[Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
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Votre avis sur ce livre
[Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
Titre : L'écrivain de la famille
Auteur : Grégoire Delacourt
Editeur : JC Lattès
Année : 2011
Nombre de pages : 265
Quatrième de couverture :
sept ans, Edouard écrit son premier poème. Trois rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l’écrivain de la famille. Mais à neuf, il découvre le sens de « déchéance ». Les mots ne lui viennent plus.
Les années passent. Il assiste à la lente décomposition de sa famille et court toujours derrière l’amour que son poème, autrefois, suscita. Il écrit, écrit mais le destin que les autres vous choisissent n’est jamais tout à fait le bon.
Mon avis :
C'est encore une fois grâce à la librairie Tirloy de Lille que j'ai fait la connaissance de Grégoire Delacourt. Il était invité avec Lucien Suel le 2 février dernier : ils étaient présentés comme deux écrivains régionaux du Nord-Pas de Calais ayant une notoriété nationale, et ils présentaient tous deux leur dernier roman ; autre point commun, ce dernier opus est un portrait de femme chez l'un comme chez l'autre. J'ai commencé par lire L'écrivain de la famille (avant La liste de mes envies, le deuxième) car je me suis laissé séduire aussi par ce premier roman (comme me l'a dit Grégoire Delacourt : "Vous avez en mains mes oeuvres complètes, vous vous rendez compte !")
L'auteur nous a raconté l'amitié qui le lie à Jean-Louis Fournier, qui a donné un fameux coup de pouce à son manuscrit (eh oui, ça existe encore aujourd'hui, malgré le marketing qui règne aussi en maître dans le monde de l'édition) ; il fait des liens avec Fournier en expliquant son désir de parler avec légèreté et humour de choses graves, mais finalement, après les sourires des premières pages, cet enfant projeté aux nues par sa famille, ses années de pension, c'est le sentiment de nostalgie que je garderai de cette lecture.
Nostalgie aussi de la balade dans les années 70, d'abord, embrumées de la fumée des cigarettes, un temps qui paraît bien lointain où la consommation se développait joyeusement, sans aucune mention du genre "Fumer tue" ou "Pour votre santé, attention à l'abus d'alcool".
Et puis surtout, cet homme qui raconte son histoire essaye vainement de retrouver le paradis perdu de l'enfance, la grâce des premières années où la vie familiale était harmonieuse, quand le frère handicapé mental vivait heureux avec eux, quand sa soeur Claire avait le coeur heureux. Quand sa mère était la belle Amante et que son père parlait encore.
Edouard rate sa vie sentimentale, son mariage, il est petit à petit privé de sa paternité, ses parents vieillissent, et à part dans le monde de la pub, où il excelle, sa vie est loin d'être rose. Et je me suis sentie à l'unisson de sa mélancolie... non que ma vie soit aussi difficile que la sienne, mais parce que je me suis laissée emporter dans son histoire.
L'élément déclencheur de l'achat de ce livre a été cette phrase, relevée en feuilletant les premières pages : "Ecrire guérit." Et la dédicace de Grégoire Delacourt est bien à l'image du livre et de son auteur : l'élégance des mots révèl l'élégance du coeur.
"J'essayais de ne pas penser à ce qui aurait dû être. Monique à Paris. L'enfance qui manque parce qu'on n'en profite jamais assez." (p. 119)
"Quand on est très petit, la longueur des bras permet juste d'atteindre le coeur de cux qui nous embrassent. Quand on est grand, de les maintenir à distance." (p. 140)
Invité- Invité
Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
Il est très tentant, ce livre !
Merci pour ta critique, Adtraviata.
Merci pour ta critique, Adtraviata.
Invité- Invité
Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
Tout commence avec un poème qu’un enfant de 7 ans écrit et lit à ses parents qui s’extasient devant ces quelques rimes et l’enfant se voit investi de l’obligation de devenir un grand écrivain. Hélas il n’en est rien, et le roman nous raconte cette quête vers l’écriture, la reconnaissance de sa famille. Notre héros se marie, sans grande conviction, a des enfants. Ne pouvant vivre de ses écrits, il ne va pas au-delà de la page blanche, il devient un publiciste très renommé et traine ainsi sa vie, désenchanté, désabusé.
Je ne sais pas trop comment exprimer mon ressenti, j’ai aimé l’écriture. J’ai été très gênée par l’histoire, une famille qui subi en silence les évènements et ils sont nombreux, dramatiques parfois joyeux, avec fort heureusement un « Happy end ».
J'ai peut-être trop apprécié "La liste de mes envies", ici je suis déçue.
