[Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
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[Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Les cathédrales du vide
De Henri Loevenbruck
Sous couvert de protection de l'environnement, une organisation internationale opaque fait main basse sur plusieurs régions du globe afin de découvrir un secret enfoui au coeur de la Terre, secret qui pourrait bouleverser l'avenir géopolitique de la planète. Alerté par une série de disparitions, le commandant Ari Mackenzie, ancien des Renseignements généraux, décide de mener l'enquête.
Ce livre est la suite de « Le rasoir d'Ockham », je n’ai pas lu ce dernier et cela n’a pas du tout gêné ma lecture, tout ce qu’on doit savoir est succinctement relaté au cours de ce tome pour ne pas s’y perdre.
C’est le genre d’histoire que je redoute, quand il est question d’ésotérisme et d’alchimie, il en ressort souvent des romans complexes dans lequel le lecteur se perd. Là c’est tout le contraire, dès les premières pages, j’ai été emporté par cette histoire.
Le personnages d’Ari que l’on découvre en arrêt maladie après les évènements qu’on devine dans le rasoir d’Ockham est attachant, les personnes qui le côtoient ont l’air de l’apprécier et du coup nous aussi.
Son enquête non officielle, est bien menée, de plus celle-ci est entrecoupée de passages en italique qui sont des écrits d’un copiste des XIV° siècle, elles expliquent les recherches d’Ari et apportent au lecteur une touche d’intérêt supplémentaire. De plus, il s’adresse à nous lecteur, nous sommes dans les confidences d’un personnage qui a marqué son temps grâce à une découverte étonnante.
La fin de ce roman apporte les réponses tant attendues dans le premier volet, j’ai lu sur le net que les lecteurs du rasoir d’ockham était déçu par la fin, ce 2° volet comblera les manques ; pour ceux comme moi qui ne l’auront pas lu, il connaîtront la même satisfaction.
Ce livre se dévore, l’écriture est fluide, agréable, l’intrigue est intelligente, sa complexité est si bien mené qu’elle ne gène pas, la fin des chapitres laisse parfois sur un suspense, pour aller dans un autre lieu tout aussi intriguant, cette construction fait tourner les pages sans aucun ennui et on arrive aux dernières pages sans s’en rendre compte
De Henri Loevenbruck
Sous couvert de protection de l'environnement, une organisation internationale opaque fait main basse sur plusieurs régions du globe afin de découvrir un secret enfoui au coeur de la Terre, secret qui pourrait bouleverser l'avenir géopolitique de la planète. Alerté par une série de disparitions, le commandant Ari Mackenzie, ancien des Renseignements généraux, décide de mener l'enquête.
Ce livre est la suite de « Le rasoir d'Ockham », je n’ai pas lu ce dernier et cela n’a pas du tout gêné ma lecture, tout ce qu’on doit savoir est succinctement relaté au cours de ce tome pour ne pas s’y perdre.
C’est le genre d’histoire que je redoute, quand il est question d’ésotérisme et d’alchimie, il en ressort souvent des romans complexes dans lequel le lecteur se perd. Là c’est tout le contraire, dès les premières pages, j’ai été emporté par cette histoire.
Le personnages d’Ari que l’on découvre en arrêt maladie après les évènements qu’on devine dans le rasoir d’Ockham est attachant, les personnes qui le côtoient ont l’air de l’apprécier et du coup nous aussi.
Son enquête non officielle, est bien menée, de plus celle-ci est entrecoupée de passages en italique qui sont des écrits d’un copiste des XIV° siècle, elles expliquent les recherches d’Ari et apportent au lecteur une touche d’intérêt supplémentaire. De plus, il s’adresse à nous lecteur, nous sommes dans les confidences d’un personnage qui a marqué son temps grâce à une découverte étonnante.
La fin de ce roman apporte les réponses tant attendues dans le premier volet, j’ai lu sur le net que les lecteurs du rasoir d’ockham était déçu par la fin, ce 2° volet comblera les manques ; pour ceux comme moi qui ne l’auront pas lu, il connaîtront la même satisfaction.
