Compte rendu du chat avec Jean-Marc Dhainaut
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Compte rendu du chat avec Jean-Marc Dhainaut
Le 2 février 2018, Jean-Marc Dhainaut nous a fait le plaisir de partager un moment, en petit comité (7 membres sont passés durant la soirée) suite à la LC de son roman « La maison bleu horizon ».
On a parlé:
Du roman « La maison bleu horizon » et du paranormal :
Les adjectifs qui ressortent pour parler du livre sont : prometteur (pour quelqu’un qui ne l’a pas lu), envoûtant, surprenant, addictif, émouvant, vibrant. Jean-Marc Dhainaut relève aussi qu’il est pratique pour caler un pied de table.
Des participants remarquent que l’histoire apparait comme crédible. Jean-Marc Dhainaut explique que c’est parce que « il se calque sur ce que beaucoup de gens peuvent vivre chez eux. Les témoignages sont nombreux et se recoupent sur bon nombre de points communs (les bruits etc...). […] Le roman est comme les légendes, il part d'un fond de vérité». Il a eu l’occasion de s’intéresser à ces phénomènes et de rencontrer des gens qui en étaient témoins chez eux, avec des enfants. Il y a 25 ans, il animait une émission de radio sur ces phénomènes en compagnie d’un médium. Cela a nourri ses connaissances et son inspiration des années plus tard. S’agissant de ses croyances, Jean-Marc Dhainaut répond « Je suis un peu comme Alan Lambin, je dis "les fantômes, oui, pourquoi pas, mais pas si vite" Disons que je pense qu'il existe des choses étranges, quelque chose de possible, des lieux hantés oui. » En parlant de lieu hanté, il pense qu’il peut s’agir de lieux hantés par des souvenirs, imprégnés de quelque chose, ou dans lesquels rode encore quelque chose. Pour lui, « c'est justement de supposer et de ne pas savoir qui élargit toutes les possibilités du surnaturel dans les romans ».
Il a raconté avoir vécu une expérience personnelle assez troublante lorsqu’il était plus jeune chez ses parents. Il a passé le reste de la nuit dans le fauteuil du salon. Cela l’a marqué et a soulevé des questions, mais « imagination ou pas, c'est un mystère ». Nous n’en saurons pas plus sur cette expérience.
Un fantôme doit-il régler ses problèmes avec la vie avant d’atteindre un au-delà ? « Disons que, comme le dit Alan : il n'y a jamais de fantôme sans raison, et tant que la lumière n'est pas faite sur cette raison, tant qu'elle n'est pas résolue, un fantôme est susceptible de rester là. Ça, c'est les principes théoriques sur le sujet»
De l’idée :
L'idée de l’histoire est venue naturellement, nourrie par les domaines qui l’intéressent : la grande guerre, le fantastique, les hantises, l'archéologie, qu’il décrit comme « un mix de mon univers, de mes passions, scénarisé à travers une histoire, un personnage. »
Jean-Marc Dhainaut raffole des histoires de fantômes, mais est aussi très difficile à ce sujet, il en jette énormément.
« Le fantastique est vraiment un domaine qui me plait. Mon enfance a été nourrie par les vieux épisodes de La Quatrième dimension. Une série incroyable pour son époque. »
De la guerre :
Une participante relève qu’il rend un vibrant hommage à tous ces jeunes gens, soldats sacrifiés de cette guerre. Sa réponse : « Oui, je leur dois le fait de m’appeler Jean-Marc Dhainaut, et non pas Hans Müller Smile »
Des personnages :
« Les personnages d'un roman doivent être "vivants", j'écris comme j'aime lire. C'est à dire avec des émotions, pas trop de personnages qui font qu'on finit par se perdre, et c'est surtout avec l'émotion que je "joue". Une histoire ne pas être simplement belle, elle doit nous imprégner, nous émouvoir. »
« Cette famille ressemble à beaucoup de personnes qui vivent ce genre de chose. Cela bouscule leur quotidien, leur vie. »
Du choix de la couverture et du titre :
A propos du choix de la couverture, Jean-Marc Dhainaut renvoie à Taurnada. Il confirme par contre avoir choisi lui-même le titre de son roman.
