[Ginestet, Sylvie] Le Livre des Âmes – Tome 1 : Bethany

292 pages
ISBN 978-2-930839-26-4

Quatrième de couverture:
Bethany est née en 1049, dans un petit village de pêcheurs en bord de mer. La vie était rude à cette époque et l’espérance d’une vie longue et prospère bien mince. À vingt-deux ans, le jour de son anniversaire, sa vie bascula dans le vide de la haute falaise près de la forêt. Elle n’avait pas voulu cela, elle avait glissé. Alors qu’elle planait vers les vagues à vive allure, une main s’était tendue vers elle. Elle l’avait attrapée comme un mince espoir. Ce jour-là dans les eaux glacées de la mer d’Iroise, elle rencontra celui qui allait changer sa mort… Arny, Mathilde, Breanna et les autres ont tous un point commun : ils ont croisé Bethany.

Elle est la petite main préférée de la Mort. Celle qui sait si bien choisir pour lui les plus belles âmes. Ces âmes qui rendent la mort patiente…

Mais patiente jusqu’à quel point ?

Mon avis:

Le livre des âmes c’est l’histoire de Bethany, petite main de la mort. Sa préférée dit-on . Mais pas seulement. En effet nous suivons la vie, enfin la fin de vie, de quelques êtres choisit par Bethany pour son maître; pour ne pas qu’il s’ennuie. Mais attention aux âmes choisies car si l’on se trompe la mort ne pardonne pas. Enfin peut-être si… Bethany fait exception. Elle, elle peut. Elle a le droit de la regarder dans les yeux. Elle danse pour lui lorsqu’il joue du violon pour elle. Ces danses sont d’ailleurs mes passages préférées

Le champs des loups et tout ce qui tourne autour m’a aussi beaucoup plus. C’est un des passages qui m’a le plus plus et Emma est un des personnages qui m’a marquée.

Le livre est découpé en différents passages, différents livres selon les personnages suivit et puis il y a les parties autres où Bethany et la mort ont « leur vie ». Ce découpage permet une lecture rapide. Lorsque l’on en finit un on se dit » ah tiens allez le suivant n’est pas long » et on enchaîne jusqu’à la fin ^^.

Je suis curieuse de savoir de quoi parle les tomes suivants.

L’auteure a réussit son pari de nous faire voir la mort autrement, presqu’ avec douceur et poésie je dirais.

PS: la couverture est superbe.