[Tartt, Donna] Le Chardonneret
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Qu'avez-vous pensé de ce roman ?
[Tartt, Donna] Le Chardonneret
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Editions : Feux croisés
Date de sortie : 9 janvier 2014
ISBN : 978-2259221863
Nombre de pages : 795
Traductrice : Edith Soonckindt
Résumé
Theo Decker a treize ans. Il vit les derniers instants de sa vie d’enfant. Survivant miraculeux d’une explosion gigantesque en plein New York, il se retrouve seul dans la ville, orphelin, et se réfugie chez les parents d’un ami pour échapper aux services sociaux. Mais cette situation ne pourra être que temporaire. Désormais Theo va comprendre très jeune, qu’il ne peut compter que sur lui-même. Tout ce qui lui reste de cette journée où il a perdu sa mère, c’est un tableau, une toile de maître minuscule, envoûtante, infiniment précieuse et qu’il n’a pas le droit de posséder. Mais il ne peut plus s’en détacher. Et elle va l’entraîner dans les mondes souterrains et mystérieux de l’art.
Mon avis
Eh bien, voilà qui ne m'arrive pas souvent, mais... j'ai jeté l'éponge à la page 212 !
Je n'en pouvais plus de lire toutes ces phrases qui se suivaient, bien alignées certes, mais pour une histoire qui n'avançait pas. J'étais noyée dans des détails infinis et le sur-place était assuré. J'ai relu certains paragraphes plusieurs fois car j'avais perdu le fil. C'est dense, touffu, trop ! Moi je préfère le "show, don't tell !" sauf quand c'est Proust qui écrit Clin d'œil
Un personnage a attiré mon attention, plus que le héros en tout cas, c'est Hobie, le réparateur de vieux meubles, dont j'ai pensé qu'il pourrait aider Théo à grandir, grâce à sa bonhommie et sa bienveillance.
Alors, tant pis pour tous les commentaires dithyrambiques que j'ai pu lire sur les blogs (plus ou moins calqués du reste à ceux de la presse...) ; sans doute pensera-t-on que je n'ai rien compris à ce style magnifique, "méticuleux de détails", à tous les thèmes abordés : le deuil, la dépendance, les suites post-traumatiques et autres. Je ne vais pas dire que j'ai aimé juste pour faire bien et parce que le livre a séduit la critique.
Ce qui est certain, c'est qu'au lieu de me délecter de ce gros pavé de 795 pages, j'ai peiné, ramé, râlé (d'avoir mis 23 € et de ne pouvoir aller au bout), et pour finir fermé le livre en me disant que peut-être un jour.....
Editions : Feux croisés
Date de sortie : 9 janvier 2014
ISBN : 978-2259221863
Nombre de pages : 795
Traductrice : Edith Soonckindt
Résumé
Theo Decker a treize ans. Il vit les derniers instants de sa vie d’enfant. Survivant miraculeux d’une explosion gigantesque en plein New York, il se retrouve seul dans la ville, orphelin, et se réfugie chez les parents d’un ami pour échapper aux services sociaux. Mais cette situation ne pourra être que temporaire. Désormais Theo va comprendre très jeune, qu’il ne peut compter que sur lui-même. Tout ce qui lui reste de cette journée où il a perdu sa mère, c’est un tableau, une toile de maître minuscule, envoûtante, infiniment précieuse et qu’il n’a pas le droit de posséder. Mais il ne peut plus s’en détacher. Et elle va l’entraîner dans les mondes souterrains et mystérieux de l’art.
Mon avis
Eh bien, voilà qui ne m'arrive pas souvent, mais... j'ai jeté l'éponge à la page 212 !
Je n'en pouvais plus de lire toutes ces phrases qui se suivaient, bien alignées certes, mais pour une histoire qui n'avançait pas. J'étais noyée dans des détails infinis et le sur-place était assuré. J'ai relu certains paragraphes plusieurs fois car j'avais perdu le fil. C'est dense, touffu, trop ! Moi je préfère le "show, don't tell !" sauf quand c'est Proust qui écrit Clin d'œil
Un personnage a attiré mon attention, plus que le héros en tout cas, c'est Hobie, le réparateur de vieux meubles, dont j'ai pensé qu'il pourrait aider Théo à grandir, grâce à sa bonhommie et sa bienveillance.
Alors, tant pis pour tous les commentaires dithyrambiques que j'ai pu lire sur les blogs (plus ou moins calqués du reste à ceux de la presse...) ; sans doute pensera-t-on que je n'ai rien compris à ce style magnifique, "méticuleux de détails", à tous les thèmes abordés : le deuil, la dépendance, les suites post-traumatiques et autres. Je ne vais pas dire que j'ai aimé juste pour faire bien et parce que le livre a séduit la critique.
