[Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
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Que pensez vous de ce livre ?
[Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
J'ai quinze ans et je ne veut pas mourir suivi de Il n'est pas facile de vivre de
Chrisitine Arnothy
Édition :Le livre de poche
Nombre de pages :348
Résumé :Réfugiés dans la cave de leur appartement pour échapper aux bombardements, Chrisitine, ses parents et quelques voisins tentent de survivre pendant le siège de Budapest. Malgré la faim, la soif, la saleté, la promiscuité et les voisins plus ou moins solidaire, ils vivent au jour le jour gettant l'arrivée des Russes et leur délivrance. Mais une fois les Allemands partis, les choses ne s'améliorent pas et les parents de Christine décident de quitter la Hongrie illégalement pour rejoindre l'Autriche et la zone Française où ils espèrent trouver un avenir ...
Mon avis :C'est un très beau livre, très émouvant. Il est divisé en deux parties, la première partie a été écrite pendant le siège de Budapest durant l'hivers 1944/45 on vit en même temps que l'auteur les évenements tragique de ces longs mois. La deuxième partie en est la suite directe mais à été écrite plus tard ce qui induit que l'auteure a eu plus de recul sur les évenements et la comparaison des deux parties est intéressante. On voit dans ce livre un autre côté de la guerre, comment survivre après, quand on a tout perdu quand on a vecu tant d'horreur. J'ai dévoré ce livre qui se lit vraiment tout seul, un gros coup de coeur !!!
Chrisitine Arnothy
Édition :Le livre de poche
Nombre de pages :348
Résumé :Réfugiés dans la cave de leur appartement pour échapper aux bombardements, Chrisitine, ses parents et quelques voisins tentent de survivre pendant le siège de Budapest. Malgré la faim, la soif, la saleté, la promiscuité et les voisins plus ou moins solidaire, ils vivent au jour le jour gettant l'arrivée des Russes et leur délivrance. Mais une fois les Allemands partis, les choses ne s'améliorent pas et les parents de Christine décident de quitter la Hongrie illégalement pour rejoindre l'Autriche et la zone Française où ils espèrent trouver un avenir ...
Mon avis :C'est un très beau livre, très émouvant. Il est divisé en deux parties, la première partie a été écrite pendant le siège de Budapest durant l'hivers 1944/45 on vit en même temps que l'auteur les évenements tragique de ces longs mois. La deuxième partie en est la suite directe mais à été écrite plus tard ce qui induit que l'auteure a eu plus de recul sur les évenements et la comparaison des deux parties est intéressante. On voit dans ce livre un autre côté de la guerre, comment survivre après, quand on a tout perdu quand on a vecu tant d'horreur. J'ai dévoré ce livre qui se lit vraiment tout seul, un gros coup de coeur !!!
Dernière édition par Cervelinette le Lun 6 Juil 2009 - 12:05, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
Je l'ai lu il y a quelques années, et j'en garde un excellent souvenir de lecture! Cela dit, ça fait quand même un moment... donc je ne saurais pas être plus précise. Sauf que j'avais aimé
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
J'ai lu j'ai quinze ans et je ne veux pas mourir quand j'étais au lycée et j'avais beaucoup aimé mais je n'ai jamais lu la suite, je vais voir si je peux la trouver à la bibliothèque.
Euh sinon, ce n'est pas Christine Arnothy ?
Euh sinon, ce n'est pas Christine Arnothy ?
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
C'est corrigé
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
Il y avait pas deja un topic pour ce livre ?
[Edit] J'ai du confondre, désolée du dérangement
[Edit] J'ai du confondre, désolée du dérangement
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
Je note aussi un livre sur cette période c'est assez rare de ce coté de la frontière
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
Je déplace (après longue réflexion) vers une section plus adaptée. EN effet, il ne s'agit pas ici de roman historique, mais de roman dans un cadre historique. Ce n'est pas tout à fait la même chose (on m'a bien aidé à décidé, merci à la gente demoiselle m'ayant conseillé).
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
J'ai beaucoup aimé ce livre, je l'ai moi aussi dévoré mais j'en garde un souvenir trop flou car ca fait longtemps que je l'ai lu. Mais je vais le relire... Un jour peut-être
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
j'aimerais le lire
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
Bonsoir !très bon livre mais le jour ou j'ai chercher d'autres livres de Arnothy Christine le bouquiniste ne savais pas qu'elle avait écrit d'autre livres dommage !
KARIMA- Nouveau membre
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Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
un des tous premiers livres lus avec totalement de plaisir, et qui en a amené des tas d'autres.
