[Montero-Manglano, Luis] La table du roi Salomon
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[Montero-Manglano] La table du roi Salomon
[Montero-Manglano, Luis] La table du roi Salomon
[Montero-Manglano, Luis]
La table du roi Salomon
Actes Sud juin 2017
ISBN 978 2 330 07831 7
514 pages
Quatrième de couverture
Canterbury : des ruelles pavées à l’ombre d’une cathédrale mythique, un honorable archevêque, des étudiants, des pubs et des bicyclettes. Tirso Alfaro, doctorant espagnol en art médiéval, s’ennuie à mourir au musée de la ville, où il officie comme guide ; jusqu’au jour où, sous ses yeux, un moine dérobe la précieuse patène ancienne, fleuron de la céramique vitrifiée des maîtres cordouans, qu’il était venu étudier. Échouant à convaincre les autorités que l’œuvre qui continue de briller de tous ses feux derrière la vitrine blindée est une réplique, Tirso est renvoyé à Madrid, où l’attend une offre d’emploi énigmatique, assortie d’un extravagant test d’aptitude… qu’il réussit. Il intègre alors le Corps royal des quêteurs : une organisation secrète, établie dans les sous-sols du Musée archéologique de Madrid, et dont la mission consiste à localiser et à rapatrier par tous les moyens les œuvres du patrimoine historique national que les rapines des guerres des XIXe et XXe siècles ont éparpillées à travers le monde. Les objets ainsi “volés aux voleurs” sont remplacés par de parfaites copies (le procédé mis en œuvre à Canterbury).
La première mission de Tirso, qui porte sur l’un des secrets les plus insondables de l’histoire des civilisations, le lance sur la trace du roi Salomon et de Lilith, l’incomparable reine de Saba.
L’amour et l’action le disputent à l’intrigue et à l’aventure, dans ce roman érudit et trépidant qui nous plonge au cœur des histoires de l’art.
Mon avis
Je continue la suite de la Quatrième de couverture ouTirso est certain que la Patène est une fausse ce qui fait penser que les voleurs ont réussi à partir avec l’original. Il est recruté par une organisation secrète qui récupère les œuvres volées à l’Etat espagnole depuis des siècles et Tirsol s’est facilement intégré dans Le Corps Royal des Quêteurs dont le but le plus important est de suivre la piste de la célèbre Table du roi Salomon, pour cela tous les moyens sont bons et c’est au prix de mille dangers souvent illégaux que le héros en compagnie des autres quêteurs vont entreprendre un voyage périlleux sous la terre ou des pièges et des embuches les attendent et certains y perdront la vie. Des personnages bizarres tels que Alpha et Oméga, les jumeaux joailliers un peu faussaires, le terrible Gelrohde, évadé de prison qui est lui aussi sur la même piste et bien d’autres. Le trajet est long dans ce labyrinthe souterrain ou le danger est là sans cesse et qui m’a provoqué des frissons et la Table de Salomon les attend. J’ai eu très difficile de distinguer la différence entre Histoire et fiction. D’ailleurs dans sa note en fin de livre, l’auteur dit que la plupart des événements rapportés dans ce roman sont fictifs et d’autres ont une base réel et que le lecteur fasse la part du réel et de l’imaginaire, il nous fait part d’un ou deux faits qui se sont passés. Personnellement je ne considère nullement ce livre comme roman historique mais davantage d’actions, d’aventures, de suspense, d’intrigues et d’amour dans un monde de faussaires. Il est certain que ce très bon roman m’a littéralement accrochée du début jusqu’à la fin…..4,5/5
La table du roi Salomon
Actes Sud juin 2017
ISBN 978 2 330 07831 7
514 pages
Quatrième de couverture
Canterbury : des ruelles pavées à l’ombre d’une cathédrale mythique, un honorable archevêque, des étudiants, des pubs et des bicyclettes. Tirso Alfaro, doctorant espagnol en art médiéval, s’ennuie à mourir au musée de la ville, où il officie comme guide ; jusqu’au jour où, sous ses yeux, un moine dérobe la précieuse patène ancienne, fleuron de la céramique vitrifiée des maîtres cordouans, qu’il était venu étudier. Échouant à convaincre les autorités que l’œuvre qui continue de briller de tous ses feux derrière la vitrine blindée est une réplique, Tirso est renvoyé à Madrid, où l’attend une offre d’emploi énigmatique, assortie d’un extravagant test d’aptitude… qu’il réussit. Il intègre alors le Corps royal des quêteurs : une organisation secrète, établie dans les sous-sols du Musée archéologique de Madrid, et dont la mission consiste à localiser et à rapatrier par tous les moyens les œuvres du patrimoine historique national que les rapines des guerres des XIXe et XXe siècles ont éparpillées à travers le monde. Les objets ainsi “volés aux voleurs” sont remplacés par de parfaites copies (le procédé mis en œuvre à Canterbury).
La première mission de Tirso, qui porte sur l’un des secrets les plus insondables de l’histoire des civilisations, le lance sur la trace du roi Salomon et de Lilith, l’incomparable reine de Saba.
L’amour et l’action le disputent à l’intrigue et à l’aventure, dans ce roman érudit et trépidant qui nous plonge au cœur des histoires de l’art.
Mon avis
Je continue la suite de la Quatrième de couverture ouTirso est certain que la Patène est une fausse ce qui fait penser que les voleurs ont réussi à partir avec l’original. Il est recruté par une organisation secrète qui récupère les œuvres volées à l’Etat espagnole depuis des siècles et Tirsol s’est facilement intégré dans Le Corps Royal des Quêteurs dont le but le plus important est de suivre la piste de la célèbre Table du roi Salomon, pour cela tous les moyens sont bons et c’est au prix de mille dangers souvent illégaux que le héros en compagnie des autres quêteurs vont entreprendre un voyage périlleux sous la terre ou des pièges et des embuches les attendent et certains y perdront la vie. Des personnages bizarres tels que Alpha et Oméga, les jumeaux joailliers un peu faussaires, le terrible Gelrohde, évadé de prison qui est lui aussi sur la même piste et bien d’autres. Le trajet est long dans ce labyrinthe souterrain ou le danger est là sans cesse et qui m’a provoqué des frissons et la Table de Salomon les attend. J’ai eu très difficile de distinguer la différence entre Histoire et fiction. D’ailleurs dans sa note en fin de livre, l’auteur dit que la plupart des événements rapportés dans ce roman sont fictifs et d’autres ont une base réel et que le lecteur fasse la part du réel et de l’imaginaire, il nous fait part d’un ou deux faits qui se sont passés. Personnellement je ne considère nullement ce livre comme roman historique mais davantage d’actions, d’aventures, de suspense, d’intrigues et d’amour dans un monde de faussaires. Il est certain que ce très bon roman m’a littéralement accrochée du début jusqu’à la fin…..4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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