De l’écriture :
L’écriture, avec les multiples relectures, les arrangements etc... lui a pris environ 7 mois.
Jean-Marc Dhainaut n’écrit pas à plein temps, car il a un emploi en usine, dans l’industrie automobile, qui lui prend beaucoup et des passions en parallèle. « C'est pour cela que lorsque l'on me dit que je suis écrivain, je réponds non : je suis un ouvrier qui écrit. ». Il écrit sur son ordinateur, quand il en a l’envie et qu’il se sent motivé. Il ne se force pas. Mais il reconnait « C'est pas gagné d'être motivé à écrire. Déjà trouver le temps, mais en plus l'envie ce n'est pas toujours facile. Certains y consacrent tout leur temps libre et ne pensent qu'à ça, moi non. » A propos de sa vision de l’avenir « Si un jour la flamme s'éteint, tant la mienne que celle des lecteurs, j'apprendrai le tricot pour mes longues soirées d'hiver ». Les participants relèvent que ce serait dommage de cesser d’écrire.
« La maison bleu horizon est un roman qui semble plaire beaucoup, mais j'ignore s'il en sera toujours ainsi. C'est toujours le risque. Je reste fidèle à ma devise : fais ce que dois, advienne que pourra. Tant que l'instinct me chuchotera d'écrire, je le ferai »
Il fait lire ses manuscrits à ses proches, à des amis, des connaissances, pour récolter tous les avis et retravailler tout ce qui est nécessaire en fonction des retours, jusqu’à ce qu’il soit satisfait.
Lorsqu’il a senti son manuscrit prêt et qu’il était satisfait de la trame, il l’a envoyé à sept ou huit maisons d’édition, pensant faire plusieurs vagues d’envois, mais la réponse de Taurnada a été très rapide, car ils ont eu un coup de cœur pour le manuscrit.
Du nom du personnage principal :
Sur le nom d’Alan Lambin, Jean-Marc Dhainaut explique : « Alan, pour le prénom car sa mère est Bretonne. Lambin, un nom du Nord d'où est originaire André, son père » et ajoute que selon sa généalogie, sa famille vient du nord depuis au moins le 17ième siècle. L’origine du nom est précisée dans « Le Fantôme au crayon » et sera en anecdote dans « Les Prières de Sang ».
De la rencontre avec les lecteurs :
Il n’a pour l’instant rencontré que peu de ses lecteurs, mais ça commence petit à petit et il aime vraiment bien faire connaissance. C’est son premier chat. Il n’a pas d’exemple de remarque étrange, mais plusieurs lectrices lui ont dit avoir vraiment eu peur et monter ensuite leurs escaliers en technique du crabe pour voir de chaque côté si quelque chose se passe. « Chaque lecteur a vécu des émotions différentes en le lisant. Certains ont eu peur, d'autres non. »
Lors du chat, la discussion a aussi tourné autour de ses phénomènes ou impressions qu’on ne peut expliquer mais que l’on ressent dans certains lieux imprégnés.
« Pendant des années je me disais, alors que j'avais une idée dans la tête "un jour j'écrirai...", et un jour arrive où il faut arrêter de rêver et se lancer. »
De son premier livre :
Jean-Marc Dhainaut a sorti un premier roman « Au-delà d’un destin ». Ce livre ne sera probablement pas réédité. Il pense avoir fait un mauvais choix éditorial qu’il regrette.
De ses projets en cours :
Il a déjà deux autres romans en chantier : deux autres aventures d’Alan Lambin et un mystérieux autre projet pour plus tard. Il en dit juste « L'autre chose restera du fantastique, mais ce n'est pas pour maintenant : un scénario post apocalyptique et survivaliste. peut-être un peu plus tiré vers la science-fiction, il fait encore que j'y travaille, mais j'ai le temps (enfin, j'espère ) ».
« Les Prières de sang » sortira normalement le 5 juillet. On y retrouvera Alan dans un monastère hanté, quelque part au bord de falaises normandes.
