[Reinhardt, Eric] Le système Victoria
Page 1 sur 1
notre avis:
[Reinhardt, Eric] Le système Victoria
Titre: Le système Victoria
Auteur: Eric REINHARDT
Editeur: Stock
522 pages
2011
ISBN 978-2-234-06190-3
Quatrième de couverture:
"Si j'avais renoncé, à cet instant précis, à lui adresser la parole, intimidé par la perspective de faire entrer dans ma vie une femme de cette stature; si je lui avais dit: "Excusez-moi, je suis désolé, je vous ai prise pour quelqu'un d'autre", avant de m'éloigner et de rentrer chez moi; si j'avais pu savoir que l'aborder entraînerait mon existence dans une direction où je n'étais pas sûr de désirer qu'elle s'aventure, Victoria n'aurait pas trouvé la mort un peu moins d'un an après notre rencontre. Elle serait encore vivante aujourd'hui. Je ne vivrais pas retiré dans un hôtel de la Creuse, au bord d'une route, séparé de Sylvie et des enfants, à ruminer ma culpabilité. Je n'aurais pas été détruit par le rôle que j'ai joué dans ce drame, ni par les deux jours de garde à vue qui en ont découlé. Le visage, les regards, la pitié de Christophe Keller ne se seraient pas installés dans ma conscience comme une obsession corrosive. Mais il se trouve que le visage de Victoria s'est tourné vers le mien et que j'ai basculé dans ce regard qui s'étonnait."
Mon avis:
Un roman étonnant, détonnant, envoûtant!
Lui, David, est conducteur de travaux, politiquement orienté à gauche. Dans son milieu, on peut dire qu'il a réussi. Il travaille d'ailleurs à l'élaboration d'une tour avant-gardiste pour le quartier de la Défense. Sa vie personnelle le satisfait. Il n'est pas vraiment comblé, il entretient quelques relations adultères pour le fun mais dans l'ensemble il est heureux.
Elle, Victoria, occupe un poste de DRH monde dans une multinationale, belle, dynamique, elle a tout pour elle. Elle évolue dans un monde où l'argent est roi, où l'on décide du sort de centaines d'ouvriers en réunion, sans état d'âme, seulement pour influer sur le cours de la bourse. C'est un personnage qui nous glisse entre les mains, on croit la cerner puis on se rend compte qu'on ne la connaît pas, énigmatique et ensorceleuse.
Beaucoup de choses les séparent et pourtant, ils ne vont plus pouvoir se passer l'un de l'autre. Leur relation repose sur une attirance sexuelle inextinguible mais aussi sur le choc de deux mondes aux codes et coutumes différents qui par ailleurs ne se mélangent pas. Aventure érotique et sociologique.
Ce que vous trouverez dans ce livre si vous décidez de vous laisser tenter: une critique de notre société, de ceux qui la gouvernent, de ceux qui tentent de s'y faire une place mais aussi des passages d'un érotisme débridé comme peu d'auteur se laissent aller à en écrire; une expérience humaine alliant amour, jalousie, envie, indifférence, violence, corruption. Une fuite en avant dans la recherche du plaisir et celle de la reconnaissance sociale, quand le personnel et le professionnel sont intimement liés. Le tout servi par de belles qualités littéraires.
En ce qui me concerne j'en redemande et je vais essayer de me procurer d'autres ouvrages du même auteur.
Auteur: Eric REINHARDT
Editeur: Stock
522 pages
2011
ISBN 978-2-234-06190-3
Quatrième de couverture:
"Si j'avais renoncé, à cet instant précis, à lui adresser la parole, intimidé par la perspective de faire entrer dans ma vie une femme de cette stature; si je lui avais dit: "Excusez-moi, je suis désolé, je vous ai prise pour quelqu'un d'autre", avant de m'éloigner et de rentrer chez moi; si j'avais pu savoir que l'aborder entraînerait mon existence dans une direction où je n'étais pas sûr de désirer qu'elle s'aventure, Victoria n'aurait pas trouvé la mort un peu moins d'un an après notre rencontre. Elle serait encore vivante aujourd'hui. Je ne vivrais pas retiré dans un hôtel de la Creuse, au bord d'une route, séparé de Sylvie et des enfants, à ruminer ma culpabilité. Je n'aurais pas été détruit par le rôle que j'ai joué dans ce drame, ni par les deux jours de garde à vue qui en ont découlé. Le visage, les regards, la pitié de Christophe Keller ne se seraient pas installés dans ma conscience comme une obsession corrosive. Mais il se trouve que le visage de Victoria s'est tourné vers le mien et que j'ai basculé dans ce regard qui s'étonnait."
