[Lavoine, Marc] L'homme qui ment
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L'homme qui ment
[Lavoine, Marc] L'homme qui ment
L'HOMME QUI MENT
Témoignage édité au livre de poche en mars 2016
216 pages
Résumé
« Tu vivais dans un film italien, comme si la vie n’était pas suffisante, pas assez colorée, pas assez tout court. Tu évoquais l’Algérie, ta frustration de ne pas avoir fait médecine à cause de… la guerre, l’argent, la vie et ton mariage peut-être trop tôt. En fait, tu noyais tous ces regrets dans le sexe des femmes, comme pour apaiser les douleurs de ta mémoire, pour soigner l’homme blessé de l’intérieur. Les filles, c’était du sirop, une médecine d’urgence pour apaiser les maux de l’âme et du cœur. Ça pesait dans mon cartable, et je partageais ça avec mon frère, qui essayait de temporiser, évoquant les blessures de Lulu. Ça me clamait de façon passagère, mais ça ne changeait rien. »
Un sujet intime et universel que Marc Lavoine traite sans fausse pudeur, juste avec le cœur. Sophie Delassein, Le Nouvel Observateur.
Un récit très touchant. Judith Korber, Metronews.
Loin de juger son père, le fils en parle avec la tendresse de ceux qui ont pardonné. Nathalie Dupuis, Elle.
Mon ressenti
C’est avec franchise que Marc Lavoine fait le portrait de ses parents, devenu orphelin à ce jour. Que reste-t-il de l’enfance, lorsque les témoins se sont éteints ? Que reste-t-il de nos parents ? C’est au travers de ces lignes que se dessine le petit Marc, entre ce héros invisible et cette mère qui se fane ; puis cet adolescent avec son regard vif, voire assassin, de faire payer et faire disparaître l’injustice ; aujourd’hui, l’homme brosse un portrait en demi-teinte, en prenant ou laissant ce que ses parents lui ont transmis.
Une époque révolue somme toute pour beaucoup qui entre en résonance avec la mienne, certains moments de notre histoire que j’ai partagée sous un autre regard.
Témoignage édité au livre de poche en mars 2016
216 pages
Résumé
« Tu vivais dans un film italien, comme si la vie n’était pas suffisante, pas assez colorée, pas assez tout court. Tu évoquais l’Algérie, ta frustration de ne pas avoir fait médecine à cause de… la guerre, l’argent, la vie et ton mariage peut-être trop tôt. En fait, tu noyais tous ces regrets dans le sexe des femmes, comme pour apaiser les douleurs de ta mémoire, pour soigner l’homme blessé de l’intérieur. Les filles, c’était du sirop, une médecine d’urgence pour apaiser les maux de l’âme et du cœur. Ça pesait dans mon cartable, et je partageais ça avec mon frère, qui essayait de temporiser, évoquant les blessures de Lulu. Ça me clamait de façon passagère, mais ça ne changeait rien. »
Un sujet intime et universel que Marc Lavoine traite sans fausse pudeur, juste avec le cœur. Sophie Delassein, Le Nouvel Observateur.
Un récit très touchant. Judith Korber, Metronews.
Loin de juger son père, le fils en parle avec la tendresse de ceux qui ont pardonné. Nathalie Dupuis, Elle.
Mon ressenti
C’est avec franchise que Marc Lavoine fait le portrait de ses parents, devenu orphelin à ce jour. Que reste-t-il de l’enfance, lorsque les témoins se sont éteints ? Que reste-t-il de nos parents ? C’est au travers de ces lignes que se dessine le petit Marc, entre ce héros invisible et cette mère qui se fane ; puis cet adolescent avec son regard vif, voire assassin, de faire payer et faire disparaître l’injustice ; aujourd’hui, l’homme brosse un portrait en demi-teinte, en prenant ou laissant ce que ses parents lui ont transmis.
Une époque révolue somme toute pour beaucoup qui entre en résonance avec la mienne, certains moments de notre histoire que j’ai partagée sous un autre regard.
Pinky- Grand sage du forum
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Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
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