Lecture commune de janvier et février 2018 : Choix du livre tout genre confondu

Et voici vos propositions:

"En l'absence des hommes" de Philippe Besson ((en format broché mais disponible pour 7€)

216 pages

Quatrième de couverture

Été 1916. Vincent découvre la passion dans les bras d'Arthur, jeune soldat qui tente d'échapper pour quelques jours à l'horreur des tranchées. Dans le même temps, il ébauche une affection amoureuse avec l'écrivain mondain et renommé Marcel Proust. Le temps de ce bel été, l'un va devenir l'amant, l'autre l'ami. Comme deux fragiles éclats de bonheur au milieu de la tragédie.


« L'imprévisible » de Metin Arditi

203 pages en poche

Quatrième de couverture

Anne-Catherine appartient à la haute société genevoise. Elle vient de se séparer de son mari et demande à Guido Gianotti, professeur d'histoire de l'art à la retraite, une estimation pour un tableau dont elle veut se débarrasser. Tout oppose Anne-Catherine et Guido : elle a grandi dans les salons, il est fils d'un immigré italien chauffeur de maître ; elle est encore jeune alors que lui subit l'humiliation d'une virilité déclinante... Pourtant, au contact l'un de l'autre, ces deux êtres blessés par la vie et par leur milieu vont retrouver une dignité. A travers les rebondissements d'une enquête qui entraîne le lecteur dans l'univers des grands peintres de la Renaissance florentine, surgit le récit d'un violent amour crépusculaire.


« L’enfant bleu » de Henry Bauchau

317 pages en poche

Quatrième de couverture

L'enfant bleu, c'est Orion, un garçon psychotique âgé de 13 ans dont les médicaments peinent à apaiser les crises. Véronique, psychothérapeute dans un hôpital de jour parisien, va entrer dans l'imaginaire de cet enfant pour essayer de lui rendre la paix. Elle devine sa richesse, sa sensibilité extrême, et va le guider, avec patience et passion, vers l'expression artistique. Henry Bauchau explore ici, avec sa tendresse de poète et sa passion d'écrivain, la frontière entre art et folie.


« L'homme qui savait la langue des serpents » de Andrus Kivirahk

480 pages

Quatrième de couverture

L'Homme qui savait la langue des serpents raconte l'histoire du dernier des hommes qui parlait la langue des serpents, de sa sour qui tomba amoureuse d'un ours, de sa mère qui rôtissait compulsivement des élans, de son grand-père qui guerroyait sans jambes, de son oncle qu'il aimait tant, d'une jeune fille qui croyait en l'amour, d'un sage qui ne l'était pas tant que ça, d'une paysanne qui rêvait d'un loup-garou, d'un vieil homme qui chassait les vents, d'une salamandre qui volait dans les airs, d'australopithèques qui élevaient des poux géants, d'un poisson titanesque las de ce monde et de chevaliers teutons un peu épouvantés par tout ce qui précède.

Peuplé de personnages étonnants, empreint de réalisme magique et d'un souffle inspiré des sagas scandinaves, L'Homme qui savait la langue des serpents révèle l'humour et de l'imagination franchement délirante d'Andrus Kivirähk. Le roman retrace dans une époque médiévale réinventée la vie peu banale d'un jeune homme qui, vivant dans la forêt, voit le monde de ses ancêtres disparaître et la modernité l'emporter. Une fable?? Oui, mais aussi un regard ironique sur notre propre époque. L'Homme qui savait la langue des serpents a reçu le Grand Prix de l'Imaginaire en 2014.