Mon avis:
Un roman étonnant, détonnant, envoûtant!
Lui, David, est conducteur de travaux, politiquement orienté à gauche. Dans son milieu, on peut dire qu'il a réussi. Il travaille d'ailleurs à l'élaboration d'une tour avant-gardiste pour le quartier de la Défense. Sa vie personnelle le satisfait. Il n'est pas vraiment comblé, il entretient quelques relations adultères pour le fun mais dans l'ensemble il est heureux.
Elle, Victoria, occupe un poste de DRH monde dans une multinationale, belle, dynamique, elle a tout pour elle. Elle évolue dans un monde où l'argent est roi, où l'on décide du sort de centaines d'ouvriers en réunion, sans état d'âme, seulement pour influer sur le cours de la bourse. C'est un personnage qui nous glisse entre les mains, on croit la cerner puis on se rend compte qu'on ne la connaît pas, énigmatique et ensorceleuse.
Beaucoup de choses les séparent et pourtant, ils ne vont plus pouvoir se passer l'un de l'autre. Leur relation repose sur une attirance sexuelle inextinguible mais aussi sur le choc de deux mondes aux codes et coutumes différents qui par ailleurs ne se mélangent pas. Aventure érotique et sociologique.
Ce que vous trouverez dans ce livre si vous décidez de vous laisser tenter: une critique de notre société, de ceux qui la gouvernent, de ceux qui tentent de s'y faire une place mais aussi des passages d'un érotisme débridé comme peu d'auteur se laissent aller à en écrire; une expérience humaine alliant amour, jalousie, envie, indifférence, violence, corruption. Une fuite en avant dans la recherche du plaisir et celle de la reconnaissance sociale, quand le personnel et le professionnel sont intimement liés. Le tout servi par de belles qualités littéraires.
En ce qui me concerne j'en redemande et je vais essayer de me procurer d'autres ouvrages du même auteur.
Véronique M.- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 1701
Age : 55
Localisation : 04
Emploi/loisirs : prof d'écoles/ lecture randonnée jeux de société, puzzles
Genre littéraire préféré : un peu de tout, romans en tous genres,biographies, essais mais pas trop la science fiction.
Date d'inscription : 12/02/2010
Re: [Reinhardt, Eric] Le système Victoria
Une fois de plus j'ai été bernée par la quatrième de couverture qui annonçait une histoire mystérieuse, triste et sombre.
Mais en fait ce n'est qu'une histoire de c... Il y a trop de scènes à caractère sexuel tant et si bien que le livre semble se résumer à cela, aux rendez-vous de David et Victoria dans des chambres d'hotel aux seules fins de coucher ensemble.
Je ne me suis pas du tout attaché aux personnages que j'ai trouvé plutôt désagréables. En effet dès le début, David apparaît comme un homme particulièrement détestable : alors qu'il sait que sa femme l'attend chez lui avec ses enfants pour fêter l'anniversaire d'une de ses filles, non seulement il ne trouve rien de mieux à faire que de suivre une inconnue dans la rue amis en plus, une fois rentré chez lui il se permet de reprocher à sa charmante épouse d'avoir passé une bonne soirée sans lui avec leurs amis....!!!
Tout le roman est centré autour des deux personnages que sont David et Victoria et de leurs rencontres sexuelles. Il y a bien eu un petit chapitre sur la rencontre de David avec sa femme et un peu de leur vie ensemble, on devine même qu'elle est atteinte d'une maladie mais rien de plus et on reste sur sa faim.... pour repartir dans les ébats de David et Victoria.
