[Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
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Pistou 117
lalyre
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[Chevalier, Tracy] A l'orée du verger
[Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
[Chevalier, Tracy]
A l’orée du verger
Editions Quai Voltaire 11 mai 2016
ISBN 978 2 7103 7763 4
320 pages
Quatrième de couverture
En 1838, dans l’Ohio, les fièvres ne font pas de cadeau. À chaque début d’hiver, James Goodenough creuse de petites tombes en prévision des mauvais jours. Et à chaque fin d’hiver, une nouvelle croix vient orner le bout de verger qui fait péniblement vivre cette famille de cultivateurs de pommes originaires du Connecticut. Mais la fièvre n’est pas le seul fléau qui menace les Goodenough : l’alcool a fait sombrer Sadie, la mère, qui parle à ses enfants disparus quand elle ne tape pas sur ceux qui restent ; les caprices du temps condamnent régulièrement les récoltes de James, et les rumeurs dont bruisse le village de Black Swamp pointent du doigt cette famille d’étrangers.
Des années plus tard, Robert a quitté l’Ohio pour tenter sa chance dans l’Ouest. Il sera garçon de ferme, mineur, orpailleur, puis il renouera avec l’amour des arbres que son père lui a donné en héritage. Au fin fond de la Californie, auprès d’un exportateur anglais fantasque, Robert participe à une activité commerciale qui prendra bientôt son essor : il prélève des pousses de séquoias géants pour les envoyer aux amateurs du Vieux Monde. De son côté, pendant toutes ces années, Martha n’a qu’un rêve, traverser les États-Unis à la recherche de son frère. Elle a un lourd secret à lui faire partager.
Mon avis
Dans ce roman les hommes qu’ils soient réels ou fictionnels ont payé un lourd tribut à la construction des Etats-Unis. Martha et Robert Gogdenough venait de s’établir dans l’Ohio marécageux et infesté d’insectes lorsque John Chapmann qui cultivait des pommiers et parcourait les rivières de l’Ohio dans un rand canot rempli d’arbres qu’il vendait aux colons, rend visite à la famille Gogdenough pour leur vendre des jeunes pommiers et c’est après un drame que Robert quitte sa famille, il arrive en Californie et c’est avec lui que nous terminerons notre lecture. C’est une histoire sur le sujet méconnu des arbres, que ce soit la culture des pommiers ou celle du commerce des arbres millénaires de la Californie. Une histoire romanesque, une fresque sombre allant des coupe-gorges de New-York au port grouillant de San Francisco, conquête de l’Ouest oui, mais aussi une histoire de faim et de souffrance, de courage et d’espoir, j’ai lu ce roman comme une épopée historique puisque le botaniste John Chapman (1774-1845) de son surnom « Johnny Appleseed » a contribué a développé la culture des pommiers dans Midwest, favorisant ainsi l’essor économique d’une région encore sauvage. Par contre William Lobb(1809-1864) était exportateur de plantes originaire des Cornouailles et promoteur du commerce des séquoias, la grande passion botanique du XlXème siécle. Découverts par l’explorateur J. K.Leonard en 1833, ces arbres pouvant dépasser les cent mètres de hauteur sont l’âme d’une terre inapprivoisée qu’ils habitent sans les hommes depuis des millénaires. Voilà pour les personnages principaux ayant existé, un bon roman que j'ai apprécié et que je recommande aux lecteurs aimant la nature..
A l’orée du verger
Editions Quai Voltaire 11 mai 2016
ISBN 978 2 7103 7763 4
320 pages
Quatrième de couverture
En 1838, dans l’Ohio, les fièvres ne font pas de cadeau. À chaque début d’hiver, James Goodenough creuse de petites tombes en prévision des mauvais jours. Et à chaque fin d’hiver, une nouvelle croix vient orner le bout de verger qui fait péniblement vivre cette famille de cultivateurs de pommes originaires du Connecticut. Mais la fièvre n’est pas le seul fléau qui menace les Goodenough : l’alcool a fait sombrer Sadie, la mère, qui parle à ses enfants disparus quand elle ne tape pas sur ceux qui restent ; les caprices du temps condamnent régulièrement les récoltes de James, et les rumeurs dont bruisse le village de Black Swamp pointent du doigt cette famille d’étrangers.