De la lecture :
En ce qui concerne la lecture, il relève être très très difficile et ne pas hésiter à arrêter un livre s’il n’est pas dans l’histoire au bout de 100 pages. Il a en outre peu de temps pour lire le soir et donc ses lectures se prolongent. Il est impressionné par les gens qui peuvent lire 5 romans par semaine ou en lire un en deux heures, il en est incapable.
De l’adaptation de son roman :
« Il s'agira d'une saga de peut-être 5 tomes, alors qui sait. Mais là, même si ce serait bien d'en faire un film, je reste lucide, c'est pas demain la veille. Encore faudrait-il que cela séduise un réalisateur ». A la question de savoir quel acteur il aurait aimé pour le rôle d’Alan « Pas Frank Dubosq en tout cas ».
Ce chat a donné envie à plusieurs participants de découvrir le livre.
Et le mot de la fin revient à Jean-Marc Dhainaut « Tout est possible tant qu'on a pas prouvé que ça ne l'était pas »
On a parlé:
Du roman « La maison bleu horizon » et du paranormal :
Les adjectifs qui ressortent pour parler du livre sont : prometteur (pour quelqu’un qui ne l’a pas lu), envoûtant, surprenant, addictif, émouvant, vibrant. Jean-Marc Dhainaut relève aussi qu’il est pratique pour caler un pied de table.
Des participants remarquent que l’histoire apparait comme crédible. Jean-Marc Dhainaut explique que c’est parce que « il se calque sur ce que beaucoup de gens peuvent vivre chez eux. Les témoignages sont nombreux et se recoupent sur bon nombre de points communs (les bruits etc...). […] Le roman est comme les légendes, il part d'un fond de vérité». Il a eu l’occasion de s’intéresser à ces phénomènes et de rencontrer des gens qui en étaient témoins chez eux, avec des enfants. Il y a 25 ans, il animait une émission de radio sur ces phénomènes en compagnie d’un médium. Cela a nourri ses connaissances et son inspiration des années plus tard. S’agissant de ses croyances, Jean-Marc Dhainaut répond « Je suis un peu comme Alan Lambin, je dis "les fantômes, oui, pourquoi pas, mais pas si vite" Disons que je pense qu'il existe des choses étranges, quelque chose de possible, des lieux hantés oui. » En parlant de lieu hanté, il pense qu’il peut s’agir de lieux hantés par des souvenirs, imprégnés de quelque chose, ou dans lesquels rode encore quelque chose. Pour lui, « c'est justement de supposer et de ne pas savoir qui élargit toutes les possibilités du surnaturel dans les romans ».
Il a raconté avoir vécu une expérience personnelle assez troublante lorsqu’il était plus jeune chez ses parents. Il a passé le reste de la nuit dans le fauteuil du salon. Cela l’a marqué et a soulevé des questions, mais « imagination ou pas, c'est un mystère ». Nous n’en saurons pas plus sur cette expérience.
Un fantôme doit-il régler ses problèmes avec la vie avant d’atteindre un au-delà ? « Disons que, comme le dit Alan : il n'y a jamais de fantôme sans raison, et tant que la lumière n'est pas faite sur cette raison, tant qu'elle n'est pas résolue, un fantôme est susceptible de rester là. Ça, c'est les principes théoriques sur le sujet»
De l’idée :
L'idée de l’histoire est venue naturellement, nourrie par les domaines qui l’intéressent : la grande guerre, le fantastique, les hantises, l'archéologie, qu’il décrit comme « un mix de mon univers, de mes passions, scénarisé à travers une histoire, un personnage. »
Jean-Marc Dhainaut raffole des histoires de fantômes, mais est aussi très difficile à ce sujet, il en jette énormément.