Ce qui est certain, c'est qu'au lieu de me délecter de ce gros pavé de 795 pages, j'ai peiné, ramé, râlé (d'avoir mis 23 € et de ne pouvoir aller au bout), et pour finir fermé le livre en me disant que peut-être un jour.....
Invité- Invité
Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
J'ai commencé le livre il y a 15 jours et j'ai arrêté à la page 50...
Je ne déséspére pas et me dis que je vais le réouvrir un jour...je devrais me plonger plus dedans mais pour l'instant je n'ai pas réussi.
Merci de votre critique en tout cas
Je ne déséspére pas et me dis que je vais le réouvrir un jour...je devrais me plonger plus dedans mais pour l'instant je n'ai pas réussi.
Merci de votre critique en tout cas
Invité- Invité
Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
J'ai lu dans la presse beaucoup de commentaires dithyrambique sur ce livre. Personnellement, j'avais adoré ses 2 livres précédents et je pensais m'attaquer à celui-ci ; mais vu vos appréciations et que je viens d'abandonner la lecture de Drood de Dan Simmons parce que j trouvais qu'il y avait beaucoup trop de longueur........eh bien je vais m'abstenir.
Invité- Invité
Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
Le chardonneret
Dona Tartt
En commençant la lecture de ce roman, j’imaginais que l’art en serait le centre, oui bien sûr le tableau “ Le chardonneret “ fait partie du fond de l’histoire, je pense qu’il a surtout été relégué à l’arrière plan, j’ai trouvé cela assez décevant. Je dirais que l’alcool et la drogue prennent trop de place dans ce roman, il y a bien une histoire qui m’a parue intéressante au début, mais l’intérêt s’est très vite estompé par de trop nombreuses descriptions, par les beuveries et la drogue dont Théo ne sait plus se passer et justement ça ne m’a pas intéressée de savoir comment il se sentait en planant ou lors de ses ivresses. Je n’ai pas aimé l’invraisemblance dans les retournements subits de fortune, ni le titre du livre que je trouve trompeur parce qu’il crée l’illusion que l’on se fait du roman qui fait tout même presque 800 pages. Bref mon ressenti est que ce roman est moyennement bon, sans plus…
Dona Tartt
En commençant la lecture de ce roman, j’imaginais que l’art en serait le centre, oui bien sûr le tableau “ Le chardonneret “ fait partie du fond de l’histoire, je pense qu’il a surtout été relégué à l’arrière plan, j’ai trouvé cela assez décevant. Je dirais que l’alcool et la drogue prennent trop de place dans ce roman, il y a bien une histoire qui m’a parue intéressante au début, mais l’intérêt s’est très vite estompé par de trop nombreuses descriptions, par les beuveries et la drogue dont Théo ne sait plus se passer et justement ça ne m’a pas intéressée de savoir comment il se sentait en planant ou lors de ses ivresses. Je n’ai pas aimé l’invraisemblance dans les retournements subits de fortune, ni le titre du livre que je trouve trompeur parce qu’il crée l’illusion que l’on se fait du roman qui fait tout même presque 800 pages. Bref mon ressenti est que ce roman est moyennement bon, sans plus…
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
contrairement à vous,j ai dévoré le livre en quelques jours...
Invité- Invité
Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
Moi aussi j'ai adoré!marief a écrit:contrairement à vous,j ai dévoré le livre en quelques jours...
Invité- Invité
Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
Pour moi c'est un coup de coeur.
J'ai été complètement happée par l'atmosphère de ce livre et ravie par le style et les détails. Je pense qu'il m'habitera encore un moment.
J'ai aimé la façon dont Théo se bat contre sa dépression, sans que vraiment personne ne le tire de là. Les personnages périphériques sont extraordinaires (Hobie et Boris).
Quant au tableau, on ne sait pas vraiment si c'est une bouée de secours pour Théo ou bien si cela le tire encore plus vers le bas, comme l'anneau précieux de Gollum, mais j'aime l'interprétation qu'en fait l'auteure dans les dernières pages: l'oiseau n'est pas une nature morte mais plutôt une allégorie (même si c'est un animal) de notre triste passage sur terre. C'est vrai que le livre dans son ensemble n'est pas franchement optimiste.
J'avais déjà adoré "Le maître des illusions" et "Le petit copain". Dommage qu'il faille attendre encore dix ans pour le quatrième roman de Donna Tartt.
J'ai été complètement happée par l'atmosphère de ce livre et ravie par le style et les détails. Je pense qu'il m'habitera encore un moment.
J'ai aimé la façon dont Théo se bat contre sa dépression, sans que vraiment personne ne le tire de là. Les personnages périphériques sont extraordinaires (Hobie et Boris).
