[Suzuki, Koji] Sadako

Titre : Sadako
Auteur : Koji Suzuki
Editions : Fleuve Editions
Date de parution : 10/04/14
Pages : 378

Quatrième de couverture :


Takanori Andô, graphiste spécialiste de l'analyse d'image, reçoit une vidéo amateur montrant un suicide à l'intérieur d'un appartement banal. Son client souhaite déterminer s'il s'agit d'un véritable suicide ou d'une mise en scène de génie. À chaque visionnage de la vidéo, Takanori se rend compte que le cadre de l'image se décale très légèrement, permettant de voir jusqu'au visage du suicidé : Seiji Kashiwada. Ce dernier est un serial killer condamné à la peine de mort pour le meurtre de quatre fillettes, douze ans plus tôt, et dont l'exécution a eu lieu peu de temps auparavant...
Takanori se lance dans une enquête effrayante tandis que d'étranges phénomènes envahissent sa vie et celle de sa compagne.

Mon avis :

Quel dommage! Lorsque j'ai commencé ce livre, j'étais ravie de changer d'univers en découvrant les écrits de Koji Suzuki. Car si je n'ai pas lu ses précédents romans, sa réputation n'étant plus à faire j'avais déjà beaucoup entendu de bien sûr sa trilogie « Ring » et je voulais donc pouvoir me plonger dans un univers fait d'angoisses et de sueurs froides.
Mais c'est sans compter sur mon ennemi « l'ennui » qui a rapidement fait son trou lors de ma lecture et m'a empêché d'être complètement prise par cette histoire. Tous les ingrédients étaient pourtant réunis pour passer un bon moment. Une vidéo mystérieuse, un jeune couple près à devenir parents, le tout sur fond d'une vieille histoire (25 ans quand même!) tout droit sortie de « The Ring ». Ne l'ayant pas lu, j'ai tout de même été embêtée par les références récurrentes, surtout que maintenant cela m'a enlevé tout intérêt pour ces livres que j'aurais pourtant bien aimé lire avant d'avoir lu ce livre.
Alors pour les non-connaisseurs comme moi, il faut s'attendre à avoir des informations sur la trilogie culte qui l'a fait connaître.
Je ne dirais pas que je n'ai pas aimé, car ce n'est pas le cas, mais disons que les frissons n'étant pas au rendez-vous, j'ai souffert de quelques longueurs dans ma lecture. Ce sera donc un avis en demi-teinte pour moi...

Merci Seriephile pour ta critique