[Murcie, Georges] Motel 113
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motel 113
[Murcie, Georges] Motel 113
MOTEL 113
SF
234 pages édité au fleuve noir en 1971
Résumé
... Sur le large écran illuminé, l'intérieur de la cellule venait d'apparaître. L'image était un peu floue, mais Pierre Belfort ne songeait même pas à effectuer la légère correction qui s'imposait. On voyait suffisamment bien... La cellule cosmique partait à vide... Un engin inutile qui se ruait vers les nues, vers les espaces insondables du Cosmos. Sur le siège, les sangles : bouclées, verrouillées ; les attaches parfaitement en ordre... Elles pendaient mollement, fermées sur le vide. Car Chris Welch ne se trouvait plus à bord...
Mon ressenti
Un livre sympathique sur les interactions entre les hommes et leurs machines, en l’occurrence, l’ordinateur qu’ils ont créé. Thème largement mis en scène dans les années 60/70, où la robotique faisait son entrée dans le monde du travail et que l’informatique entrait dans les grandes administrations de l’état.
La peur est toujours la même l’ordinateur et son intelligence artificielle échappe au contrôle… cependant ici, c’est un homme qui est derrière tout cela et qui amène une autre dimension. Celle de l’homme qui perd contact avec la réalité collective et qui veut faire prévaloir sa vision du monde (en l’occurrence, il ne veut pas de modernisme, de progrès et de changement dans la société qu’il connait)…
Ce n’est pas la meilleure histoire qui nous est comptée ici mais il est toujours intéressant de voir que les mêmes idées perdurent.
SF
234 pages édité au fleuve noir en 1971
Résumé
... Sur le large écran illuminé, l'intérieur de la cellule venait d'apparaître. L'image était un peu floue, mais Pierre Belfort ne songeait même pas à effectuer la légère correction qui s'imposait. On voyait suffisamment bien... La cellule cosmique partait à vide... Un engin inutile qui se ruait vers les nues, vers les espaces insondables du Cosmos. Sur le siège, les sangles : bouclées, verrouillées ; les attaches parfaitement en ordre... Elles pendaient mollement, fermées sur le vide. Car Chris Welch ne se trouvait plus à bord...
Mon ressenti
Un livre sympathique sur les interactions entre les hommes et leurs machines, en l’occurrence, l’ordinateur qu’ils ont créé. Thème largement mis en scène dans les années 60/70, où la robotique faisait son entrée dans le monde du travail et que l’informatique entrait dans les grandes administrations de l’état.
La peur est toujours la même l’ordinateur et son intelligence artificielle échappe au contrôle… cependant ici, c’est un homme qui est derrière tout cela et qui amène une autre dimension. Celle de l’homme qui perd contact avec la réalité collective et qui veut faire prévaloir sa vision du monde (en l’occurrence, il ne veut pas de modernisme, de progrès et de changement dans la société qu’il connait)…
Ce n’est pas la meilleure histoire qui nous est comptée ici mais il est toujours intéressant de voir que les mêmes idées perdurent.
Pinky- Grand sage du forum
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Age : 61
Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
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