En fait ce roman m'est apparu comme une caricature des relations adultères, Victoria jouant le rôle du vilain amant qui promet monts et merveilles à sa maîtresse pour faire durer la relation et David jouant le rôle de la pauvre maîtresse qui se soumet aux bonnes volontés de son amant.
Bref, un roman que j'ai lu jusqu'au bout mais qui ne m'a pas plu du tout.
Mais en fait ce n'est qu'une histoire de c... Il y a trop de scènes à caractère sexuel tant et si bien que le livre semble se résumer à cela, aux rendez-vous de David et Victoria dans des chambres d'hotel aux seules fins de coucher ensemble.
Je ne me suis pas du tout attaché aux personnages que j'ai trouvé plutôt désagréables. En effet dès le début, David apparaît comme un homme particulièrement détestable : alors qu'il sait que sa femme l'attend chez lui avec ses enfants pour fêter l'anniversaire d'une de ses filles, non seulement il ne trouve rien de mieux à faire que de suivre une inconnue dans la rue amis en plus, une fois rentré chez lui il se permet de reprocher à sa charmante épouse d'avoir passé une bonne soirée sans lui avec leurs amis....!!!
Tout le roman est centré autour des deux personnages que sont David et Victoria et de leurs rencontres sexuelles. Il y a bien eu un petit chapitre sur la rencontre de David avec sa femme et un peu de leur vie ensemble, on devine même qu'elle est atteinte d'une maladie mais rien de plus et on reste sur sa faim.... pour repartir dans les ébats de David et Victoria.
En fait ce roman m'est apparu comme une caricature des relations adultères, Victoria jouant le rôle du vilain amant qui promet monts et merveilles à sa maîtresse pour faire durer la relation et David jouant le rôle de la pauvre maîtresse qui se soumet aux bonnes volontés de son amant.
Bref, un roman que j'ai lu jusqu'au bout mais qui ne m'a pas plu du tout.
Invité- Invité
Re: [Reinhardt, Eric] Le système Victoria
En lisant vos critiques l'une après l'autre on en est déboussolé
Invité- Invité
Re: [Reinhardt, Eric] Le système Victoria
Un homme, une femme, dans une galerie commerçante. Ils ne se connaissent pas. Ils se croisent, un échange de regards, rien ne se passe. Ou plutôt, si, une étincelle dans les yeux de la femme que l’homme interprète comme une approbation muette. Mais rien de plus tangible à cet instant. La femme continue son chemin, l’homme par contre va l’observer à son insu pendant des heures avant de l’aborder. Le début d’une liaison brûlante, qui les mènera à leur perte, puisqu’on sait dès le début que la femme, Victoria, va mourir, et que l’homme, David, finira exilé de sa propre vie.
Mais revenons au début. David, marié, deux enfants, chef de travaux de la future plus haute tour de France, est soumis à une pression infernale pour livrer l’édifice dans les délais. Il se rêvait architecte mais n’a jamais eu le cran de se lancer. Victoria, DRH d’une multinationale, licencie à tour de bras et sans états d’âme, en bonne néolibérale cynique et manipulatrice. David trompe régulièrement sa potiche de femme, a pour principe de ne jamais revoir ses maîtresses d’un soir. Il prend soin de choisir des cibles de son niveau social, voire d’un niveau inférieur. Il rentre parfaitement dans la catégorie « chasseur ». On pense au début que Victoria est l’élément faible du couple, on croit déceler certaines fragilités, qu’elle est une proie consentante. Pourtant, au fil des rendez-vous de plus en plus torrides, le rapport dominant-dominée va s’inverser, David devenant « esclave » de l’appétit sexuel croissant de Victoria. Celle-ci le manipulera, pour le maintenir sous sa coupe, en lui faisant miroiter un projet architectural qui permettrait à David de monter sa propre agence.
Au bout du compte, Victoria sera bien une victime, victime d’elle-même et de ses fantasmes érotiques qu’elle est incapable de réfréner.