Des années plus tard, Robert a quitté l’Ohio pour tenter sa chance dans l’Ouest. Il sera garçon de ferme, mineur, orpailleur, puis il renouera avec l’amour des arbres que son père lui a donné en héritage. Au fin fond de la Californie, auprès d’un exportateur anglais fantasque, Robert participe à une activité commerciale qui prendra bientôt son essor : il prélève des pousses de séquoias géants pour les envoyer aux amateurs du Vieux Monde. De son côté, pendant toutes ces années, Martha n’a qu’un rêve, traverser les États-Unis à la recherche de son frère. Elle a un lourd secret à lui faire partager.
Mon avis
Dans ce roman les hommes qu’ils soient réels ou fictionnels ont payé un lourd tribut à la construction des Etats-Unis. Martha et Robert Gogdenough venait de s’établir dans l’Ohio marécageux et infesté d’insectes lorsque John Chapmann qui cultivait des pommiers et parcourait les rivières de l’Ohio dans un rand canot rempli d’arbres qu’il vendait aux colons, rend visite à la famille Gogdenough pour leur vendre des jeunes pommiers et c’est après un drame que Robert quitte sa famille, il arrive en Californie et c’est avec lui que nous terminerons notre lecture. C’est une histoire sur le sujet méconnu des arbres, que ce soit la culture des pommiers ou celle du commerce des arbres millénaires de la Californie. Une histoire romanesque, une fresque sombre allant des coupe-gorges de New-York au port grouillant de San Francisco, conquête de l’Ouest oui, mais aussi une histoire de faim et de souffrance, de courage et d’espoir, j’ai lu ce roman comme une épopée historique puisque le botaniste John Chapman (1774-1845) de son surnom « Johnny Appleseed » a contribué a développé la culture des pommiers dans Midwest, favorisant ainsi l’essor économique d’une région encore sauvage. Par contre William Lobb(1809-1864) était exportateur de plantes originaire des Cornouailles et promoteur du commerce des séquoias, la grande passion botanique du XlXème siécle. Découverts par l’explorateur J. K.Leonard en 1833, ces arbres pouvant dépasser les cent mètres de hauteur sont l’âme d’une terre inapprivoisée qu’ils habitent sans les hommes depuis des millénaires. Voilà pour les personnages principaux ayant existé, un bon roman que j'ai apprécié et que je recommande aux lecteurs aimant la nature..
lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
Merci pour ton avis.
Personnellement, j'adore Tracy Chevalier et je ne vais pas tarder à lire ce roman. C'est son dernier, je suppose ? Je ne savais pas qu'il était sorti... tu l'as encore eu en avant première, Lalyre ?
Pistou 117- Grand sage du forum
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Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
Oui Pistou en avant-première, il est sorti aujourd'hui
Ces avant-première m'occupent beaucoup, c'est bon pour ma santé et ma mémoire
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lalyre- Grand sage du forum
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Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
Veinarde ! Ceci dit, tu nous présentes les avant-premières en avant-première, ce qui est un avantage pour nous aussi !
Pistou 117- Grand sage du forum
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Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
Merci pour ton avis Lalyre.
Je ne manquerai pas le lire. J'aime beaucoup T.Chevalier.
Je ne manquerai pas le lire. J'aime beaucoup T.Chevalier.
Fleya- Grand expert du forum
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Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
C'est un couple étrange que celui de Sadie et James Goodenough… Ils s'installent, un peu forcés et contraints à Black Swamp.
Ils doivent planter des pommiers… Cinquante pommiers et la terre leur appartiendra!
Il veut des pommes de table, pour les manger, des reinettes dorées. Il aime ses arbres, il les greffe, les protège.
Il partage avec son fils Robert son savoir, lui explique, lui parle des arbres, des greffes, lui transmet cet amour!
Elle préfère les pommes à cidre, des pommes dont elle pourra tirer un alcool fort, une eau-de-vie dont elle se repaît, sans doute pour oublier…
Oublier les croix plantées à l'orée du verger, tous les enfants pris par la fièvre, oublier la boue qui s'incruste… oublier qu'elle n'est pas la mère idéale… S'oublier dans l'ivresse.
Robert partira, il ira vers l'ouest.
J'ai beaucoup aimé voyager avec Robert. Cet amour qu'il garde pour sa famille en écrivant…sans savoir si son courrier est reçu ou perdu.
Cette façon qu'il a d'avancer, tranquille, prenant parfois des risques, des mauvais chemins mais restant digne. Un homme honnête!