Je ne sais pas trop comment exprimer mon ressenti, j’ai aimé l’écriture. J’ai été très gênée par l’histoire, une famille qui subi en silence les évènements et ils sont nombreux, dramatiques parfois joyeux, avec fort heureusement un « Happy end ».
J'ai peut-être trop apprécié "La liste de mes envies", ici je suis déçue.
Invité- Invité
Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
Merci pour ton avis creuse.
Je l'ai réservé à la bibliothèque depuis peu ; j'attends qu'il soit disponible.
Je l'ai réservé à la bibliothèque depuis peu ; j'attends qu'il soit disponible.
Invité- Invité
Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
je suis assez mitigé sur ce livre, bien écrit par ailleurs. ce que j'en retiendrai c'est que c'est un livre triste, nostalgique et qui traite de le recherche du bonheur et de l'amour....
j'ai moins bien aimé que " la liste de mes envies"
j'ai moins bien aimé que " la liste de mes envies"
juju- Grand expert du forum
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Genre littéraire préféré : romans, thriller, policier...
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Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
Je l'ai réservé à la bibliothèque.
Je reviendrai donc bientôt vous dire ce que j'en pense.
Je reviendrai donc bientôt vous dire ce que j'en pense.
Invité- Invité
Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
J'ai voté : apprécié
Si j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, je me suis bientôt laissée entraînée par l'auteur et j'ai finalement lu ce livre en une soirée.
J'ai beaucoup aimé ce récit familial, qui nous montre que la vie n'est jamais simple entre ruptures, maladies, deuil, perte d'emploi, divorce... Les obstacles sont nombreux, chacun construira sa vie comme il le pourra, ou comme la vie le décidera.
Mais l'amour restera toujours présent dans le noyau familial initial : Edouard, sa mère adultère, son père malheureux, sa sœur Claire et son frère qu'on ne nomme pas, ce frère si secret, cet ange différent.
Ce sont les passages sur ce frère qui m'ont le plus émue, ainsi que les lignes douloureuses sur la maladie d'Alzheimer qui touchera un des membres de la famille à la fin du récit.
Cela aurait pu être un coup de cœur, mais le style de l'auteur est parfois pénible à lire (dialogues mêlés sans ponctuation, phrases hachées) ce qui entraîne quelques longueurs dans la lecture.
Un premier roman très prometteur, un auteur à suivre.
Je lirai donc La liste de mes envies, que je ne connais pas encore.
Si j'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, je me suis bientôt laissée entraînée par l'auteur et j'ai finalement lu ce livre en une soirée.
J'ai beaucoup aimé ce récit familial, qui nous montre que la vie n'est jamais simple entre ruptures, maladies, deuil, perte d'emploi, divorce... Les obstacles sont nombreux, chacun construira sa vie comme il le pourra, ou comme la vie le décidera.
- Tu vois, quand on ne fait pas attention Édouard, c'est la vie qui choisit. Et elle manque parfois de jugeote.
Mais l'amour restera toujours présent dans le noyau familial initial : Edouard, sa mère adultère, son père malheureux, sa sœur Claire et son frère qu'on ne nomme pas, ce frère si secret, cet ange différent.
Ce sont les passages sur ce frère qui m'ont le plus émue, ainsi que les lignes douloureuses sur la maladie d'Alzheimer qui touchera un des membres de la famille à la fin du récit.
Notre frère essaya de nous prendre tous les trois dans ses bras, il riait et chantait et ma mère pleura.
Elle s'agenouilla, prit son cadet dans les bras, murmura mon bébé, mon bébé, mon tout petit.
La plume des doigts du géant vint cueillir une larme sur sa joue, la porte à sa bouche, l'avala.
Claire chuchota.
- Il met maman dans son cœur.
Cela aurait pu être un coup de cœur, mais le style de l'auteur est parfois pénible à lire (dialogues mêlés sans ponctuation, phrases hachées) ce qui entraîne quelques longueurs dans la lecture.
Un premier roman très prometteur, un auteur à suivre.
Je lirai donc La liste de mes envies, que je ne connais pas encore.
Invité- Invité
Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
Une histoire dans laquelle je ne suis pas entrée et je me suis forcée pour aller jusqu'au bout même si c'est un livre court.
Et j'aurais envie de reprendre à mon compte les paroles prononcées par Matthieu Galey, membre du comité de lecture chez Grasset, à propos du manuscrit d'Edouard : « cheval fou, désordre, manque de rigueur, impatience »
J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de personnages, présentés sur un même plan, ce qui donne une histoire confuse et hachée. Les caractères et les relations sont, à mon avis, décrits de façon trop superficielle et il manque quelque chose au texte pour que le lecteur comprenne / devine le pourquoi des fuites, dérobades, absences des différents protagonistes.