Pour moi, c’est clair : je n’ai pas aimé ce roman.
J’ai trouvé la fin invraisemblable : quelle coïncidence que Victoria soit tombée sur deux types louches, qui de plus étaient de mèche. Vraiment pas de bol…
J’ai trouvé les personnages détestables : ce type qui suit une inconnue en négligeant la fête d’anniversaire de sa fille, qui trompe sa femme mais qui est trop lâche pour la quitter (prenant prétexte d’un « pacte » de jeunesse – n’importe quoi). Victoria n’est pas plus attachante.
Je n’ai pas été convaincue par le volet « lutte des classes » : le discours gauchiste dans la bouche de David sonne complètement faux quand il prend parti pour les ouvriers alors qu’il est lui-même dans la tranche supérieure de la classe moyenne. Pareil quand il harangue les entrepreneurs de la tour pour les « re-booster » (rien que ce mot m’énerve) : ça m’a fait rire tant c’était peu crédible et caricatural. A l’image d’ailleurs de pas mal de dialogues.
Je n’ai pas été captivée par les pages de détails techniques sur la construction des porte-à-faux, ni pas les considérations bien trop cérébrales de l’auteur/narrateur.
Que dire encore ? ah oui, les fameuses scènes de sexe censées torrides…J’ai déjà lu bien plus salace ailleurs sans que ce soit de la littérature porno. Et puis cette façon insupportable d’enrober tout ça de prises de tête esthétiques, presque métaphysiques, alors que c’est juste un plan Q, puisqu’il n’est pas question de sentiments…
Enfin, je n’ai pas aimé que l’auteur surfe sur une vague « facile » : il est aujourd’hui politiquement correct de décrier les dérives de l’ultralibéralisme (je ne nie pas leur existence), et de jouer les moralisateurs en prônant le retour aux valeurs humanistes. Pimentez le tout avec du sexe débridé, un meurtre, faites-vous encenser par la critique (je me demande si on a lu le même bouquin), et vous aurez un best-seller.
Un point positif tout de même : l’auteur écrit très bien, et on peut malgré tout se laisser envoûter par ses phrases complexes. Mais c’est bien peu.
Voilà, quand j’aime pas, j’aime pas…
Mais revenons au début. David, marié, deux enfants, chef de travaux de la future plus haute tour de France, est soumis à une pression infernale pour livrer l’édifice dans les délais. Il se rêvait architecte mais n’a jamais eu le cran de se lancer. Victoria, DRH d’une multinationale, licencie à tour de bras et sans états d’âme, en bonne néolibérale cynique et manipulatrice. David trompe régulièrement sa potiche de femme, a pour principe de ne jamais revoir ses maîtresses d’un soir. Il prend soin de choisir des cibles de son niveau social, voire d’un niveau inférieur. Il rentre parfaitement dans la catégorie « chasseur ». On pense au début que Victoria est l’élément faible du couple, on croit déceler certaines fragilités, qu’elle est une proie consentante. Pourtant, au fil des rendez-vous de plus en plus torrides, le rapport dominant-dominée va s’inverser, David devenant « esclave » de l’appétit sexuel croissant de Victoria. Celle-ci le manipulera, pour le maintenir sous sa coupe, en lui faisant miroiter un projet architectural qui permettrait à David de monter sa propre agence.
Au bout du compte, Victoria sera bien une victime, victime d’elle-même et de ses fantasmes érotiques qu’elle est incapable de réfréner.
Pour moi, c’est clair : je n’ai pas aimé ce roman.
J’ai trouvé la fin invraisemblable : quelle coïncidence que Victoria soit tombée sur deux types louches, qui de plus étaient de mèche. Vraiment pas de bol…
J’ai trouvé les personnages détestables : ce type qui suit une inconnue en négligeant la fête d’anniversaire de sa fille, qui trompe sa femme mais qui est trop lâche pour la quitter (prenant prétexte d’un « pacte » de jeunesse – n’importe quoi). Victoria n’est pas plus attachante.
