[Nemirovsky, Irène] Les feux de l'automne
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Les feux de l'automne
[Nemirovsky, Irène] Les feux de l'automne
NEMIROVSKY Irène
Les feux de l'automne
Livre de poche 2007
281 pages
Présentation de l'éditeur
Qu'est-ce qui peut attirer la belle et sage Thérèse vers Bernard, ce rebelle un peu voyou, qui s'engage à dix-huit ans dès que la guerre éclate ? À son retour, en 1918, avide de vivre cette jeunesse qui lui a échappé, il prend goût à l'argent facile. De cette passion ne peuvent naître que déceptions et souffrances. Mais ils s'aiment et, lorsque Bernard, prisonnier pendant la Seconde Guerre, est libéré, Thérèse est là, qui l'attend. Parue en 1948, six ans après la disparition d'Irène Némirovsky - couronnée à titre posthume par le prix Renaudot 2004 pour Suite française -, cette fresque romanesque, habitée par le climat fiévreux et délétère de l'entre-deux-guerres, est tout autant une peinture cruelle de la bourgeoisie conventionnelle
et hypocrite que le portrait plus intime d'êtres en quête d'une impossible liberté.
Mon avis : Encore un très beau roman de Némirovsky, toujours elle dénonce l'hypocrisie de la bourgeoisie, truffée de conventions. L'amour tient une grande place dans ce genre de saga qui se passe sur quelques dizaines d'années. Ce que j'ai aimé c'est la patience de Thèrèse envers Bernard, un peu comme si elle savait que son heure de repentir viendrait... Un roman réaliste avec le thème de la guerre qui revient souvent comme dans plusieurs des écrits de cette auteure.
Les feux de l'automne
Livre de poche 2007
281 pages
Présentation de l'éditeur
Qu'est-ce qui peut attirer la belle et sage Thérèse vers Bernard, ce rebelle un peu voyou, qui s'engage à dix-huit ans dès que la guerre éclate ? À son retour, en 1918, avide de vivre cette jeunesse qui lui a échappé, il prend goût à l'argent facile. De cette passion ne peuvent naître que déceptions et souffrances. Mais ils s'aiment et, lorsque Bernard, prisonnier pendant la Seconde Guerre, est libéré, Thérèse est là, qui l'attend. Parue en 1948, six ans après la disparition d'Irène Némirovsky - couronnée à titre posthume par le prix Renaudot 2004 pour Suite française -, cette fresque romanesque, habitée par le climat fiévreux et délétère de l'entre-deux-guerres, est tout autant une peinture cruelle de la bourgeoisie conventionnelle
et hypocrite que le portrait plus intime d'êtres en quête d'une impossible liberté.
Mon avis : Encore un très beau roman de Némirovsky, toujours elle dénonce l'hypocrisie de la bourgeoisie, truffée de conventions. L'amour tient une grande place dans ce genre de saga qui se passe sur quelques dizaines d'années. Ce que j'ai aimé c'est la patience de Thèrèse envers Bernard, un peu comme si elle savait que son heure de repentir viendrait... Un roman réaliste avec le thème de la guerre qui revient souvent comme dans plusieurs des écrits de cette auteure.
lalyre- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
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Re: [Nemirovsky, Irène] Les feux de l'automne
J'aime beaucoup cette auteure. Je note celui-ci que je ne connaissais pas!
Invité- Invité
Re: [Nemirovsky, Irène] Les feux de l'automne
Je trouve la couverture magnifique et le résumé me plaît beaucoup. Je le note dans ma LAL.
Invité- Invité
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