Il y a aussi un étrange retour aux sources…
Un échange entre le vieux monde et le nouveau monde…
Encore une agréable lecture!
Les lectures de Joëlle
Ils doivent planter des pommiers… Cinquante pommiers et la terre leur appartiendra!
Il veut des pommes de table, pour les manger, des reinettes dorées. Il aime ses arbres, il les greffe, les protège.
Il partage avec son fils Robert son savoir, lui explique, lui parle des arbres, des greffes, lui transmet cet amour!
Elle préfère les pommes à cidre, des pommes dont elle pourra tirer un alcool fort, une eau-de-vie dont elle se repaît, sans doute pour oublier…
Oublier les croix plantées à l'orée du verger, tous les enfants pris par la fièvre, oublier la boue qui s'incruste… oublier qu'elle n'est pas la mère idéale… S'oublier dans l'ivresse.
Robert partira, il ira vers l'ouest.
J'ai beaucoup aimé voyager avec Robert. Cet amour qu'il garde pour sa famille en écrivant…sans savoir si son courrier est reçu ou perdu.
Cette façon qu'il a d'avancer, tranquille, prenant parfois des risques, des mauvais chemins mais restant digne. Un homme honnête!
Il y a aussi un étrange retour aux sources…
Un échange entre le vieux monde et le nouveau monde…
Encore une agréable lecture!
Les lectures de Joëlle
Dernière édition par joëlle le Mer 5 Fév 2020 - 8:47, édité 1 fois
joëlle- Modérateur
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Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
J'ai eu beaucoup de mal à entrer dans l'histoire au début. Les personnages ne sont pas sympatiques, c'est le moins qu'on puisse dire, pas plus que le cadre, les Blacks Swamps, les marais noirs. On se demande comment des gens ont pu s'installer là. On se demande encore davantage comment ils ont pu y rester, d'ailleurs. Il fallait vraiment qu'ils n'aient pas d'autre choix.
J'ai accroché quand Robert est parti, et ça n'est pas un hasard. Comme lui, j'avais besoin de sortir des marais meurtriers, de quitter cette famille étouffante, ces personnages que je ne comprenais pas. J'ai beaucoup aimé cette partie, la quête de Martha, les lettres perdues et retrouvées, la découverte des arbres géants de Californie.
Je ne connaissais pas du tout Johnny Appleseed et sa vie qui a tourné à la légende. J'ai été heureuse d'apprendre, en fin de roman, que les Black Swamps existent, et que plusieurs des personnages du roman ont réellement vécu ce que raconte l'auteur. C'est un aspect de ses oeuvres que j'apprécie particulièrement, elle met en scène des personnages historiques secondaires. Je suis toujours heureuse d'apprendre à les connaître.
L'impression qui me domine après cette lecture est, "quelle vie de fous" ! Pas de doute, pour moi, les premiers américains devaient être un peu fêlés. Les américains d'aujourd'hui le sont un peu aussi, peut-être ?
Malgré un début difficile, j'ai voté "Beaucoup apprécié".
La souche d'un séquoïa à Calaveras Grove, Californie.
C'est probablement cette souche que décrit Tracy Chevalier.
Robert aime beaucoup Calaveras Grove et ses arbres géants, par contre, il n'apprécie pas que cet arbre ait été coupé pour attirer les touristes.
Les séquoïas de Calaveras Grove.
J'ai accroché quand Robert est parti, et ça n'est pas un hasard. Comme lui, j'avais besoin de sortir des marais meurtriers, de quitter cette famille étouffante, ces personnages que je ne comprenais pas. J'ai beaucoup aimé cette partie, la quête de Martha, les lettres perdues et retrouvées, la découverte des arbres géants de Californie.
Je ne connaissais pas du tout Johnny Appleseed et sa vie qui a tourné à la légende. J'ai été heureuse d'apprendre, en fin de roman, que les Black Swamps existent, et que plusieurs des personnages du roman ont réellement vécu ce que raconte l'auteur. C'est un aspect de ses oeuvres que j'apprécie particulièrement, elle met en scène des personnages historiques secondaires. Je suis toujours heureuse d'apprendre à les connaître.
L'impression qui me domine après cette lecture est, "quelle vie de fous" ! Pas de doute, pour moi, les premiers américains devaient être un peu fêlés. Les américains d'aujourd'hui le sont un peu aussi, peut-être ?
Malgré un début difficile, j'ai voté "Beaucoup apprécié".