Ce livre se dévore, l’écriture est fluide, agréable, l’intrigue est intelligente, sa complexité est si bien mené qu’elle ne gène pas, la fin des chapitres laisse parfois sur un suspense, pour aller dans un autre lieu tout aussi intriguant, cette construction fait tourner les pages sans aucun ennui et on arrive aux dernières pages sans s’en rendre compte
Dernière édition par Ironman le Dim 7 Nov 2010 - 11:03, édité 2 fois (Raison : Correction titre et hébergement de l'image!)
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Tout est dit.petitepom a écrit:
Ce livre se dévore, l’écriture est fluide, agréable, l’intrigue est intelligente, sa complexité est si bien mené qu’elle ne gène pas, la fin des chapitres laisse parfois sur un suspense, pour aller dans un autre lieu tout aussi intriguant, cette construction fait tourner les pages sans aucun ennui et on arrive aux dernières pages sans s’en rendre compte.
Henri Loevenbruck est un excellent auteur que je viens de découvrir. Après la fin du rasoir d'Ockham on découvre la fin de l'enquête qui est un peu surprenante.
Deux très bon livres, je conseille vivement.
Patrice
Invité- Invité
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Mon avis :
Dans ce roman, nous retrouvons Ari Mackenzie en pleine dépression, plus accro que jamais à son verre (sa bouteille?) de whisky. Plus de petite amie, plus d'enquête, plus de boulot et il ne donne plus de nouvelles à ses amis. Il a même changé de quartier. Il reprendra finalement l'enquête sans reprendre le boulot, obnubilé par l'idée d'attraper le Docteur, plus illuminé que jamais. Dans le tome précédent, Lamia était une tueuse sans pitié, dans ce tome-ci c'est Borjia, un psychopathe avec un défaut génétique et toxicomane. Dans son enquête, Ari rencontre une jeune femme sensuelle et légère, Marie Lynch, sur la même piste que lui. Elle cherche son père qui a disparu. Marie est aussi désabusée qu'Ari et porte le même regard sur le monde que lui.
Le style d'écriture est le même que dans le premier tome. 108 chapitres, tous découpés un chapitre = une scène, comme le scénario d'un film. Le langage, encore ici, est proche du langage courant avec ses négations absentes, ses "nous" remplacés par "on", les "tu es" substitués par "t'es", etc. J'embarque facilement lorsque les dialogues sont plus vrais, comme ceux-là. Nous voyageons aussi entre le présent et le passé à travers les écrits de Nicolas Flamel (oui, le célèbre alchimiste!).
J'ai apprécié ou pas? Oui et non. J'ai plongé dans ce livre pleine d'attentes, de questions et encore pleine de l'adrénaline donné par le premier roman. Le début est long, très lent à démarrer alors que le premier roman débutait en coup de poing. J'ai trouvé le suspense moins bien soutenu et quelquefois, j'ai eu envie de tourner les pages pour aller plus loin. J'ai trouvé les réponses à mes questions mais j'ai été déçue et je me suis dit "c'est tout?". Je m'attendais à plus. Malgré tout, Ari est un personnage attachant et j'ai eu plaisir à retrouver Iris et Krysztov. Marie Lynch est un personnage attachant et je l'ai adoré dans ce qu'elle a de plus authentique.
Ma note :
3/5
Dans ce roman, nous retrouvons Ari Mackenzie en pleine dépression, plus accro que jamais à son verre (sa bouteille?) de whisky. Plus de petite amie, plus d'enquête, plus de boulot et il ne donne plus de nouvelles à ses amis. Il a même changé de quartier. Il reprendra finalement l'enquête sans reprendre le boulot, obnubilé par l'idée d'attraper le Docteur, plus illuminé que jamais. Dans le tome précédent, Lamia était une tueuse sans pitié, dans ce tome-ci c'est Borjia, un psychopathe avec un défaut génétique et toxicomane. Dans son enquête, Ari rencontre une jeune femme sensuelle et légère, Marie Lynch, sur la même piste que lui. Elle cherche son père qui a disparu. Marie est aussi désabusée qu'Ari et porte le même regard sur le monde que lui.