« Avatar » de Théophile Gautier (en format broché mais disponible pour moins de 7€ et gratuit en format e-book)

136 pages

Quatrième de couverture

Depuis plusieurs mois, l’état de santé d’Octave de Séville se dégradait. De nombreux médecins ont ausculté ce jeune poète sans trouver la moindre maladie. Un jour, Octave décide de se confier à un médecin : le Docteur Balthazar Cherbonneau. Sa maladie, il l’a attrapé à Florence, sous le soleil italien, lorsqu’il s’est épris de la belle Comtesse Prascovie Labinska. Malheureusement pour lui, la Comtesse est très amoureuse de son époux le Comte Olaf Labinski. Prascovie a demandé à Octave de l’oublier, mais il n’y arrive pas. Après cette révélation Balthazar Cherbonneau va faire une proposition incroyable à Octave. Il va lui proposer d’intégrer le corps du Comte Labinski. Sous les apparences du Conte, il pourra gagner l’amour de Prascovie… ou pas. Si vous n’avez jamais lu du Théophile Gautier, Avatar pourra être une bonne introduction à la belle plume de cet auteur.


« Je n'ai pas toujours été un vieux con » d'Alexandre Feraga

251 pages en poche

Quatrième de couverture

«Je n'ai pas toujours été un vieil homme dépendant. Lorsque l'on nous voit pour la première fois, nous les ancêtres, les croulants, les débris, les soixante-dix-huit tours, on nous aborde ridés, arthritiques et séniles. Il devient impensable que le papy amarré à son lit d'hôpital ait pu un jour envoyer une saloperie de balle de golf avec un balancement souple du tronc.» Léon, armé de son humour, refuse de se laisser écraser par les outrages de la vieillesse. Amateur de coups tordus, il est encore prêt à jouer un dernier tour à tous ceux qui croient qu'un vieux, ce n'est jamais qu'un... vieux. «Il y a des leçons de repartie à prendre dans ce premier roman gouailleur, dont les dialogues à la lucidité décapante remettraient sur pied un grabataire.»


Vote jusqu'au 1 Janvier à midi, vous avez la possibilité de donner un second choix à la suite de ce post. Merci.

Second choix : « Avatar » de Théophile Gautier.

Ce sera L'homme qui savait la langue des serpents de Andrus Kivirahk pour moi

Second choix : l'enfant bleu de Henry Bauchau

J'ai voté, le second choix est L'enfant bleu de Bauchau

Second choix : "Avatar" de Théophile Gautier

Voté. Pas de second choix.

J'ai voté!
second choix "Avatar" de Théophile Gautier.

( Je ne trouve nul part les règles des lectures communes (j'ai cherché j'vous jure !) et j'ai l'impression d'avoir mal compris un truc alors je demande ici : Il y a un vote mis en place et des personnes mettent un second choix... cela veut dire qu'il nous faudra forcément lire le livre élu par vote et, éventuellement un second choix ? Ou bien si le livre choisis n’intéresse pas, tan pis on peut juste prendre un second choix ? )

Pandora a écrit:( Je ne trouve nul part les règles des lectures communes (j'ai cherché j'vous jure !) et j'ai l'impression d'avoir mal compris un truc alors je demande ici : Il y a un vote mis en place et des personnes mettent un second choix... cela veut dire qu'il nous faudra forcément lire le livre élu par vote et, éventuellement un second choix ? Ou bien si le livre choisis n’intéresse pas, tan pis on peut juste prendre un second choix ? )

Seul le livre "élu" constitue la lecture commune. Tout le monde, du moins ceux qui le souhaitent, lit le même roman, il est souvent accompagné d'un quizz.

Ici, nous ne faisons que voter pour le livre qui sera notre lecture commune. Le second choix sert à départager en cas d'égalité (si je ne dis pas de bêtises )

Par la suite un nouveau post sera ouvert, pour que les participants se déclarent sur leur participation. Souvent il y a deux choix de lectures communes pour des questions de goût Si un des deux ne te plait pas, tu ne le lis pas, si les deux te plaisent tu peux lire les deux, etc. Au quinze du second mois, les sujets sont ouverts et l'on peut donner son avis

J'espère être claire dans mon explication, et ne rien oublier.

Merci Elo d'avoir répondu à Pandora

Oui, merci bien Elo C'est très clair !

De rien

La suite, c'est là