J'ai nettement préféré « La liste de mes envies » qui me semble plus épuré dans sa forme et sur le fond.
Et j'aurais envie de reprendre à mon compte les paroles prononcées par Matthieu Galey, membre du comité de lecture chez Grasset, à propos du manuscrit d'Edouard : « cheval fou, désordre, manque de rigueur, impatience »
J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup de personnages, présentés sur un même plan, ce qui donne une histoire confuse et hachée. Les caractères et les relations sont, à mon avis, décrits de façon trop superficielle et il manque quelque chose au texte pour que le lecteur comprenne / devine le pourquoi des fuites, dérobades, absences des différents protagonistes.
J'ai nettement préféré « La liste de mes envies » qui me semble plus épuré dans sa forme et sur le fond.
Invité- Invité
Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
Woah... Je ne sais pas trop comment donner mon avis sur ce livre, ne sachant pas trop si je l'ai aimé ou pas. Cela m'arrive de temps en temps, avec certains livres, de ne pas comprendre mon ressenti et pouvoir classer un livre en "apprécié", "très apprécié" ou "pas apprécié". Bon ben c'est ce livre qui a gagné (il faut forcément un gagnant!!)!
J'ai été énormément perturbée par l'écriture de l'auteur mais pas forcément de manière négative. des phrases très courtes de deux ou trois mots se succèdent aux phrases très longues, donnant un rythme à l'histoire, ce qui peut être légèrement déstabilisant. Le narrateur est le personnage principal de l'histoire et le récit se cale sur sa vie, ce qu'il ressent et donc le ton change, les phrases se modifient, même le registre se trouve changeant.
Cela permet finalement de mieux comprendre... ou justement de ne pas comprendre.
Tout n'était pas compréhensif. Il y a certains passages que j'ai eu du mal à analyser, à comprendre dans un premier temps, et à plusieurs moments j'ai repris ce que j'avais déjà lu pour mieux comprendre.
Grégoire est une personne qui va d'obstacles en obstacles, de drame en drame... Un peu agaçant par moment par certains choix qu'il fait (pour une fois que c'est un homme qui me rend dingue pour cette raison ) mais comment le blâmer avec le passé qu'il a... Chacun traîne ses boulets comme on dit...
Et il en a... Son père, sa mère, son frère.
Sa vie est finalement un drame j'ai trouvé et j'ai souvent eu les larmes au bord des yeux quand elles ne coulaient pas franchement le long de mes joues (je suis une pleureuse qui s'assume, je vous assure ).
Longtemps je me suis demandée: est-ce une histoire ou le récit de sa propre vie? Et cela m'a perturbée comme bien souvent. Si c'est ce qu'il a réellement vécu... Je ne trouve pas de mots pour exprimer ma peine pour lui.
Ce qui est bizarre, c'est que je sais qu'il y a des gens qui vivent des choses comme il décrit dans son livre et je fais clairement parti des privilégiés, je n'ai rien vécu de très dramatique (enfin si mais ce n'est pas le sujet). Et c'est atroce de se dire qu'il y a des gens qui vivent ainsi, qui ne sont pas heureux... Qui font des choix sans réellement savoir pourquoi et du coup qui sont malheureux et qui ne peuvent rien faire pour le malheur des gens qui leur sont chers...
Je ne sais pas si ma pensée est claire... Mais cela fait finalement réfléchir sur la vie et sur le bonheur.
Et c'est effrayant de voir ce qu'une phrase, un espoir de parents peut ruiner la vie d'un enfant... (J'ai vu des exemples dans mon entourage... C'est violent )L'écrivain de la famille qui est persuadé d'avoir une obligation, un devoir envers les autres et qui fait tourner sa vie autour de ça... La violence des mots est souvent ignorée...
En terminant ce livre, je me suis dit: "J'ai de la chance, je suis heureuse!". Alors je remercie ce livre de m'avoir permis de relativiser.
Quelques citations que j'ai adoré pour terminer cette critique.
"Tu te souviens, demanda ma mère à Claire, ce que disait ton frère quand il avait peur? Claire renifla. Il disait eur, eur. Oui et toi tu croyais qu'il voulais dire peur, enchaîna ma mère, mais il disait coeur, coeur, parce que c'est là qu'il voulait se cacher lorsqu'il avait peur Claire. Dans ton coeur." page 64.
