[Bablon, Jacques] Trait bleu
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[Bablon, Jacques] Trait bleu
Trait bleu / Jacques Bablon, Ed. Jigal, 152 p.
Description de l'éditeur : « Tout a commencé quand on a retrouvé le corps de Julian McBridge au fond de l'étang que les Jones avaient fait assécher pour compter les carpes. Ils auraient plutôt eu l'idée de repeindre leur porte de grange ou de s'enfiler en buvant des Budweiser et c'était bon pour moi. McBridge n'était pas venu ici faire trempette, ça faisait deux ans que je l'avais balancé là par une nuit sans lune avec un couteau de chasse planté dans le bide. 835 carpes et 1 restant de McBridge. Les Jones avaient un cadavre sur les bras, ils ont commencé à se poser les questions qui vont avec… » On est embarqué dans ces pages comme si on descendait les rapides d'une rivière en furie sur une pirogue sans pagaie, ballotté, effaré, douché, concentré, mais vivant… Si vivant ! Superbe !
Mon avis : “Tout a commencé quand on a retrouvé le corps de Julian McBridge au fond de l’étang que les Jones avaient fait assécher pour compter les carpes. Ils auraient plutôt eu l’idée de repeindre leur porte de grange ou de s’enfiler en buvant des Budweiser et c’était bon pour moi.”
C’est en lisant cette phrase dans la description de ce roman que j’ai eu envie de lire la suite. Il s’agit en fait de la première phrase et elle donne tout de suite le ton. Alors voilà c’est l’histoire du narrateur qui est en taule pour avoir tué un mec, sauf que, après quelques semaines en prison, il est libéré. Son meilleur pote, celui avec qui il a toujours fait les quatre cents coups, s’est suicidé après avoir avoué le même meurtre. A partir de là notre narrateur va vivre une série de (més)aventures, faire des rencontres sympas, d’autres beaucoup moins et découvrir qu’il ne faut pas croire tout ce que les autres peuvent lui raconter. J’ai vraiment beaucoup aimé ce roman court et efficace, l’écriture est concise et percutante. Et même si le narrateur est loin d’être un ange, on ressent de l’empathie pour lui, on a envie qu’il se sorte de toutes les galères dans lesquelles il passe son temps à se fourrer. Une vraie réussite !
Merci à Partage-Lecture et aux éditions Jigal pour cette agréable moment de lecture.
Description de l'éditeur : « Tout a commencé quand on a retrouvé le corps de Julian McBridge au fond de l'étang que les Jones avaient fait assécher pour compter les carpes. Ils auraient plutôt eu l'idée de repeindre leur porte de grange ou de s'enfiler en buvant des Budweiser et c'était bon pour moi. McBridge n'était pas venu ici faire trempette, ça faisait deux ans que je l'avais balancé là par une nuit sans lune avec un couteau de chasse planté dans le bide. 835 carpes et 1 restant de McBridge. Les Jones avaient un cadavre sur les bras, ils ont commencé à se poser les questions qui vont avec… » On est embarqué dans ces pages comme si on descendait les rapides d'une rivière en furie sur une pirogue sans pagaie, ballotté, effaré, douché, concentré, mais vivant… Si vivant ! Superbe !
Mon avis : “Tout a commencé quand on a retrouvé le corps de Julian McBridge au fond de l’étang que les Jones avaient fait assécher pour compter les carpes. Ils auraient plutôt eu l’idée de repeindre leur porte de grange ou de s’enfiler en buvant des Budweiser et c’était bon pour moi.”
C’est en lisant cette phrase dans la description de ce roman que j’ai eu envie de lire la suite. Il s’agit en fait de la première phrase et elle donne tout de suite le ton. Alors voilà c’est l’histoire du narrateur qui est en taule pour avoir tué un mec, sauf que, après quelques semaines en prison, il est libéré. Son meilleur pote, celui avec qui il a toujours fait les quatre cents coups, s’est suicidé après avoir avoué le même meurtre. A partir de là notre narrateur va vivre une série de (més)aventures, faire des rencontres sympas, d’autres beaucoup moins et découvrir qu’il ne faut pas croire tout ce que les autres peuvent lui raconter. J’ai vraiment beaucoup aimé ce roman court et efficace, l’écriture est concise et percutante. Et même si le narrateur est loin d’être un ange, on ressent de l’empathie pour lui, on a envie qu’il se sorte de toutes les galères dans lesquelles il passe son temps à se fourrer. Une vraie réussite !
Merci à Partage-Lecture et aux éditions Jigal pour cette agréable moment de lecture.
yaki- Grand sage du forum
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Date d'inscription : 10/06/2008
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