[Bishop, Stephanie] De l'autre côté du monde
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[Bishop, Stephanie] De l'autre côté du monde
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[Bishop, Stephanie]
De l’autre côté du monde
Editions Fleuve 24 août 2017
ISBN 978 2 265 11673 3
284 pages
Quatrième de couverture
Cambridge, 1963.
Une chambre à soi. Du temps pour peindre. Tel est le rêve de Charlotte après la naissance de ses deux filles. Son mari Henry, lui, ne supporte plus le climat anglais pluvieux et brumeux, et rêve d’un pays aride et ensoleillé comme l’Inde de son enfance. Une brochure, glissée dans la boîte aux lettres, semble apporter la solution : « L’Australie réveille le meilleur en vous. » Henry y croit. Charlotte, en dépit de ses réticences, finit par céder, et peu après la petite famille embarque pour l’autre côté du monde. Cependant, sous le soleil cuisant de Perth, la terre s’assèche tout comme leur relation dont la substance semble progressivement s’estomper. À l’image des aquarelles, les contours de leur vie précédente se brouillent, se perdent. Lorsqu’un nouvel événement vient chambouler l’équilibre familial fragile, Charlotte décide de prendre en main son avenir, quitte à renoncer à ce qu’elle a de plus précieux…
Mon avis
Charlotte a finalement accepté de quitter l’Angleterre pour l’Australie, il se fait qu’en l’époque de 1963, le gouvernement australien payait les frais de traversée pour toute la famille, ce qui sans doute a décidé Henry. Cependant pour Charlotte, on peut imaginer que ce changement ne va pas arranger son état d’esprit, très vite elle se sent épuisée dans son rôle de mère de famille ce qui crée une tension grandissante dans le couple, ceci pour le fond de l’histoire….J’ai aimé ce portrait de femme qui au-delà de la vie de famille, veut vivre sa passion, c’est-à-dire la peinture. Un couple ou chacun à sa façon essaye de retrouver ce qui leur manque. Car Henry retourne en Inde, son pays natal pour y trouver ses racines mais tous les deux ont la nostalgie d’une vie plus confortable et se posent la question, doit-on rester ou ne pas rester ? De très belles descriptions sur la nature et sur le climat nous font imaginer la chaleur du bush contrastant avec le froid de l’Angleterre et la mousson en Inde. Un beau roman écrit avec sensibilité sur l’amour, la maternité, décisions prises et us et coutumes d’un pays à l’autre bout du monde, cela sur fond d’ambiance mélancolique….
De l’autre côté du monde
Editions Fleuve 24 août 2017
ISBN 978 2 265 11673 3
284 pages
Quatrième de couverture
Cambridge, 1963.
Une chambre à soi. Du temps pour peindre. Tel est le rêve de Charlotte après la naissance de ses deux filles. Son mari Henry, lui, ne supporte plus le climat anglais pluvieux et brumeux, et rêve d’un pays aride et ensoleillé comme l’Inde de son enfance. Une brochure, glissée dans la boîte aux lettres, semble apporter la solution : « L’Australie réveille le meilleur en vous. » Henry y croit. Charlotte, en dépit de ses réticences, finit par céder, et peu après la petite famille embarque pour l’autre côté du monde. Cependant, sous le soleil cuisant de Perth, la terre s’assèche tout comme leur relation dont la substance semble progressivement s’estomper. À l’image des aquarelles, les contours de leur vie précédente se brouillent, se perdent. Lorsqu’un nouvel événement vient chambouler l’équilibre familial fragile, Charlotte décide de prendre en main son avenir, quitte à renoncer à ce qu’elle a de plus précieux…
Mon avis
Charlotte a finalement accepté de quitter l’Angleterre pour l’Australie, il se fait qu’en l’époque de 1963, le gouvernement australien payait les frais de traversée pour toute la famille, ce qui sans doute a décidé Henry. Cependant pour Charlotte, on peut imaginer que ce changement ne va pas arranger son état d’esprit, très vite elle se sent épuisée dans son rôle de mère de famille ce qui crée une tension grandissante dans le couple, ceci pour le fond de l’histoire….J’ai aimé ce portrait de femme qui au-delà de la vie de famille, veut vivre sa passion, c’est-à-dire la peinture. Un couple ou chacun à sa façon essaye de retrouver ce qui leur manque. Car Henry retourne en Inde, son pays natal pour y trouver ses racines mais tous les deux ont la nostalgie d’une vie plus confortable et se posent la question, doit-on rester ou ne pas rester ? De très belles descriptions sur la nature et sur le climat nous font imaginer la chaleur du bush contrastant avec le froid de l’Angleterre et la mousson en Inde. Un beau roman écrit avec sensibilité sur l’amour, la maternité, décisions prises et us et coutumes d’un pays à l’autre bout du monde, cela sur fond d’ambiance mélancolique….
lalyre- Grand sage du forum
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