrait alors que je leur explique longuement où se trouve la faute. Quelle faute ?
Sharon- Modérateur
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Quand le chat aura-t-il lieu?
Mounain- Grand expert du forum
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Rien n'est fixé pour le chat...
Cassiopée- Admin
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
D'accord merci
Mounain- Grand expert du forum
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Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Astazie a écrit: tu as corrigé la faute !!
Le quelle faute, c'est ce que mes élèves diraient. Ils écrivent ainsi .
Pour revenir à la difficulté d'écrire mon avis sur ce livre, elle vient aussi pour ma part que je suis profondément enracinée, d'un point de vue culturel et d'un point de vue religieux. Si Asso s'est réfugié dans le bouddhisme, Sandra se convertit au judaïsme parce qu'elle veut retrouver ses racines, mais aussi parce qu'elle trouve la religion catholique trop tiède (p. 116-117, de mémoire). En rédigeant mon avis, le but était aussi de me concentrer sur le livre, et pas seulement sur les raisonnances que ce livre pouvait avoir en moi.
Sharon- Modérateur
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Date d'inscription : 01/11/2008
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
C'est plutôt ardu de faire abstraction des raisonnances quand on donne son sentiment quant à une lecture surtout quand on a ce genre de texte face à nous, pour ma part j'ai trouvé l'auteur tellement clair tellement impartial ! C'est ce qui m'a plu dans ce texte, si la balance avait penché, s'il y avait eu un parti pris tout aurait été différent ...C'est une écriture sereine et limpide .....Je me suis totalement retrouvée dans son point de vue.
Sara2a- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 24/01/2010
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Et-ce que le Lundi 02 Août à partir de 20h vous conviendrait comme RDV pour un chat avec Mr Gérard ?
Thot- Admin
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Genre littéraire préféré : Je lis de tout, mais j'aime moins la science-fiction.
Date d'inscription : 02/06/2008
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Thot a écrit:Et-ce que le Lundi 02 Août à partir de 20h vous conviendrait comme RDV pour un chat avec Mr Gérard ?
Pas pour moi Thot, je rends à un concert; désolée. Cela me désolerait de rater un chat avec Mr Gérard
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Petite suggestion qui n'engage que moi: pourquoi ne pas programmer ce rendez vou que tout le monde attend, en septembre, en raison des absences des uns et des autres. Je craisn qu'il y en ait toujours plusieurs absents en même temps.Et compte tenu de la portée qu'a eu ce livre, les partageurs ont envie d'être présent au maximum.
Invité- Invité
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
Parce que cela dépend aussi des disponibilités de Mr Gérard et des miennes donc à moins que ce soit après le 06 Septembre, cela va être difficile de programmer autrement.
Je vais faire voter par Doodle pour quelques dates.
Je vais faire voter par Doodle pour quelques dates.
Thot- Admin
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Nombre de messages : 6094
Age : 44
Localisation : Suisse
Genre littéraire préféré : Je lis de tout, mais j'aime moins la science-fiction.
Date d'inscription : 02/06/2008
Re: [Gérard, Olivier] Te retourne pas, Handala!
après le 6 septembre, il devrait y avoir un maximum de partageurs présentsThot a écrit:Parce que cela dépend aussi des disponibilités de Mr Gérard et des miennes donc à moins que ce soit après le 06 Septembre, cela va être difficile de programmer autrement.
Je vais faire voter par Doodle pour quelques dates.
Invité- Invité
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