Quant au tableau, on ne sait pas vraiment si c'est une bouée de secours pour Théo ou bien si cela le tire encore plus vers le bas, comme l'anneau précieux de Gollum, mais j'aime l'interprétation qu'en fait l'auteure dans les dernières pages: l'oiseau n'est pas une nature morte mais plutôt une allégorie (même si c'est un animal) de notre triste passage sur terre. C'est vrai que le livre dans son ensemble n'est pas franchement optimiste.
J'avais déjà adoré "Le maître des illusions" et "Le petit copain". Dommage qu'il faille attendre encore dix ans pour le quatrième roman de Donna Tartt.
Invité- Invité
Un véritable coup de coeur
Époustouflant, ce roman vous envoûte dès les premières pages, vous lie à son héros et vous laissent ébloui lorsque vous le refermez après 800 pages de pur bonheur.
Une histoire fascinante, un jeune héros attachant et un portrait de l'Amérique contemporaine avec d'un côté New-York, ses immeubles chics, l'art et les gens bien élevés opposé à Las Vegas, dominée par l'argent, les maisons luxueuses mais impersonnelles et la malbouffe.
La douleur de perdre un être cher, le post-traumatisme après une catastrophe, l'incertitude de l'adolescence, la solitude dans un secret, l'enfer de la drogue mais aussi l'amitié, la bonté, l'amour avec en toile de fond et au centre de cette histoire un tableau "Le Chardonneret", auquel le jeune héros Théo est attaché et dont on comprend vraiment le sens à la fin.
De l'émotion, de la révolte, de la réflexion et le sentiment de revenir après un voyage qui me hante encore le livre refermé.
Le meilleur roman que j'ai lu depuis le début de l'année.
Une histoire fascinante, un jeune héros attachant et un portrait de l'Amérique contemporaine avec d'un côté New-York, ses immeubles chics, l'art et les gens bien élevés opposé à Las Vegas, dominée par l'argent, les maisons luxueuses mais impersonnelles et la malbouffe.
La douleur de perdre un être cher, le post-traumatisme après une catastrophe, l'incertitude de l'adolescence, la solitude dans un secret, l'enfer de la drogue mais aussi l'amitié, la bonté, l'amour avec en toile de fond et au centre de cette histoire un tableau "Le Chardonneret", auquel le jeune héros Théo est attaché et dont on comprend vraiment le sens à la fin.
De l'émotion, de la révolte, de la réflexion et le sentiment de revenir après un voyage qui me hante encore le livre refermé.
Le meilleur roman que j'ai lu depuis le début de l'année.
Invité- Invité
Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
Je l'ai enfin terminé et quel soulagement.
J'ai ressenti les mêmes impressions que Lalyre. Une histoire intéressante au début du livre, qui m'a très vite lassée car les longues descriptions sur la descente aux enfers des 2 principaux personnages ne m'ont pas intéressée. J'étais tenté de jeter l'éponge mais c'est une amie grande lectrice qui m'avait conseillé ce livre, alors j'ai poursuivi.
Par contre le personnage de Hobie apporte une pointe d'intérêt sur le commerce des oeuvres d'art mais qui, pour moi,reste insignifiante au milieu de ce fourmillement de détails dans lequel je me suis perdue bien des fois.
Soit je suis passée à côté, soit cette histoire n'est pas pour moi....mais quel pensum !
J'ai ressenti les mêmes impressions que Lalyre. Une histoire intéressante au début du livre, qui m'a très vite lassée car les longues descriptions sur la descente aux enfers des 2 principaux personnages ne m'ont pas intéressée. J'étais tenté de jeter l'éponge mais c'est une amie grande lectrice qui m'avait conseillé ce livre, alors j'ai poursuivi.
Par contre le personnage de Hobie apporte une pointe d'intérêt sur le commerce des oeuvres d'art mais qui, pour moi,reste insignifiante au milieu de ce fourmillement de détails dans lequel je me suis perdue bien des fois.
Soit je suis passée à côté, soit cette histoire n'est pas pour moi....mais quel pensum !
Fleurianne- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Retraitée/Vie associative, voyages, lectures
Genre littéraire préféré : Romans historiques
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Re: [Tartt, Donna] Le Chardonneret
Lu en septembre 2022.
Je partage vos avis Lalyre et Fleurianne et voici ce que j'ai écrit :
S'il n'avait pas plu ce matin-là, si Théodore, treize ans, et sa mère avaient apporté un bon parapluie... peut-être qu'ils ne se seraient pas abrités d'un orage au Metropolitan Museum de New York où un bombe va bientôt exploser. Un petit tableau représentant un chardonneret aux plumes d'or (œuvre peinte en 1654 par Fabritius, un artiste flamant) se retrouve près de lui alors qu’il reprend connaissance dans les décombres. Non loin, un visiteur gît, gravement blessé. Théo l’avait remarqué, enfin il avait surtout été fasciné par la jolie jeune fille qui l’accompagnait. Le vieil homme meurt sous ses yeux, après lui avoir tendu une bague en lui demandant de la rendre à un certain Hobie, propriétaire d'un magasin d'antiquités.
