[Van Cauwelaert, Didier] Corps étranger
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[Van Cauwelaert, Didier] Corps étranger
Titre : Corps étranger
Auteur : Didier Van Cauwelaert
Edition : livre de poche
Nombre de pages : 318
Quatrième de couverture :
Peut-on changer de vie par amour, devenir quelqu’un de neuf sous une autre identité, sans sacrifier pour autant son existence habituelle ? C’est ce que va oser Frédéric. A dix-huit ans, il avait publié sous le nom de Richard Glen un roman passé inaperçu, puis il avait renoncé à l’écriture ; il avait conquis Paris d’une autre manière…Mais, un jour, une jeune étudiante de Bruges envoie une lettre à ce pseudonyme oublié depuis plus de vingt ans. De tentations inconnues en bonheurs d’imposture, il va s’inventer dans les yeux de Karine un autre passé, un autre présent… Mais combien de temps deux personnalités peuvent-elles se partager un corps ? Avec son humour et sa tendresse implacable, le romancier d’Un aller simple, prix Goncourt 1994, nous entraîne dans un récit poignant.
Mon avis :
Je vais essayer de ne pas dévoiler davantage l’histoire parce que, selon moi, le résumé de la quatrième de couverture en dit déjà beaucoup trop.
Sincèrement, c'est parce que j’aime beaucoup cet auteur que je suis allée jusqu’au bout de ce livre…Je n’y ai pas retrouvé le style incisif et plein d’humour que j’apprécie d’ordinaire dans ses romans et j’ai eu beaucoup de mal à m’intéresser à l’histoire…. En fait, jusqu’à ce que le personnage principal reçoive cette fameuse lettre, il ne se passe pratiquement rien ! Enfin, rien d’intéressant, parce que l’auteur nous raconte le quotidien de Frédéric dans ses détails les plus insignifiants… J’imagine que c’est pour mieux rendre la vacuité de son existence, mais il a bien failli me décourager de poursuivre ma lecture !
Ceci dit, il y a du bon dans ce roman : la psychologie complexe du héros, qui à bien des égards est plutôt un anti-héros, le thème de la double personnalité et quelques effets de surprise que l’auteur a tout-de-même su réserver au lecteur.
Quand on a dépassé les 100 premières pages, on a envie de savoir ce qui va se passer !
Ma note : 5 /10
Auteur : Didier Van Cauwelaert
Edition : livre de poche
Nombre de pages : 318
Quatrième de couverture :
Peut-on changer de vie par amour, devenir quelqu’un de neuf sous une autre identité, sans sacrifier pour autant son existence habituelle ? C’est ce que va oser Frédéric. A dix-huit ans, il avait publié sous le nom de Richard Glen un roman passé inaperçu, puis il avait renoncé à l’écriture ; il avait conquis Paris d’une autre manière…Mais, un jour, une jeune étudiante de Bruges envoie une lettre à ce pseudonyme oublié depuis plus de vingt ans. De tentations inconnues en bonheurs d’imposture, il va s’inventer dans les yeux de Karine un autre passé, un autre présent… Mais combien de temps deux personnalités peuvent-elles se partager un corps ? Avec son humour et sa tendresse implacable, le romancier d’Un aller simple, prix Goncourt 1994, nous entraîne dans un récit poignant.
Mon avis :
Je vais essayer de ne pas dévoiler davantage l’histoire parce que, selon moi, le résumé de la quatrième de couverture en dit déjà beaucoup trop.
Sincèrement, c'est parce que j’aime beaucoup cet auteur que je suis allée jusqu’au bout de ce livre…Je n’y ai pas retrouvé le style incisif et plein d’humour que j’apprécie d’ordinaire dans ses romans et j’ai eu beaucoup de mal à m’intéresser à l’histoire…. En fait, jusqu’à ce que le personnage principal reçoive cette fameuse lettre, il ne se passe pratiquement rien ! Enfin, rien d’intéressant, parce que l’auteur nous raconte le quotidien de Frédéric dans ses détails les plus insignifiants… J’imagine que c’est pour mieux rendre la vacuité de son existence, mais il a bien failli me décourager de poursuivre ma lecture !
Ceci dit, il y a du bon dans ce roman : la psychologie complexe du héros, qui à bien des égards est plutôt un anti-héros, le thème de la double personnalité et quelques effets de surprise que l’auteur a tout-de-même su réserver au lecteur.
Quand on a dépassé les 100 premières pages, on a envie de savoir ce qui va se passer !
Ma note : 5 /10
Invité- Invité
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