[Job, Armel] Une femme que j'aimais
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[Job, Armel] Une femme que j'aimais
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[Job, Armel]
Une femme que j’aimais
Editions Robert Laffont 1 Février 2018
ISBN 978 2 221 21544 9
295 pages
Présentation de l'éditeur
Un secret qui ne passe pas...
Chaque week-end, Claude, jeune homme au tempérament solitaire et à la vie un peu terne, rend visite à la seule personne qu'il aime rencontrer, sa tante Adrienne, qui habite une belle villa à la campagne. Adrienne a cinquante-cinq ans, elle est veuve, elle ne sort pratiquement jamais de chez elle. Mais sa douceur, sa beauté fascinent Claude, comme tous les hommes qui ont un jour croisé son regard.
Un samedi, Adrienne évoque un secret qui depuis toujours pèse sur son coeur. Elle voudrait le confier à Claude, qui refuse de l'entendre. Quelques semaines plus tard, il la trouve gisant sur le carrelage de la villa, morte. Accident ? Meurtre ?... Alors, seulement, Claude se met en quête de la confidence qu'il n'avait pas voulu recevoir. Cette quête va le mener sur les traces du passé d'Adrienne, chaque rencontre lui suggérant une réponse que remet en question la suivante...
Mon avis
Mais voilà, ce secret sera tu du vivant de la tante Adrienne et Claude ce jeune homme pourtant très timide va bien être obliger de faire des recherches pour selon le vœux de sa tante connaître le mystère du passé de celle-ci. Pour cela il lui faudra interroger des gens avec leur part de mystère, ayant connu Adrienne dans le passé. Justement il y a une femme dans un triste home, un prêtre-ouvrier, un italien déraciné, un boucher ventripotent et quelques autres moins importants, cependant n’oublions pas celle qui jadis était une jolie jeune fille de quinze ans, certes il y a aussi des histoires d’amour tragiques, déçus ou heureux. Tous ces gens évoluent dans une ville de Belgique, Charleroi ou spécialement Claude qui tente d’éclaircir toutes les théories possibles et part en quête de détails pour résoudre le mystère de tante Adrienne. C’est sur un rythme entraînant que nous allons de fausse piste en fausse piste, n’ayant pas ressenti ce roman comme un thriller bien qu’il y aie du suspense, je pense que c’est la vie, rien d’extraordinaire, des non-dits qui donnent des regrets, un beau portrait de femme et une réflexion sur l’âme humaine. Un roman facile pour les vacances qui ne m’a pas trop emballée….
Une femme que j’aimais
Editions Robert Laffont 1 Février 2018
ISBN 978 2 221 21544 9
295 pages
Présentation de l'éditeur
Un secret qui ne passe pas...
Chaque week-end, Claude, jeune homme au tempérament solitaire et à la vie un peu terne, rend visite à la seule personne qu'il aime rencontrer, sa tante Adrienne, qui habite une belle villa à la campagne. Adrienne a cinquante-cinq ans, elle est veuve, elle ne sort pratiquement jamais de chez elle. Mais sa douceur, sa beauté fascinent Claude, comme tous les hommes qui ont un jour croisé son regard.
Un samedi, Adrienne évoque un secret qui depuis toujours pèse sur son coeur. Elle voudrait le confier à Claude, qui refuse de l'entendre. Quelques semaines plus tard, il la trouve gisant sur le carrelage de la villa, morte. Accident ? Meurtre ?... Alors, seulement, Claude se met en quête de la confidence qu'il n'avait pas voulu recevoir. Cette quête va le mener sur les traces du passé d'Adrienne, chaque rencontre lui suggérant une réponse que remet en question la suivante...
Mon avis
Mais voilà, ce secret sera tu du vivant de la tante Adrienne et Claude ce jeune homme pourtant très timide va bien être obliger de faire des recherches pour selon le vœux de sa tante connaître le mystère du passé de celle-ci. Pour cela il lui faudra interroger des gens avec leur part de mystère, ayant connu Adrienne dans le passé. Justement il y a une femme dans un triste home, un prêtre-ouvrier, un italien déraciné, un boucher ventripotent et quelques autres moins importants, cependant n’oublions pas celle qui jadis était une jolie jeune fille de quinze ans, certes il y a aussi des histoires d’amour tragiques, déçus ou heureux. Tous ces gens évoluent dans une ville de Belgique, Charleroi ou spécialement Claude qui tente d’éclaircir toutes les théories possibles et part en quête de détails pour résoudre le mystère de tante Adrienne. C’est sur un rythme entraînant que nous allons de fausse piste en fausse piste, n’ayant pas ressenti ce roman comme un thriller bien qu’il y aie du suspense, je pense que c’est la vie, rien d’extraordinaire, des non-dits qui donnent des regrets, un beau portrait de femme et une réflexion sur l’âme humaine. Un roman facile pour les vacances qui ne m’a pas trop emballée….
lalyre- Grand sage du forum
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Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
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