"Parce que des mots avaient fait jaillir le mercure de tes yeux. J'y avais pris du plaisir mais le plaisir ne fait pas un livre. Il éloigne temporairement la peur. Anesthésie fugitivement les doutes. Je ne suis pas un guérisseur papa, mais je te promets, je vais apprendre." pages 100-101
"Un accouchement est une guerre où l'on ne peut pas rendre les armes." page 120
"Ouf. Les langues de putes ne font pas de grands poètes." page 186
J'ai été énormément perturbée par l'écriture de l'auteur mais pas forcément de manière négative. des phrases très courtes de deux ou trois mots se succèdent aux phrases très longues, donnant un rythme à l'histoire, ce qui peut être légèrement déstabilisant. Le narrateur est le personnage principal de l'histoire et le récit se cale sur sa vie, ce qu'il ressent et donc le ton change, les phrases se modifient, même le registre se trouve changeant.
Cela permet finalement de mieux comprendre... ou justement de ne pas comprendre.
Tout n'était pas compréhensif. Il y a certains passages que j'ai eu du mal à analyser, à comprendre dans un premier temps, et à plusieurs moments j'ai repris ce que j'avais déjà lu pour mieux comprendre.
Grégoire est une personne qui va d'obstacles en obstacles, de drame en drame... Un peu agaçant par moment par certains choix qu'il fait (pour une fois que c'est un homme qui me rend dingue pour cette raison ) mais comment le blâmer avec le passé qu'il a... Chacun traîne ses boulets comme on dit...
Et il en a... Son père, sa mère, son frère.
Sa vie est finalement un drame j'ai trouvé et j'ai souvent eu les larmes au bord des yeux quand elles ne coulaient pas franchement le long de mes joues (je suis une pleureuse qui s'assume, je vous assure ).
Longtemps je me suis demandée: est-ce une histoire ou le récit de sa propre vie? Et cela m'a perturbée comme bien souvent. Si c'est ce qu'il a réellement vécu... Je ne trouve pas de mots pour exprimer ma peine pour lui.
Ce qui est bizarre, c'est que je sais qu'il y a des gens qui vivent des choses comme il décrit dans son livre et je fais clairement parti des privilégiés, je n'ai rien vécu de très dramatique (enfin si mais ce n'est pas le sujet). Et c'est atroce de se dire qu'il y a des gens qui vivent ainsi, qui ne sont pas heureux... Qui font des choix sans réellement savoir pourquoi et du coup qui sont malheureux et qui ne peuvent rien faire pour le malheur des gens qui leur sont chers...
Je ne sais pas si ma pensée est claire... Mais cela fait finalement réfléchir sur la vie et sur le bonheur.
Et c'est effrayant de voir ce qu'une phrase, un espoir de parents peut ruiner la vie d'un enfant... (J'ai vu des exemples dans mon entourage... C'est violent )L'écrivain de la famille qui est persuadé d'avoir une obligation, un devoir envers les autres et qui fait tourner sa vie autour de ça... La violence des mots est souvent ignorée...
En terminant ce livre, je me suis dit: "J'ai de la chance, je suis heureuse!". Alors je remercie ce livre de m'avoir permis de relativiser.
Quelques citations que j'ai adoré pour terminer cette critique.
"Tu te souviens, demanda ma mère à Claire, ce que disait ton frère quand il avait peur? Claire renifla. Il disait eur, eur. Oui et toi tu croyais qu'il voulais dire peur, enchaîna ma mère, mais il disait coeur, coeur, parce que c'est là qu'il voulait se cacher lorsqu'il avait peur Claire. Dans ton coeur." page 64.
"Parce que des mots avaient fait jaillir le mercure de tes yeux. J'y avais pris du plaisir mais le plaisir ne fait pas un livre. Il éloigne temporairement la peur. Anesthésie fugitivement les doutes. Je ne suis pas un guérisseur papa, mais je te promets, je vais apprendre." pages 100-101
"Un accouchement est une guerre où l'on ne peut pas rendre les armes." page 120
"Ouf. Les langues de putes ne font pas de grands poètes." page 186
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Re: [Delacourt, Grégoire] L'écrivain de la famille
J'ai apprécié l'écriture de ce roman. Par contre l'histoire...je n'ai pas aimé du tout. Toute la vie d'un enfant, puis de l'adulte qu'il est devenu perturbée par quelques rimes un peu stupides, non, vraiment ce n'est pas compréhensible.
J'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre jusqu'au bout.
J'ai eu beaucoup de mal à lire ce livre jusqu'au bout.
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