[Blackhurst, Jenny] Une cruelle absence
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[Blackhurst, Jenny] Une cruelle absence
Une cruelle absence / Jenny Blackhurst, Ed. Belfond (Noir), 363 p., ISBN : ISBN-13: 978-2714458254
Présentation de l'éditeur : Une femme qui cherche à fuir son passé, une photo qui réveille d'horribles souvenirs, et c'est toute une vie de mensonges et de trahisons qui ressurgit. Une suffocante machination, par l'héritière anglaise de Jean-Christophe Grangé.
Après trois années passées en prison, Susan Webster n'a qu'un souhait : se reconstruire. Nouvelle adresse, nom d'emprunt, n'être qu'une femme anonyme dans un village paisible.
Jusqu'à ce matin. Une enveloppe glissée sous sa porte ; à l'intérieur, la photo d'un petit garçon, et un prénom : Dylan.
Blague cruelle ? Susan croit devenir folle. Cet enfant ne peut pas être Dylan, son Dylan. Son fils est mort depuis trois ans. Et c'est elle la responsable.
Sauf que Susan est incapable de se remémorer le drame. Son ex-mari, la police, tous l'ont désignée comme coupable. Et si on lui avait menti ? Et si Dylan était encore en vie ?
Accrochée à cet espoir, Susan se lance dans une dangereuse quête de vérité. Et plonge dans un cauchemar plus effrayant encore...
Mon avis : Susan Webster sort d’un hôpital pénitentiaire où elle a passé 3 ans pour avoir tué son fils Dylan à cause d’une dépression post-natale. Enfin ça c’est ce qu’elle croît, ou ce qu’on a voulu lui faire croire, puisque Susan n’a aucun souvenir de la tragédie. Elle s’installe dans un village tranquille pour tenter de se reconstruire mais un jour une enveloppe est laissée sur son paillasson. A l’intérieur elle y trouve une photo d’un petit garçon d’environ 4 ans et au dos une inscription : Dylan. Susan commence à douter et, avec l’aide d’un soi-disant journaliste atterri devant sa maison on ne sait pas trop comment et sa meilleure amie de prison Cassie, elle commence à mener son enquête.
Que dire de ce roman, si ce n’est que je l'ai trouvé truffé d’incohérences et pas franchement bien construit. Même s’il suit la mode actuelle qui consiste à faire alterner passé et présent cela semble bien artificiel ici. Sur la quatrième de couverture on annonce que l’auteur serait “l’héritière anglaise de Jean-Christophe Grangé”, on en est bien loin tant par l’intrigue que par l’écriture. Les personnages ne sont pas même pas attachants, surtout pas la mère qui a un comportement vraiment pas crédible… Quant à l’histoire, certes, elle est bien glauque mais pas franchement plausible non plus. Décevant.
Présentation de l'éditeur : Une femme qui cherche à fuir son passé, une photo qui réveille d'horribles souvenirs, et c'est toute une vie de mensonges et de trahisons qui ressurgit. Une suffocante machination, par l'héritière anglaise de Jean-Christophe Grangé.
Après trois années passées en prison, Susan Webster n'a qu'un souhait : se reconstruire. Nouvelle adresse, nom d'emprunt, n'être qu'une femme anonyme dans un village paisible.
Jusqu'à ce matin. Une enveloppe glissée sous sa porte ; à l'intérieur, la photo d'un petit garçon, et un prénom : Dylan.
Blague cruelle ? Susan croit devenir folle. Cet enfant ne peut pas être Dylan, son Dylan. Son fils est mort depuis trois ans. Et c'est elle la responsable.
Sauf que Susan est incapable de se remémorer le drame. Son ex-mari, la police, tous l'ont désignée comme coupable. Et si on lui avait menti ? Et si Dylan était encore en vie ?
Accrochée à cet espoir, Susan se lance dans une dangereuse quête de vérité. Et plonge dans un cauchemar plus effrayant encore...
Mon avis : Susan Webster sort d’un hôpital pénitentiaire où elle a passé 3 ans pour avoir tué son fils Dylan à cause d’une dépression post-natale. Enfin ça c’est ce qu’elle croît, ou ce qu’on a voulu lui faire croire, puisque Susan n’a aucun souvenir de la tragédie. Elle s’installe dans un village tranquille pour tenter de se reconstruire mais un jour une enveloppe est laissée sur son paillasson. A l’intérieur elle y trouve une photo d’un petit garçon d’environ 4 ans et au dos une inscription : Dylan. Susan commence à douter et, avec l’aide d’un soi-disant journaliste atterri devant sa maison on ne sait pas trop comment et sa meilleure amie de prison Cassie, elle commence à mener son enquête.
Que dire de ce roman, si ce n’est que je l'ai trouvé truffé d’incohérences et pas franchement bien construit. Même s’il suit la mode actuelle qui consiste à faire alterner passé et présent cela semble bien artificiel ici. Sur la quatrième de couverture on annonce que l’auteur serait “l’héritière anglaise de Jean-Christophe Grangé”, on en est bien loin tant par l’intrigue que par l’écriture. Les personnages ne sont pas même pas attachants, surtout pas la mère qui a un comportement vraiment pas crédible… Quant à l’histoire, certes, elle est bien glauque mais pas franchement plausible non plus. Décevant.
yaki- Grand sage du forum
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Nombre de messages : 1611
Age : 47
Localisation : Yvelines
Emploi/loisirs : Lecture, scrapbooking, balades,...
Genre littéraire préféré : Romans contemporains
Date d'inscription : 10/06/2008
Re: [Blackhurst, Jenny] Une cruelle absence
Merci Yaki je l'éviterai mais je serais tombée dans le piège vue la présentation de l'éditeur .
Sara2a- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 3030
Age : 54
Localisation : Porto-Vecchio
Genre littéraire préféré : Thrillers, fantastiques et un peu de tout ce qui peut me tomber sous les yeux .
Date d'inscription : 24/01/2010
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