[Kim, Ye-Seol] Bienvenue
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Bienvenue
[Kim, Ye-Seol] Bienvenue
BIENVENUE
Roman édité chez Picquier poche en février 2013
171 pages
Résumé
Yunyeong est prête à tout pour conquérir une vie meilleure : elle doit porter à bout de bras un bébé, un compagnon bon à rien, une soeur poursuivie par ses créanciers, un frère accro aux jeux d'argent ainsi qu'une mère étouffante. Elle a décroché un emploi de serveuse dans un restaurant, qui se révèle être une maison de passe clandestine. Un roman qui témoigne crûment de la brutalité des rapports sociaux et de la condition faite aux femmes en Corée - une réalité connue de tous mais qui reste soigneusement occultée.
Yunyeong se débat contre la pauvreté et résiste à la violence et au mépris grâce à son insurmontable énergie qui, seule, lui permet de garder espoir.
Mon ressenti
C’est un livre qu’il faut lire lorsque nous avons le moral au top. Le moins que je puisse dire, c’est que le livre est plombant et j’ai envie de dire pourquoi ? Pourquoi tant d’acharnement sur une personne ? Pourquoi Yunyeong n’a-t-elle pas plus de révolte ou de volonté ?
Yunyeong est une jeune femme sur laquelle repose tout : elle doit ses parents, financer les études de sa sœur, entretenir son compagnon qui prépare un concours, élever sa fille… bref, ses journées ne sont pas assez longues. Aussi, c’est tout naturellement qu’elle se tourne vers le plus vieux métier du monde. Elle travaille dans un restaurant minable qui propose à ses clients d’autres services qu’elle découvre rapidement.
Yunyeong n’est pas un sujet mais un objet que tout le monde utilise de façon différente. Elle est gentille, dévouée. Elle voulait simplement une vie meilleure avec un emploi pour subvenir à ses besoins. Comme chacun sait, la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Il faut parfois, voire souvent se battre, se rebeller, mettre des limites et écouter parfois ses propres besoins et savoir dire non.
C’est un portrait de femme entre modernité et ancien temps, une femme qui semble encore engluée dans des principes d’un autre temps qui régissent encore parfois la société coréenne et mon envie folle de la secouer, de la réveiller, de lui tendre la main pour qu’elle puisse se relever.
Un roman sombre et triste, apprécions ce que nous avons.
A vous de voir
Roman édité chez Picquier poche en février 2013
171 pages
Résumé
Yunyeong est prête à tout pour conquérir une vie meilleure : elle doit porter à bout de bras un bébé, un compagnon bon à rien, une soeur poursuivie par ses créanciers, un frère accro aux jeux d'argent ainsi qu'une mère étouffante. Elle a décroché un emploi de serveuse dans un restaurant, qui se révèle être une maison de passe clandestine. Un roman qui témoigne crûment de la brutalité des rapports sociaux et de la condition faite aux femmes en Corée - une réalité connue de tous mais qui reste soigneusement occultée.
Yunyeong se débat contre la pauvreté et résiste à la violence et au mépris grâce à son insurmontable énergie qui, seule, lui permet de garder espoir.
Mon ressenti
C’est un livre qu’il faut lire lorsque nous avons le moral au top. Le moins que je puisse dire, c’est que le livre est plombant et j’ai envie de dire pourquoi ? Pourquoi tant d’acharnement sur une personne ? Pourquoi Yunyeong n’a-t-elle pas plus de révolte ou de volonté ?
Yunyeong est une jeune femme sur laquelle repose tout : elle doit ses parents, financer les études de sa sœur, entretenir son compagnon qui prépare un concours, élever sa fille… bref, ses journées ne sont pas assez longues. Aussi, c’est tout naturellement qu’elle se tourne vers le plus vieux métier du monde. Elle travaille dans un restaurant minable qui propose à ses clients d’autres services qu’elle découvre rapidement.
Yunyeong n’est pas un sujet mais un objet que tout le monde utilise de façon différente. Elle est gentille, dévouée. Elle voulait simplement une vie meilleure avec un emploi pour subvenir à ses besoins. Comme chacun sait, la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Il faut parfois, voire souvent se battre, se rebeller, mettre des limites et écouter parfois ses propres besoins et savoir dire non.
C’est un portrait de femme entre modernité et ancien temps, une femme qui semble encore engluée dans des principes d’un autre temps qui régissent encore parfois la société coréenne et mon envie folle de la secouer, de la réveiller, de lui tendre la main pour qu’elle puisse se relever.
Un roman sombre et triste, apprécions ce que nous avons.
A vous de voir
Pinky- Grand sage du forum
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Localisation : Les Sables d'Olonne (85)
Emploi/loisirs : Educatrice spécialisée, peinture, dessin, bricolage, ballade, baignade, tricot, couture
Genre littéraire préféré : Je lis de tout en littérature mais j'ai beaucoup de mal avec les policiers... j'en lis 1 ou 2 dans l
Date d'inscription : 04/06/2008
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