[Mankell, Henning] Un paradis trompeur
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[Mankell, Henning] Un paradis trompeur
[Mankell, Henning] Un paradis trompeur
[Mankell, Henning]
Un paradis trompeur
Ed.Seuil octobre 2013
ISBN 978 2 02 107970 8
Quatrième de couverture
Un paradis trompeur
Ed.Seuil octobre 2013
ISBN 978 2 02 107970 8
Quatrième de couverture
Le froid et la misère ont marqué l’enfance de Hanna Renström dans un hameau au nord de la Suède. En avril 1904, à l’âge de dix-huit ans, elle s’embarque sur un vapeur en partance pour l’Australie dans l’espoir d’une vie meilleure. Pourtant aucune de ses attentes ? ou de ses craintes ? ne la prépare à son destin. Deux fois mariée brièvement, deux fois veuve, elle se retrouve à la tête d’une grosse fortune et d’un bordel au Mozambique, dans l’Afrique orientale portugaise. Elle se sent seule en tant que femme au sein d’une société coloniale régie par la suprématie machiste des Blancs, seule de par la couleur de sa peau parmi les prostituées noires, seule face à la ségrégation, au racisme, à la haine, et à la peur de l’autre qui habite les Blancs comme les Noirs, et qui définit tout rapport humain. Ce paradis loin de son village natal n’est-il qu’un monde de ténèbres ?
Mon avis
En 1905, une Suédoise de dix-huit ans fuit la misère en s'embarquant comme cuisinière sur un navire à destination de l'Australie. Elle épouse le second à l'escale d'Alger, mais celui-ci est emporté par les fièvres. Désespérée, elle déserte à Lourenço Marques, l'actuelle Maputo, capitale du Mozambique. Victime d'une fausse couche, elle est recueillie, dans un étrange hôtel, par de non moins étranges infirmières noires. Car elle a atterri dans le bordel le plus réputé de l'Afrique! Ainsi commence l'extraordinaire parcours d'Hanna, qui va accomplir sa destinée dans une colonie portugaise où la douceur de vivre côtoie les plus terribles cruautés. Avec ce roman, l’auteur dénonce la cupidité, les relations blancs/noirs, la haine, le racisme, la peur, le colonialisme et ses abus. Pas d’intrigues policilières, ni de suspense, grosse déception pour moi que roman un peu gnangnan. Je n’ai pas du tout aimé le singe Carlos qui semble incarner un être capable de résister à toutes les situations. Un roman léger sur fond de bordel, non vraiment je n’ai rien aimé dans ce livre que j’ai lu jusqu’à la fin parce qu’on me l’a offert, d’ailleurs j’ai trouvé que la fin ne rimait à rien, c’est tout dire…..
lalyre- Grand sage du forum
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