« Le fantastique est vraiment un domaine qui me plait. Mon enfance a été nourrie par les vieux épisodes de La Quatrième dimension. Une série incroyable pour son époque. »
De la guerre :
Une participante relève qu’il rend un vibrant hommage à tous ces jeunes gens, soldats sacrifiés de cette guerre. Sa réponse : « Oui, je leur dois le fait de m’appeler Jean-Marc Dhainaut, et non pas Hans Müller Smile »
Des personnages :
« Les personnages d'un roman doivent être "vivants", j'écris comme j'aime lire. C'est à dire avec des émotions, pas trop de personnages qui font qu'on finit par se perdre, et c'est surtout avec l'émotion que je "joue". Une histoire ne pas être simplement belle, elle doit nous imprégner, nous émouvoir. »
« Cette famille ressemble à beaucoup de personnes qui vivent ce genre de chose. Cela bouscule leur quotidien, leur vie. »
Du choix de la couverture et du titre :
A propos du choix de la couverture, Jean-Marc Dhainaut renvoie à Taurnada. Il confirme par contre avoir choisi lui-même le titre de son roman.
De l’écriture :
L’écriture, avec les multiples relectures, les arrangements etc... lui a pris environ 7 mois.
Jean-Marc Dhainaut n’écrit pas à plein temps, car il a un emploi en usine, dans l’industrie automobile, qui lui prend beaucoup et des passions en parallèle. « C'est pour cela que lorsque l'on me dit que je suis écrivain, je réponds non : je suis un ouvrier qui écrit. ». Il écrit sur son ordinateur, quand il en a l’envie et qu’il se sent motivé. Il ne se force pas. Mais il reconnait « C'est pas gagné d'être motivé à écrire. Déjà trouver le temps, mais en plus l'envie ce n'est pas toujours facile. Certains y consacrent tout leur temps libre et ne pensent qu'à ça, moi non. » A propos de sa vision de l’avenir « Si un jour la flamme s'éteint, tant la mienne que celle des lecteurs, j'apprendrai le tricot pour mes longues soirées d'hiver ». Les participants relèvent que ce serait dommage de cesser d’écrire.
« La maison bleu horizon est un roman qui semble plaire beaucoup, mais j'ignore s'il en sera toujours ainsi. C'est toujours le risque. Je reste fidèle à ma devise : fais ce que dois, advienne que pourra. Tant que l'instinct me chuchotera d'écrire, je le ferai »
Il fait lire ses manuscrits à ses proches, à des amis, des connaissances, pour récolter tous les avis et retravailler tout ce qui est nécessaire en fonction des retours, jusqu’à ce qu’il soit satisfait.
Lorsqu’il a senti son manuscrit prêt et qu’il était satisfait de la trame, il l’a envoyé à sept ou huit maisons d’édition, pensant faire plusieurs vagues d’envois, mais la réponse de Taurnada a été très rapide, car ils ont eu un coup de cœur pour le manuscrit.
Du nom du personnage principal :
Sur le nom d’Alan Lambin, Jean-Marc Dhainaut explique : « Alan, pour le prénom car sa mère est Bretonne. Lambin, un nom du Nord d'où est originaire André, son père » et ajoute que selon sa généalogie, sa famille vient du nord depuis au moins le 17ième siècle. L’origine du nom est précisée dans « Le Fantôme au crayon » et sera en anecdote dans « Les Prières de Sang ».
De la rencontre avec les lecteurs :
Il n’a pour l’instant rencontré que peu de ses lecteurs, mais ça commence petit à petit et il aime vraiment bien faire connaissance. C’est son premier chat. Il n’a pas d’exemple de remarque étrange, mais plusieurs lectrices lui ont dit avoir vraiment eu peur et monter ensuite leurs escaliers en technique du crabe pour voir de chaque côté si quelque chose se passe. « Chaque lecteur a vécu des émotions différentes en le lisant. Certains ont eu peur, d'autres non. »
Lors du chat, la discussion a aussi tourné autour de ses phénomènes ou impressions qu’on ne peut expliquer mais que l’on ressent dans certains lieux imprégnés.
« Pendant des années je me disais, alors que j'avais une idée dans la tête "un jour j'écrirai...", et un jour arrive où il faut arrêter de rêver et se lancer. »
De son premier livre :
Jean-Marc Dhainaut a sorti un premier roman « Au-delà d’un destin ». Ce livre ne sera probablement pas réédité. Il pense avoir fait un mauvais choix éditorial qu’il regrette.
