[Lunoir, Caroline] Au temps pour nous
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[Lunoir, Caroline] Au temps pour nous
[Lunoir, Caroline] Au temps pour nous
[Lunoir, Caroline]
Au temps pour nous
Actes Sud 6 mai 2015
ISBN 978 2 330 05087 0
279 pages
Quatrième de couverture
Défiant l’un des derniers hivers de la Seconde Guerre, les hommes du capitaine Sonnal vont de campements en embuscades, luttent, s’épaulent, ont froid et faim, sont las. Ils doivent maintenir l’activité du groupe, coûte que coûte, avec pour ciment la discipline et la rudesse des jours qu’ils partagent. Si certains cherchent la gloire et d’autres la liberté, tous vivent avec la mort au bout des doigts, le pouvoir de tuer, le devoir de juger. Parfois celui d’exécuter. Comment différencier les lâches des braves, et faire taire les différents d’autrefois au profit d’une cause commune ?
Récit du quotidien âpre et des enjeux contradictoires de la Résistance, le second roman de Caroline Lunoir convoque tout ensemble les conditions de vie extrêmes de ces confréries improbables, les actions d’éclat et leurs revers cuisants, la dureté et la solitude du commandement, la cruauté de l’ennemi. D’une écriture pondérée révélant la détresse ou l’irrémissible culpabilité des hommes face aux choix qui ne vont pas de soi, aux logiques vengeresses, au regard du “mal accusé”, Au temps pour nous est la chronique d’une exécution, de celles que le combat impose et que la victoire tait.
Mon avis
Dans une région de France, pendant l’occupation 1940/45, un bataillon de maquisard défile dans le village, alors que les allemands sont occupés pour une cérémonie dans un bled voisin. Déjà j’ai trouvé ce fait irréaliste, (mais bien sûr c’est un roman) par contre ce qui s’est passé le lendemain, c’est-à-dire une réponse de l’occupant, on s’en serait douté, en représailles c’est l’exécution du maire de ce village La suite du roman se passe principalement dans le groupe des maquisards, quelques algarades avec l’ennemi avec des morts de part et d’autre, une jeune femme transmettant des instructions, une haine ancestrale entre deux hommes du groupe, une trahison avec une exécution. Bien évidemment on devine rapidement la fin vu le contexte de l’histoire que j’ai trouvée trop simple et sans aucune recherche. Cependant ce livre que je n’ai pas trop apprécié, pourrait plaire aux lecteurs curieux de cette époque. 3,5/5
Au temps pour nous
Actes Sud 6 mai 2015
ISBN 978 2 330 05087 0
279 pages
Quatrième de couverture
Défiant l’un des derniers hivers de la Seconde Guerre, les hommes du capitaine Sonnal vont de campements en embuscades, luttent, s’épaulent, ont froid et faim, sont las. Ils doivent maintenir l’activité du groupe, coûte que coûte, avec pour ciment la discipline et la rudesse des jours qu’ils partagent. Si certains cherchent la gloire et d’autres la liberté, tous vivent avec la mort au bout des doigts, le pouvoir de tuer, le devoir de juger. Parfois celui d’exécuter. Comment différencier les lâches des braves, et faire taire les différents d’autrefois au profit d’une cause commune ?
Récit du quotidien âpre et des enjeux contradictoires de la Résistance, le second roman de Caroline Lunoir convoque tout ensemble les conditions de vie extrêmes de ces confréries improbables, les actions d’éclat et leurs revers cuisants, la dureté et la solitude du commandement, la cruauté de l’ennemi. D’une écriture pondérée révélant la détresse ou l’irrémissible culpabilité des hommes face aux choix qui ne vont pas de soi, aux logiques vengeresses, au regard du “mal accusé”, Au temps pour nous est la chronique d’une exécution, de celles que le combat impose et que la victoire tait.
Mon avis
Dans une région de France, pendant l’occupation 1940/45, un bataillon de maquisard défile dans le village, alors que les allemands sont occupés pour une cérémonie dans un bled voisin. Déjà j’ai trouvé ce fait irréaliste, (mais bien sûr c’est un roman) par contre ce qui s’est passé le lendemain, c’est-à-dire une réponse de l’occupant, on s’en serait douté, en représailles c’est l’exécution du maire de ce village La suite du roman se passe principalement dans le groupe des maquisards, quelques algarades avec l’ennemi avec des morts de part et d’autre, une jeune femme transmettant des instructions, une haine ancestrale entre deux hommes du groupe, une trahison avec une exécution. Bien évidemment on devine rapidement la fin vu le contexte de l’histoire que j’ai trouvée trop simple et sans aucune recherche. Cependant ce livre que je n’ai pas trop apprécié, pourrait plaire aux lecteurs curieux de cette époque. 3,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
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