Le style d'écriture est le même que dans le premier tome. 108 chapitres, tous découpés un chapitre = une scène, comme le scénario d'un film. Le langage, encore ici, est proche du langage courant avec ses négations absentes, ses "nous" remplacés par "on", les "tu es" substitués par "t'es", etc. J'embarque facilement lorsque les dialogues sont plus vrais, comme ceux-là. Nous voyageons aussi entre le présent et le passé à travers les écrits de Nicolas Flamel (oui, le célèbre alchimiste!).
J'ai apprécié ou pas? Oui et non. J'ai plongé dans ce livre pleine d'attentes, de questions et encore pleine de l'adrénaline donné par le premier roman. Le début est long, très lent à démarrer alors que le premier roman débutait en coup de poing. J'ai trouvé le suspense moins bien soutenu et quelquefois, j'ai eu envie de tourner les pages pour aller plus loin. J'ai trouvé les réponses à mes questions mais j'ai été déçue et je me suis dit "c'est tout?". Je m'attendais à plus. Malgré tout, Ari est un personnage attachant et j'ai eu plaisir à retrouver Iris et Krysztov. Marie Lynch est un personnage attachant et je l'ai adoré dans ce qu'elle a de plus authentique.
Ma note :
3/5
Invité- Invité
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Merci pour vos avis, ça me donne envie, je note.
Invité- Invité
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Pour la suite de son livre le rasoir d'Ockham, dés le début Henri Loevenbruck déstabilise le lecteur !!! En effet, le lecteur se voit projeter au cœur de la forêt Amazonienne, dans une cathédrale Gothique ( ?) – Un début haletant dont on ne voit vraiment pas le rapport avec le rasoir d’Ockham, mais ce « Commencement » est tellement hallucinant que l’on se laisse tromper par l’auteur. Puis au fil du livre, tel un cheminot, Loevenbruck nous emmène sur la voie du fameux carnet de Villard Honnecourt, ou ils placent ces personnages (anciens et nouveaux) comme un métronome.
On se laisse transporter par cette nouvelle histoire, que l’on dévore. Loevenbruck n’hésite pas à faire référence à des faits historiques, voire des Mystères historiques qui a nouveau m’ont surpris à consulter Internet pour confirmer et approfondir ces nouvelles connaissances.
Bref, les personnages sont intéressants et travaillés, les lieux inédits, l’intrigue surprenante, et notre Ari Mackenzie toujours aussi attachant même si son caractère de vieux jeune homme s’est affirmé.
On referme le livre en ayant plein d’images dans la tête, et en se disant : Et Pourquoi pas… l’avenir de l’homme c’est peut-être là qu’il faut aller le chercher…
Merci Henri
18/20
On se laisse transporter par cette nouvelle histoire, que l’on dévore. Loevenbruck n’hésite pas à faire référence à des faits historiques, voire des Mystères historiques qui a nouveau m’ont surpris à consulter Internet pour confirmer et approfondir ces nouvelles connaissances.
Bref, les personnages sont intéressants et travaillés, les lieux inédits, l’intrigue surprenante, et notre Ari Mackenzie toujours aussi attachant même si son caractère de vieux jeune homme s’est affirmé.
On referme le livre en ayant plein d’images dans la tête, et en se disant : Et Pourquoi pas… l’avenir de l’homme c’est peut-être là qu’il faut aller le chercher…
Merci Henri
18/20
Invité- Invité
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Merci Sanglap pour ta critique je le note
louloute- Grand sage du forum
-
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Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Vas-y, Louloute, note, tu peux...
Loevenbruck est réellement excellent dans le thriller. Je fais partie des lectrices déçues par "Le rasoir d'Ockham" parce que j'étais vraiment, vraiment restée sur ma faim. J'ai beaucoup hésité avant de lire cette suite, et je ne le regrette pas. Le truc, c'est qu'il faut lire les 2 à la suite, en fait.
Les personnages sont très bien campés, le suspense est très bon, je n'ai même pas été déçue par la fin, comme c'est souvent le cas avec ce genre de roman.
A tous ceux qui aiment les thrillers, ceux-ci sont un must. Surtout, à ne pas rater, y'a pas de mal à se faire plaisir, et là, là, c'est du bon.