De ses projets en cours :
Il a déjà deux autres romans en chantier : deux autres aventures d’Alan Lambin et un mystérieux autre projet pour plus tard. Il en dit juste « L'autre chose restera du fantastique, mais ce n'est pas pour maintenant : un scénario post apocalyptique et survivaliste. peut-être un peu plus tiré vers la science-fiction, il fait encore que j'y travaille, mais j'ai le temps (enfin, j'espère ) ».
« Les Prières de sang » sortira normalement le 5 juillet. On y retrouvera Alan dans un monastère hanté, quelque part au bord de falaises normandes.
De la lecture :
En ce qui concerne la lecture, il relève être très très difficile et ne pas hésiter à arrêter un livre s’il n’est pas dans l’histoire au bout de 100 pages. Il a en outre peu de temps pour lire le soir et donc ses lectures se prolongent. Il est impressionné par les gens qui peuvent lire 5 romans par semaine ou en lire un en deux heures, il en est incapable.
De l’adaptation de son roman :
« Il s'agira d'une saga de peut-être 5 tomes, alors qui sait. Mais là, même si ce serait bien d'en faire un film, je reste lucide, c'est pas demain la veille. Encore faudrait-il que cela séduise un réalisateur ». A la question de savoir quel acteur il aurait aimé pour le rôle d’Alan « Pas Frank Dubosq en tout cas ».
Ce chat a donné envie à plusieurs participants de découvrir le livre.
Et le mot de la fin revient à Jean-Marc Dhainaut « Tout est possible tant qu'on a pas prouvé que ça ne l'était pas »
Re: Compte rendu du chat avec Jean-Marc Dhainaut
J'étais absente lors de ce chat et je le regrette vraiment.
J'ai adoré 'La maison bleu horizon' ! Vivement d'autres aventures de Alan Lambin car c'est un personnage très attachant... ou alors retrouver l'auteur pour d'autres sujets...
J'adore les histoires étranges...
J'ai adoré 'La maison bleu horizon' ! Vivement d'autres aventures de Alan Lambin car c'est un personnage très attachant... ou alors retrouver l'auteur pour d'autres sujets...
J'adore les histoires étranges...
Invité- Invité
Re: Compte rendu du chat avec Jean-Marc Dhainaut
Merci, malheureusement absent ce jour-là mais ma chronique arrive.
_________________
Lectures en cours :
Elise ou la vraie vie de Claire Etcherelli
Pourquoi le saut des baleines de Nicolas Cavaillés
Un loup quelque part d'Amélie Cordonnier.
La pensée du moment :
"Les Hommes sont malheureux parce qu'ils ne réalisent pas les rêves qu'ils ont" Jacques Brel.
Re: Compte rendu du chat avec Jean-Marc Dhainaut
Je n'ai pas lu le livre mais je trouve cela très intéressant, cet échange avec l'auteur.
Merci pour ce poste Lilo.
Merci pour ce poste Lilo.
Pandora- Grand expert du forum
-
Nombre de messages : 1372
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Localisation : France
Genre littéraire préféré : Aucun, c'est la plume de l'auteur qui me transporte... ou pas
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Cassiopée- Admin
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Emploi/loisirs : enseignante
Genre littéraire préféré : un peu tout
Date d'inscription : 17/04/2009
Re: Compte rendu du chat avec Jean-Marc Dhainaut
Je ne l'ai pas lu, mais je me suis immiscée dans le chat qui est un excellent souvenir. Merci pour ce compte rendu, Lilo, tu me rappelles que ce roman est dans ma LAL...
Pistou 117- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 4087
Age : 60
Localisation : LILLE
Genre littéraire préféré : De tout, partout...
Date d'inscription : 09/06/2010
Re: Compte rendu du chat avec Jean-Marc Dhainaut
Pistou, ne le fais pas languir dans ta PAL
Il te faut le lire car c'est un roman vraiment sympa !
Moi j'attends de nouvelles parutions de cet auteur car j'espère qu'il va encore m'amener dans ce même genre d'univers...
Il te faut le lire car c'est un roman vraiment sympa !
Moi j'attends de nouvelles parutions de cet auteur car j'espère qu'il va encore m'amener dans ce même genre d'univers...
Invité- Invité
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