[Riel, Jorn] Le garçon qui voulait devenir un être humain - Livre I: le naufrage
Page 1 sur 1
Votre avis sur L'enfant qui voulait être un être humain, livre I : le naufrage de Jorn Riel
[Riel, Jorn] Le garçon qui voulait devenir un être humain - Livre I: le naufrage
Titre : Le garçon qui voulait devenir un être humain, livre I : le naufrage
Auteur : Jorn Riel
Editeur : Gaïa.
Nombre de pages : 89.
Mon résumé (le quatrième de couverture des trois tomes est identique):
An mil, en Islande. Leiv n'est encore qu'un enfant quand son père est assassiné par Thornstein. Bien que l'assassin ait été condamné à trois ans de bannissement, Leiv désire ardemment se venger. Il embarque clandestinement sur son drakkar. Commence pour lui non une histoire de vengeance, mais un voyage initiatique.
Mon avis :
J'ai découvert la plume de Jorn Riel grâce à Pani, la petite fille du Groenland de Jorn Riel . Je poursuis ma découverte de son œuvre avec Le garçon qui voulait devenir un être humain, dont voici le livre I. Le lien entre les deux oeuvres est l'allusion à la Mère de la mer, figure protectrice des hommes et de la nature.
Nous pourrions presque croire que nous sommes dans un conte. L'époque est si lointain qu'elle en devient imprécise pour le lecteur actuel. Ce qui ne l'est pas est le code de l'honneur qu'applique Leiv, le jeune islandais brusquement projeté dans le monde des adultes : Rodrigue et Chimène, Orso et Colomba ont strictement le même. Ce qui change est que Leiv est bien trop jeune pour se mesurer à son adversaire, Thornstein. Il apprendra, au cours de ce voyage, à estimer cet adversaire, prisonnier d'un code de l'honneur qui n'était pas le sien.
Le voyage, comme l'indique le titre du livre I, tourne court à cause d'un naufrage - les glaces et le brouillard sont les ennemis du drakkar. Leiv survit, et rencontre Narua et Apuluk, deux enfants inuits. Grâce à eux et à leur courage - leur peuple ne craint-il pas les êtres venus d'ailleurs, au point de les mettre à mort sans discussion possible - Leiv se confronte à un peuple et à une culture radicalement différente de la sienne. A la fin de ce livre I, je parlerai presque d'intégration, tant Leiv a amené les inuits à modifier leur jugement et tant lui-même s'est fait à leur mode de vie. Les épreuves qu'il a traversées ont fait de lui un inuit, c'est à dire un humain.
Reverra-t-il les siens ? La réponse dans le livre II.
Auteur : Jorn Riel
Editeur : Gaïa.
Nombre de pages : 89.
Mon résumé (le quatrième de couverture des trois tomes est identique):
An mil, en Islande. Leiv n'est encore qu'un enfant quand son père est assassiné par Thornstein. Bien que l'assassin ait été condamné à trois ans de bannissement, Leiv désire ardemment se venger. Il embarque clandestinement sur son drakkar. Commence pour lui non une histoire de vengeance, mais un voyage initiatique.
Mon avis :
J'ai découvert la plume de Jorn Riel grâce à Pani, la petite fille du Groenland de Jorn Riel . Je poursuis ma découverte de son œuvre avec Le garçon qui voulait devenir un être humain, dont voici le livre I. Le lien entre les deux oeuvres est l'allusion à la Mère de la mer, figure protectrice des hommes et de la nature.
Nous pourrions presque croire que nous sommes dans un conte. L'époque est si lointain qu'elle en devient imprécise pour le lecteur actuel. Ce qui ne l'est pas est le code de l'honneur qu'applique Leiv, le jeune islandais brusquement projeté dans le monde des adultes : Rodrigue et Chimène, Orso et Colomba ont strictement le même. Ce qui change est que Leiv est bien trop jeune pour se mesurer à son adversaire, Thornstein. Il apprendra, au cours de ce voyage, à estimer cet adversaire, prisonnier d'un code de l'honneur qui n'était pas le sien.
Le voyage, comme l'indique le titre du livre I, tourne court à cause d'un naufrage - les glaces et le brouillard sont les ennemis du drakkar. Leiv survit, et rencontre Narua et Apuluk, deux enfants inuits. Grâce à eux et à leur courage - leur peuple ne craint-il pas les êtres venus d'ailleurs, au point de les mettre à mort sans discussion possible - Leiv se confronte à un peuple et à une culture radicalement différente de la sienne. A la fin de ce livre I, je parlerai presque d'intégration, tant Leiv a amené les inuits à modifier leur jugement et tant lui-même s'est fait à leur mode de vie. Les épreuves qu'il a traversées ont fait de lui un inuit, c'est à dire un humain.
Reverra-t-il les siens ? La réponse dans le livre II.
Sharon- Modérateur
-
Nombre de messages : 13263
Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
Sujets similaires
» [Riel, Jorn] Le garçon qui voulait devenir un être humain - Livre III: ... et Solvi
» [Riel, Jorn] Le garçon qui voulait devenir un être humain - Livre II: Leiv, Narua et Apuluk
» [Palomas, Alejandro] Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins
» [Riel, Jorn] Le roi Oscar
» [Riel, Jorn] la maison des célibataires
» [Riel, Jorn] Le garçon qui voulait devenir un être humain - Livre II: Leiv, Narua et Apuluk
» [Palomas, Alejandro] Le petit garçon qui voulait être Mary Poppins
» [Riel, Jorn] Le roi Oscar
» [Riel, Jorn] la maison des célibataires
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum