[Ninh, Bao] Le chagrin de la guerre
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[Ninh, Bao] Le chagrin de la guerre
[Ninh, Bao] Le chagrin de la guerre
[Ninh, Bao]
Le chagrin de la guerre
Ed.Picquier poche janvier 2011
296 pages
Quatrième de couverture
Un homme de trente ans revient après dix années de guerre. Il essaie de recoller les morceaux épars de son existence. A la lueur d’une petite lampe à pétrole, nuits après nuits, feuillets après feuillets, il écrit sa vie, la guerre, l’amour. L’écriture le repousse de plus en plus loin, de plus en plus profondément dans le passé, la boue, le sang, la violence, les atrocités. Et les feuillets s’entassent pendant que la vie de tous les jours se délite, pendant que la mémoire, comme un fleuve à la dérive, à travers mille méandres, l’ensevelit dans les pages cachées de son passé. Pour qu’il écrive ce chagrin de la guerre, cette tristesse de l’amour, « les pages les plus folles dans une douleur née de la passion de vivre ».
Résumé et avis
C’est le récit de Kiên, un ancien guerrier et survivant de la guerre Vietnam-Amérique, il hésite à écrire ce qu’il a vécu. Mais dès qu’il a commencé son roman, la mémoire, comme un fleuve en délire, l’a enseveli dans la jungle. Il se souvient du fleuve Sa Thây, le col de ThangThiên, la terre des Ames Hurlantes, le lac aux crocodiles...des lieux perdus dont le nom évoque l’enfer, Car comment raconter dix ans de guerre ? Difficile aussi de parler d’un amour interrompu et sans doute perdu pour lui. Il revoit ses compagnons de combat disparus, les souffrances d’une vie de combattant. Le roman se fond dans le retour lorsque la guerre terminée, la peur est toujours là, mais naturellement tant qu’on vit, il faut tout de même vivre, vivre, il n’y a que cela à faire, vivre tout simplement.. Les brouillons de son roman semblent être les derniers détails qui le retiennent à la vie et pourtant....Les nuits blanches, les cauchemars, les voix des blessés mourant, une douleur pire que la douleur, qui ignore l’ivresse, qui imprègne les entrailles, puissante, envahissante sont les uniques sources de son inspiration qui l’entrainent dans les profondeurs de son imagination. Une histoire complexe ou le regard sur la guerre de celui qui l’a vécue et qui maintenant commente les faits revisités en font un roman d’une réalité violente par les combats absurdes auxquels il a participés. 4,5/5
Le chagrin de la guerre
Ed.Picquier poche janvier 2011
296 pages
Quatrième de couverture
Un homme de trente ans revient après dix années de guerre. Il essaie de recoller les morceaux épars de son existence. A la lueur d’une petite lampe à pétrole, nuits après nuits, feuillets après feuillets, il écrit sa vie, la guerre, l’amour. L’écriture le repousse de plus en plus loin, de plus en plus profondément dans le passé, la boue, le sang, la violence, les atrocités. Et les feuillets s’entassent pendant que la vie de tous les jours se délite, pendant que la mémoire, comme un fleuve à la dérive, à travers mille méandres, l’ensevelit dans les pages cachées de son passé. Pour qu’il écrive ce chagrin de la guerre, cette tristesse de l’amour, « les pages les plus folles dans une douleur née de la passion de vivre ».
Résumé et avis
C’est le récit de Kiên, un ancien guerrier et survivant de la guerre Vietnam-Amérique, il hésite à écrire ce qu’il a vécu. Mais dès qu’il a commencé son roman, la mémoire, comme un fleuve en délire, l’a enseveli dans la jungle. Il se souvient du fleuve Sa Thây, le col de ThangThiên, la terre des Ames Hurlantes, le lac aux crocodiles...des lieux perdus dont le nom évoque l’enfer, Car comment raconter dix ans de guerre ? Difficile aussi de parler d’un amour interrompu et sans doute perdu pour lui. Il revoit ses compagnons de combat disparus, les souffrances d’une vie de combattant. Le roman se fond dans le retour lorsque la guerre terminée, la peur est toujours là, mais naturellement tant qu’on vit, il faut tout de même vivre, vivre, il n’y a que cela à faire, vivre tout simplement.. Les brouillons de son roman semblent être les derniers détails qui le retiennent à la vie et pourtant....Les nuits blanches, les cauchemars, les voix des blessés mourant, une douleur pire que la douleur, qui ignore l’ivresse, qui imprègne les entrailles, puissante, envahissante sont les uniques sources de son inspiration qui l’entrainent dans les profondeurs de son imagination. Une histoire complexe ou le regard sur la guerre de celui qui l’a vécue et qui maintenant commente les faits revisités en font un roman d’une réalité violente par les combats absurdes auxquels il a participés. 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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