Je n’ai pas été convaincue par le volet « lutte des classes » : le discours gauchiste dans la bouche de David sonne complètement faux quand il prend parti pour les ouvriers alors qu’il est lui-même dans la tranche supérieure de la classe moyenne. Pareil quand il harangue les entrepreneurs de la tour pour les « re-booster » (rien que ce mot m’énerve) : ça m’a fait rire tant c’était peu crédible et caricatural. A l’image d’ailleurs de pas mal de dialogues.
Je n’ai pas été captivée par les pages de détails techniques sur la construction des porte-à-faux, ni pas les considérations bien trop cérébrales de l’auteur/narrateur.
Que dire encore ? ah oui, les fameuses scènes de sexe censées torrides…J’ai déjà lu bien plus salace ailleurs sans que ce soit de la littérature porno. Et puis cette façon insupportable d’enrober tout ça de prises de tête esthétiques, presque métaphysiques, alors que c’est juste un plan Q, puisqu’il n’est pas question de sentiments…
Enfin, je n’ai pas aimé que l’auteur surfe sur une vague « facile » : il est aujourd’hui politiquement correct de décrier les dérives de l’ultralibéralisme (je ne nie pas leur existence), et de jouer les moralisateurs en prônant le retour aux valeurs humanistes. Pimentez le tout avec du sexe débridé, un meurtre, faites-vous encenser par la critique (je me demande si on a lu le même bouquin), et vous aurez un best-seller.
Un point positif tout de même : l’auteur écrit très bien, et on peut malgré tout se laisser envoûter par ses phrases complexes. Mais c’est bien peu.
Voilà, quand j’aime pas, j’aime pas…
Invité- Invité
Re: [Reinhardt, Eric] Le système Victoria
J'a failli arrêter ce livre dès les premières pages, prise d'une sorte de répulsion.
Le personnage de Victoria est odieux, le narrateur pas très sympathique non plus. Je trouvais le style pompeux, emphatique, avec certaines phrases frisant le ridicule. Certaines analyses de sentiments et de situations sont tellement poussés qu'on ne sait plus à la fin de certains paragraphes comment ni pourquoi l'auteur les a commencés.
Et puis je me suis accrochée, et je n'ai pas regretté. Le style gagne en fluidité et sobriété au fur et à mesure que l'intrigue avance. Les personnages deviennent plus humains. Et puis le monde des cadres supérieurs est décrit avec beaucoup de justesse à mon avis.
Je suis finalement bien rentrée dans cette histoire.
Un seul bémol: l'aspect sexuel de Victoria est très fantasmé par l'auteur. On sent bien que c'est un homme.
Le personnage de Victoria est odieux, le narrateur pas très sympathique non plus. Je trouvais le style pompeux, emphatique, avec certaines phrases frisant le ridicule. Certaines analyses de sentiments et de situations sont tellement poussés qu'on ne sait plus à la fin de certains paragraphes comment ni pourquoi l'auteur les a commencés.
Et puis je me suis accrochée, et je n'ai pas regretté. Le style gagne en fluidité et sobriété au fur et à mesure que l'intrigue avance. Les personnages deviennent plus humains. Et puis le monde des cadres supérieurs est décrit avec beaucoup de justesse à mon avis.
Je suis finalement bien rentrée dans cette histoire.
Un seul bémol: l'aspect sexuel de Victoria est très fantasmé par l'auteur. On sent bien que c'est un homme.
Invité- Invité
Sujets similaires
» News: Système de points
» [Heska, J.] On ne peut pas lutter contre le système
» [V, Sonia] Taxi Victoria
» [Gaulejac, Vincent (de) et Hanique, Fabienne] Le capitalisme paradoxant, un système qui rend fou
» [Mas, Victoria] Le Bal des Folles
» [Heska, J.] On ne peut pas lutter contre le système
» [V, Sonia] Taxi Victoria
» [Gaulejac, Vincent (de) et Hanique, Fabienne] Le capitalisme paradoxant, un système qui rend fou
» [Mas, Victoria] Le Bal des Folles
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum