[Rowen, Michelle] Belladone - Tome 1: Nuit de sang
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[Rowen, Michelle] Belladone - Tome 1: Nuit de sang
BELLADONE, 1 NUIT DE SANG :
Jillian était une fille sans histoire jusqu’à ce qu’on la prenne en otage. Désormais, il ne lui reste plus qu’un choix à faire : mourir des mains de Declan, l’assassin dhampire qui la retient prisonnière, ou succomber aux effets secondaires du poison qu’on lui a injecté : la Belladone. Un venin qui fait d’elle l’arme ultime dans la guerre contre les vampires. Le seul espoir de Jill consiste à convaincre son kidnappeur de la relâcher, mais comment toucher le coeur d’un homme qui n’a jamais ressenti aucune émotion ?
Broché: 360 pages
Editeur : MILADY (26 octobre 2012)
Collection : Bit-Lit
Langue : Français
ISBN-10: 2811208445
ISBN-13: 978-2811208448
(amazon.fr)
★☆★ Jillian a eu la malencontreuse idée de se retrouver au mauvais endroit au mauvais moment. D'une simple vie morne et monotone, la voici propulsée au milieu d'une guerre inter-espèce.
Elle se retrouve kidnappée par un borgne plein de cicatrices (pour une fois, pas un bellâtre dans le paysage de la bit-lit !), utilisée comme rat de laboratoire et va devoir jouer sa vie à une course contre la montre.
Un roman original et dynamique. Plein de rebondissements, de révélation en tous genres, de scènes d'action; le tout servi avec une jolie pointe d'humour et de sarcasmes.
Les personnages sont très intéressants et complexes. Cela donne envie de mieux les connaître, de continuer l'aventure avec eux. Ca tombe bien, la parution du tome 2 est prévue pour février 2013. ★☆★
Note : 2.5/3
Re: [Rowen, Michelle] Belladone - Tome 1: Nuit de sang
Mon avis :
La littérature vampirique fleurit, et il n’est pas un seul vampire qui ressemble à un autre. Chaque auteur crée un univers particulier, mais toujours sanglant. Pardon, j’oublie toujours les gentils vampires végétariens et chastes de Twilight. Ici, les vampires sont capables de se reproduire, et pas seulement en mordant un humain et en le forçant à boire son sang. Les vampires peuvent avoir des enfants, et pas seulement s’ils viennent d’être fraîchement transformé (voir le cycle Chasseuse de la nuit de Jeaniene Frost à ce sujet). Pas les vampirettes, hélas, elles sont stériles. Et les humaines qui accouchent de bébés vampires, pardon, de bébés dhampires ne sont pas assurées de survivre. Où sont passées les féministes, je vous le demande ? A quand une révolte des vampirettes et des humaines sur le sort fatal que la bit-lit leur réserve ? Surtout, quelle auteur osera franchir ce pas ?
Et Jillian (Jill pour les amies) n’est pas franchement ravie de sa rencontre avec Declan, le dhampire. Certes, il lui a sauvé la vie – en tuant le scientifique qui l’avait prise en otage. Mais il aurait pu le tuer avant qu’il ne l’empoisonne avec la belladone ! Et pendant les cent premières pages, Jill, une simple employée de bureau partie chercher des cafés, passe beaucoup de temps à se plaindre, à essayer de s’échapper. Et les dangers qui l’entourent ne la font pas changer d’avis. Elle rappelle alors moultes héroïnes de romance, dont je peine à me souvenir le nom.
Mais tout change après le premier tiers du roman – heureusement. Jill découvre des choses qu’elle n’était pas sensée découvrir – c’est fou le nombre de programmes secrets du gouvernement que l’on trouve dans les romans. Elle se fait aussi un ami, très sympathique, pas très combattif non plus, au contraire de Jill, bien décidée à vivre, à survivre, pourrait-on dire. Elle a aussi du sens critique, la chère petite, et une colère farouchement chevillée au corps contre ceux qui l’ont entraînée dans ce complot. Tant mieux pour elle et pour les lecteurs, tant pis pour eux. Et si j’ajoute que le héros est l’heureux possesseur d’un félin borgne, maigre et rempli de puces, au caractère particulièrement pénible, vous comprendrez que j’ai aimé lire ce livre, en compagnie de ma chère Moïra.
La littérature vampirique fleurit, et il n’est pas un seul vampire qui ressemble à un autre. Chaque auteur crée un univers particulier, mais toujours sanglant. Pardon, j’oublie toujours les gentils vampires végétariens et chastes de Twilight. Ici, les vampires sont capables de se reproduire, et pas seulement en mordant un humain et en le forçant à boire son sang. Les vampires peuvent avoir des enfants, et pas seulement s’ils viennent d’être fraîchement transformé (voir le cycle Chasseuse de la nuit de Jeaniene Frost à ce sujet). Pas les vampirettes, hélas, elles sont stériles. Et les humaines qui accouchent de bébés vampires, pardon, de bébés dhampires ne sont pas assurées de survivre. Où sont passées les féministes, je vous le demande ? A quand une révolte des vampirettes et des humaines sur le sort fatal que la bit-lit leur réserve ? Surtout, quelle auteur osera franchir ce pas ?
Et Jillian (Jill pour les amies) n’est pas franchement ravie de sa rencontre avec Declan, le dhampire. Certes, il lui a sauvé la vie – en tuant le scientifique qui l’avait prise en otage. Mais il aurait pu le tuer avant qu’il ne l’empoisonne avec la belladone ! Et pendant les cent premières pages, Jill, une simple employée de bureau partie chercher des cafés, passe beaucoup de temps à se plaindre, à essayer de s’échapper. Et les dangers qui l’entourent ne la font pas changer d’avis. Elle rappelle alors moultes héroïnes de romance, dont je peine à me souvenir le nom.
Mais tout change après le premier tiers du roman – heureusement. Jill découvre des choses qu’elle n’était pas sensée découvrir – c’est fou le nombre de programmes secrets du gouvernement que l’on trouve dans les romans. Elle se fait aussi un ami, très sympathique, pas très combattif non plus, au contraire de Jill, bien décidée à vivre, à survivre, pourrait-on dire. Elle a aussi du sens critique, la chère petite, et une colère farouchement chevillée au corps contre ceux qui l’ont entraînée dans ce complot. Tant mieux pour elle et pour les lecteurs, tant pis pour eux. Et si j’ajoute que le héros est l’heureux possesseur d’un félin borgne, maigre et rempli de puces, au caractère particulièrement pénible, vous comprendrez que j’ai aimé lire ce livre, en compagnie de ma chère Moïra.
Sharon- Modérateur
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