Loevenbruck est réellement excellent dans le thriller. Je fais partie des lectrices déçues par "Le rasoir d'Ockham" parce que j'étais vraiment, vraiment restée sur ma faim. J'ai beaucoup hésité avant de lire cette suite, et je ne le regrette pas. Le truc, c'est qu'il faut lire les 2 à la suite, en fait.
Les personnages sont très bien campés, le suspense est très bon, je n'ai même pas été déçue par la fin, comme c'est souvent le cas avec ce genre de roman.
A tous ceux qui aiment les thrillers, ceux-ci sont un must. Surtout, à ne pas rater, y'a pas de mal à se faire plaisir, et là, là, c'est du bon.
Pistou 117- Grand sage du forum
-
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Localisation : LILLE
Genre littéraire préféré : De tout, partout...
Date d'inscription : 09/06/2010
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
J'ai une critique sur ce livre, mais elle ne "s'ouvre pas" présentement !
Je préfère Loevenbruck en roman historique (l'Apothicaire)
Je préfère Loevenbruck en roman historique (l'Apothicaire)
Invité- Invité
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
Dans la jungle amazonienne un homme meurt.
Dans un bar de Paris, Ari Mackenzie, boit. Il est dépressif et ne se remet pas d'avoir du arrêter sa dernière enquête pour cause de "secret d'état" (Le rasoir d'Ockham).
Depuis le moyen âge, Nicolas Flamel nous écrit la vérité sur la légende qui entoure son nom.
Trois cambriolages au sein de l'équipe de Mackenzie et notre héros et ses compagnons , Iris Michotte et Krysztov Zalewski vont reprendre l'enquête.
Je n'ai guère repris mon souffle en lisant ce roman.
D'assassinats en Suisse, d'enquêtes sur des organisations protectrices de la nature, de disparitions de savants, d'apparition de services secrets européens, de luttes dans la jungle équatorienne... rien ne manque pour tenir le lecteur en haleine.
Le récit de Nicolas Flamel revient régulièrement, nous reprenons notre respiration et nous lisons, serein ce récit tout droit venu de moyen-âge, ce temps des bâtisseurs des cathédrales, ce temps de l'obscurantisme et de l'alchimie.
Et cette cathédrale, au milieu de nulle part.
Je n'ai pas été déçue par ma lecture, il va falloir que je "regarnisse" ma PÀL en Loevenbruck, parque je n'en resterai pas là avec cet auteur.
Dans un bar de Paris, Ari Mackenzie, boit. Il est dépressif et ne se remet pas d'avoir du arrêter sa dernière enquête pour cause de "secret d'état" (Le rasoir d'Ockham).
Depuis le moyen âge, Nicolas Flamel nous écrit la vérité sur la légende qui entoure son nom.
Trois cambriolages au sein de l'équipe de Mackenzie et notre héros et ses compagnons , Iris Michotte et Krysztov Zalewski vont reprendre l'enquête.
Je n'ai guère repris mon souffle en lisant ce roman.
D'assassinats en Suisse, d'enquêtes sur des organisations protectrices de la nature, de disparitions de savants, d'apparition de services secrets européens, de luttes dans la jungle équatorienne... rien ne manque pour tenir le lecteur en haleine.
Le récit de Nicolas Flamel revient régulièrement, nous reprenons notre respiration et nous lisons, serein ce récit tout droit venu de moyen-âge, ce temps des bâtisseurs des cathédrales, ce temps de l'obscurantisme et de l'alchimie.
Et cette cathédrale, au milieu de nulle part.
Je n'ai pas été déçue par ma lecture, il va falloir que je "regarnisse" ma PÀL en Loevenbruck, parque je n'en resterai pas là avec cet auteur.
joëlle- Modérateur
-
Nombre de messages : 9708
Localisation : .
Date d'inscription : 30/09/2013
Re: [Loevenbruck, Henri] Les cathédrales du vide
A propos de garnissage de PAL, pouvez-vous me rappeler quand sort la saison 2 de "Sérum" ?
Pistou 117- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 4087
Age : 60
Localisation : LILLE
Genre littéraire préféré : De tout, partout...
Date d'inscription : 09/06/2010
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