Théo, dont la maman est décédée, se consacre dès lors à gâcher sa vie : à Las Vegas l'indifférence de son père le conduit à se lier avec le jeune Boris qui l’initie à la délinquance, à l’alcool et à la drogue sans que rien ne puisse combler le manque de sa mère ou mettre fin à ses doutes. Dans le désert du Nevada, tout semblait sur le point de se terminer, de la pire des manières mais il réussit à revenir à Manhattan où il retrouve Hobie alors qu’il possède toujours ce colis « encombrant » qu’il ne peut se résoudre à rendre au musée.
Comment tout cela finira-t-il ?
Eh bien, un tel scenario aurait pu aboutir à un superbe roman. Malheureusement l’auteure s’y perd.
Le début est pourtant parfait, intense et on ne peut qu’avoir pitié du jeune orphelin. Son arrivée à Las Vegas reste encore intéressante par l’analyse du dépaysement, des sentiments à l’endroit du père et même des raisons pour lesquelles Théo se rapproche de Boris. Cela nous mène à environ un tiers du livre. Après, à part quelques passages qui relancent un peu l’action, ce ne sont que des descriptions inutiles et des logorrhées interminables. J’ai souvent lu en diagonale pour péniblement terminer les 605 pages !
Une fin en pirouette, tout à fait lamentable ! Et le tableau, me direz-vous, quel rôle tient-il vraiment dans l’histoire ? C’est un fil rouge qui réussit à nous persuader de continuer la lecture mais tellement fin qu’il est toujours très près de casser.
Dommage, vraiment dommage.
Le roman a été porté à l’écran en 2019, avec Nicole Kidman. Je l’ai visionné parce que je me demandais si je n'avais rien compris à l'histoire et cela a été pire que la lecture. Décousu, délaissant des détails importants, modifiant certaines scènes. Décidemment…
Je partage vos avis Lalyre et Fleurianne et voici ce que j'ai écrit :
S'il n'avait pas plu ce matin-là, si Théodore, treize ans, et sa mère avaient apporté un bon parapluie... peut-être qu'ils ne se seraient pas abrités d'un orage au Metropolitan Museum de New York où un bombe va bientôt exploser. Un petit tableau représentant un chardonneret aux plumes d'or (œuvre peinte en 1654 par Fabritius, un artiste flamant) se retrouve près de lui alors qu’il reprend connaissance dans les décombres. Non loin, un visiteur gît, gravement blessé. Théo l’avait remarqué, enfin il avait surtout été fasciné par la jolie jeune fille qui l’accompagnait. Le vieil homme meurt sous ses yeux, après lui avoir tendu une bague en lui demandant de la rendre à un certain Hobie, propriétaire d'un magasin d'antiquités.
Théo, dont la maman est décédée, se consacre dès lors à gâcher sa vie : à Las Vegas l'indifférence de son père le conduit à se lier avec le jeune Boris qui l’initie à la délinquance, à l’alcool et à la drogue sans que rien ne puisse combler le manque de sa mère ou mettre fin à ses doutes. Dans le désert du Nevada, tout semblait sur le point de se terminer, de la pire des manières mais il réussit à revenir à Manhattan où il retrouve Hobie alors qu’il possède toujours ce colis « encombrant » qu’il ne peut se résoudre à rendre au musée.
Comment tout cela finira-t-il ?
Eh bien, un tel scenario aurait pu aboutir à un superbe roman. Malheureusement l’auteure s’y perd.
Le début est pourtant parfait, intense et on ne peut qu’avoir pitié du jeune orphelin. Son arrivée à Las Vegas reste encore intéressante par l’analyse du dépaysement, des sentiments à l’endroit du père et même des raisons pour lesquelles Théo se rapproche de Boris. Cela nous mène à environ un tiers du livre. Après, à part quelques passages qui relancent un peu l’action, ce ne sont que des descriptions inutiles et des logorrhées interminables. J’ai souvent lu en diagonale pour péniblement terminer les 605 pages !
Une fin en pirouette, tout à fait lamentable ! Et le tableau, me direz-vous, quel rôle tient-il vraiment dans l’histoire ? C’est un fil rouge qui réussit à nous persuader de continuer la lecture mais tellement fin qu’il est toujours très près de casser.
Dommage, vraiment dommage.
Le roman a été porté à l’écran en 2019, avec Nicole Kidman. Je l’ai visionné parce que je me demandais si je n'avais rien compris à l'histoire et cela a été pire que la lecture. Décousu, délaissant des détails importants, modifiant certaines scènes. Décidemment…
Dulcie- Grand expert du forum
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Localisation : Pyrénées Orientales
Genre littéraire préféré : Roman historique
Date d'inscription : 10/01/2023
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