La souche d'un séquoïa à Calaveras Grove, Californie.
C'est probablement cette souche que décrit Tracy Chevalier.
Robert aime beaucoup Calaveras Grove et ses arbres géants, par contre, il n'apprécie pas que cet arbre ait été coupé pour attirer les touristes.
Les séquoïas de Calaveras Grove.
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Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
Mes deux romans préférés de Tracy Chevalier sont A l'orée du verger et Prodigieuses créatures.
Dans A l'orée du verger, j'ai été très intéressée par deux personnages réels, John Chapman et William Lobb, botanistes qui ont fait découvrir à l'Angleterre de nombreuses espèces d'arbres en provenance des Amériques, dont les Redwoods et les fameux séquoias géants. L'histoire de l'héroïne est elle très sombre, mais je la trouve plutôt réaliste. Un coup de cœur pour moi.
Dans A l'orée du verger, j'ai été très intéressée par deux personnages réels, John Chapman et William Lobb, botanistes qui ont fait découvrir à l'Angleterre de nombreuses espèces d'arbres en provenance des Amériques, dont les Redwoods et les fameux séquoias géants. L'histoire de l'héroïne est elle très sombre, mais je la trouve plutôt réaliste. Un coup de cœur pour moi.
Re: [Chevalier, Tracy] À l'orée du verger
Après la lecture de la dernière fugitive, je retrouve avec plaisir l’écriture de Tracy Chevalier. La famille Goodenough s’installe en 1838 dans l’État de l’Ohio. Les terres qu’ils ont pu acquérir sont sur des terres marécageuses. Qui dit marécage, dit problèmes humidité, maladies, moustiques. Les hivers sont rudes. Le père , James veut planter et développer la culture des pommiers. Il est à la recherche d’une pomme parfaite, acidulée.
Sadie, la mère se réfugie dans l’alcool, et maltraite toute la famille. Les conditions de vie sont difficiles. Chaque hiver, un enfant décède. Suite à une dispute, Robert quitte la famille. Il parcourt les États-Unis en travaillant ici et là. Il finit par trouver un travail qui lui plaît bien. Il devient l’assistant d’un botaniste, qui expédie des pousses de séquoias géants vers l’Angleterre.
Tracy Chevalier nous livre un tableau saisissant de la vie des pionniers, qui luttent sans merci avec la terre et les éléments. Hostile ou consolatrice, la nature règne en maîtresse sur le récit, .J’ai aimé sillonner les routes, les champs avec les différents protagonistes.
Elle ne se contente pas d’effleurer un sujet, elle le décortique….comme la culture des pommiers, de leur culture, des soins et traitements à leur apporter, des greffes que l’on fait pour obtenir telle ou telle caractéristique pour leurs fruits.
Les descriptions des différentes variétés de pommes, et leur goût . Et d’un autre, la vie des grands séquoias j’ai aimé suivre les aventures de Robert qui apprend à reconnaître les espèces, les prélever, les soigner et les transporter.
Si vous avez envie d’en savoir plus sur les colons, sur la botanique alors n’hésitez pas, lisez ce roman.
Sadie, la mère se réfugie dans l’alcool, et maltraite toute la famille. Les conditions de vie sont difficiles. Chaque hiver, un enfant décède. Suite à une dispute, Robert quitte la famille. Il parcourt les États-Unis en travaillant ici et là. Il finit par trouver un travail qui lui plaît bien. Il devient l’assistant d’un botaniste, qui expédie des pousses de séquoias géants vers l’Angleterre.
Tracy Chevalier nous livre un tableau saisissant de la vie des pionniers, qui luttent sans merci avec la terre et les éléments. Hostile ou consolatrice, la nature règne en maîtresse sur le récit, .J’ai aimé sillonner les routes, les champs avec les différents protagonistes.
Elle ne se contente pas d’effleurer un sujet, elle le décortique….comme la culture des pommiers, de leur culture, des soins et traitements à leur apporter, des greffes que l’on fait pour obtenir telle ou telle caractéristique pour leurs fruits.
Les descriptions des différentes variétés de pommes, et leur goût . Et d’un autre, la vie des grands séquoias j’ai aimé suivre les aventures de Robert qui apprend à reconnaître les espèces, les prélever, les soigner et les transporter.
Si vous avez envie d’en savoir plus sur les colons, sur la botanique alors n’hésitez pas, lisez ce roman.
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