[Hugues, Yves] Méandres
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[Hugues, Yves] Méandres
[Hugues, Yves] Méandres
[Hugues, Yves]
Méandres
Ed.Stock 26 mars 2014
ISBN 978 2 234 07553 5
266 pages
Quatrième de couverture
Mortimer n’a jamais su déchiffrer l’expression du visage de sa mère, ni d’aucun être humain. Il souffre d’un trouble autistique nommé Asperger. D’une intelligence aiguë, il se passionne pour les mathématiques et connaît le langage des oiseaux.
Ce personnage étrange partage une vie apparemment paisible entre Paris et la Normandie au bord d’un méandre de la Seine où il nage et côtoie des voisins qui se consacrent à leur verger et à leurs oies.
Jusqu’au jour où il retrouve un ancien copain de lycée qui entraîne une équipe de badminton. Sa fascination inattendue pour ce sport va l’obséder au point de faire basculer sa vie et de l’amener à sombrer dans une folie aussi discrète qu’effrayante. Avant de commettre l’inimaginable.
Mon avis
Mais qu’elle donc la cause de ce geste inimaginable ? Cette folie effrayante n’a qu’un but pour cet homme de 39 ans et au fil des pages je trouvais qu’il exagérait dans sa folle passion pour les volants de badminton qu’il voulait fabriquer même si pour cela, il tordait le cou des oies. Imaginons qu’il faille une oie pour un volant, alors notre homme mathématicien va toujours au-delà de son imagination et cette fascination pour les volants va changer sa vie Ces quelques lignes pour mettre le lecteur dans l’ambiance du roman que je n’ai pas aimé ou alors je n’ai pas compris le fond de cette l’histoire sombre dont je vous livre un passage……
Etais-je fraternel avec mes copains de classe autrefois, dont je ne partageais la vie que quelques heures par jour ouvrable, excepté le mercredi ? Tous ces corps en devenir, mal dégrossis, brutaux, jaloux, vicieux, jouisseurs, hâbleurs, sournois, égoïstes et mesquins. Tous ces visages obtus, sans attrait, dupliqués à l’infini dans leur opacité, d’année en année. Tous ces personnages inutiles d’un théâtre futile, qu’au fond je ne connaissais pas et qui ne me connaissaient pas non plus…..
Voila ce que j’ai détesté, une haine discrète, un mépris indiscutable, un homme imbu de lui-même voila ce que j’ai ressenti en lisant ce roman bon ou mauvais, je ne sais pas.
Méandres
Ed.Stock 26 mars 2014
ISBN 978 2 234 07553 5
266 pages
Quatrième de couverture
Mortimer n’a jamais su déchiffrer l’expression du visage de sa mère, ni d’aucun être humain. Il souffre d’un trouble autistique nommé Asperger. D’une intelligence aiguë, il se passionne pour les mathématiques et connaît le langage des oiseaux.
Ce personnage étrange partage une vie apparemment paisible entre Paris et la Normandie au bord d’un méandre de la Seine où il nage et côtoie des voisins qui se consacrent à leur verger et à leurs oies.
Jusqu’au jour où il retrouve un ancien copain de lycée qui entraîne une équipe de badminton. Sa fascination inattendue pour ce sport va l’obséder au point de faire basculer sa vie et de l’amener à sombrer dans une folie aussi discrète qu’effrayante. Avant de commettre l’inimaginable.
Mon avis
Mais qu’elle donc la cause de ce geste inimaginable ? Cette folie effrayante n’a qu’un but pour cet homme de 39 ans et au fil des pages je trouvais qu’il exagérait dans sa folle passion pour les volants de badminton qu’il voulait fabriquer même si pour cela, il tordait le cou des oies. Imaginons qu’il faille une oie pour un volant, alors notre homme mathématicien va toujours au-delà de son imagination et cette fascination pour les volants va changer sa vie Ces quelques lignes pour mettre le lecteur dans l’ambiance du roman que je n’ai pas aimé ou alors je n’ai pas compris le fond de cette l’histoire sombre dont je vous livre un passage……
Etais-je fraternel avec mes copains de classe autrefois, dont je ne partageais la vie que quelques heures par jour ouvrable, excepté le mercredi ? Tous ces corps en devenir, mal dégrossis, brutaux, jaloux, vicieux, jouisseurs, hâbleurs, sournois, égoïstes et mesquins. Tous ces visages obtus, sans attrait, dupliqués à l’infini dans leur opacité, d’année en année. Tous ces personnages inutiles d’un théâtre futile, qu’au fond je ne connaissais pas et qui ne me connaissaient pas non plus…..
Voila ce que j’ai détesté, une haine discrète, un mépris indiscutable, un homme imbu de lui-même voila ce que j’ai ressenti en lisant ce roman bon ou mauvais, je ne sais pas.
lalyre- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
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