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
Mon avis :
Le livre se divise en deux parties. Dans la première intitulée J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir, l’auteure tient un journal lors du siège de Budapest. Deux mois pendant lesquels elle, ses parents et les autres habitants de son immeuble se réfugient à la cave pour éviter les bombardements des Allemands et des Russes qui tiennent le sort de la capitale hongroise entre leurs mains et tentent les uns de la garder sous leur contrôle, les autres de s’en emparer. Elle livre ses peurs, ses angoisses, ses attentes de jeune fille dont on a volé l’adolescence, qui perd son insouciance au contact de la guerre, de ses privations et ses exactions. On vit au rythme de son quotidien et de celui de ses compagnons d’infortune auxquels on s’attache aussi énormément comme M. Radnay ou Ilus et son bébé. Un témoignage qui participe du devoir de mémoire et qui montre bien l’ampleur de cette Seconde Guerre Mondiale, qui ne touche pas uniquement la France, l’Allemagne ou l’Angleterre mais bien toute l’Europe (sans parler du reste du monde). Une fois débarrassés des Allemands, le sort de Christine et de sa famille n’est pas certain pour autant. Le joug soviétique commence à se faire sentir, la suspicion, une ambiance délétère et la répression s’installent. La fuite est alors inévitable. D’abord vers Vienne grâce à un passeur à l’honnêteté douteuse. Malheureusement, ils découvrent que, tout comme Berlin et l’Allemagne, la ville et l’Autriche sont découpées en quatre zones et ils sont tombés dans la zone russe. Il faut donc bouger à nouveau, tomber dans la clandestinité, être ballotés d’une ville à une autre avec toujours la peur de se faire prendre au ventre. Cette première partie est très forte en émotions.
La seconde titrée Il n’est pas si facile de vivre m’a paru plus décousue et surtout, j’ai eu l’impression que l’auteure était plus détachée, plus lointaine, comme étrangère à ce qui se passait autour d’elle, ce qu’elle souligne souvent d’ailleurs. Du coup, le lecteur prend lui-même de la distance, même si on la comprend : elle vit dans la peur, est encore sous le choc des horreurs qu’elle a vues lors du siège de sa ville, a sans doute besoin de se détacher pour pouvoir continuer à avancer. Ce passage donc sur leur fuite et leur arrivée au camp de réfugiés de Kulfstein m’a paru long et je n’ai pas été aussi réceptive à cette partie. J’ai commencé à raccrocher lorsqu’elle part pour la France. Elle vit alors de petits boulots où on la traite comme une esclave. La jeune fille de bonne famille ayant reçu une éducation et qui vivait dans un certain luxe découvre l’envers du décor, est une pariah, une étrangère qui a du mal à trouver sa place et doit lutter vaillamment pour se reconstruire et bâtir un avenir plus radieux. Sa vocation d’écrivain lui sera une aide précieuse, qui va l’aider à faire face aux coups durs. Ce sont des passages que j’ai beaucoup appréciés : on assiste à ses premiers pas sur la scène littéraire.
Dans l’ensemble, j’ai donc bien aimé cette lecture, même si les journaux intimes, récits autobiographiques ne sont toujours pas ce que je préfère. J’ai d’ailleurs un peu lutté (lors de la seconde partie notamment) pour arriver au bout et j’ai l’impression d’avoir déjà lu celui-ci car il m’a fait penser pendant toute la lecture à un autre (dont je n’ai plus le titre en tête mais qui était écrit par une jeune fille également, à Sarajevo je crois, pendant les bombardements de la ville). Bref, même si leur valeur historique me semble importante, je n’adhère jamais totalement à ce genre littéraire…
Le livre se divise en deux parties. Dans la première intitulée J’ai quinze ans et je ne veux pas mourir, l’auteure tient un journal lors du siège de Budapest. Deux mois pendant lesquels elle, ses parents et les autres habitants de son immeuble se réfugient à la cave pour éviter les bombardements des Allemands et des Russes qui tiennent le sort de la capitale hongroise entre leurs mains et tentent les uns de la garder sous leur contrôle, les autres de s’en emparer. Elle livre ses peurs, ses angoisses, ses attentes de jeune fille dont on a volé l’adolescence, qui perd son insouciance au contact de la guerre, de ses privations et ses exactions. On vit au rythme de son quotidien et de celui de ses compagnons d’infortune auxquels on s’attache aussi énormément comme M. Radnay ou Ilus et son bébé. Un témoignage qui participe du devoir de mémoire et qui montre bien l’ampleur de cette Seconde Guerre Mondiale, qui ne touche pas uniquement la France, l’Allemagne ou l’Angleterre mais bien toute l’Europe (sans parler du reste du monde). Une fois débarrassés des Allemands, le sort de Christine et de sa famille n’est pas certain pour autant. Le joug soviétique commence à se faire sentir, la suspicion, une ambiance délétère et la répression s’installent. La fuite est alors inévitable. D’abord vers Vienne grâce à un passeur à l’honnêteté douteuse. Malheureusement, ils découvrent que, tout comme Berlin et l’Allemagne, la ville et l’Autriche sont découpées en quatre zones et ils sont tombés dans la zone russe. Il faut donc bouger à nouveau, tomber dans la clandestinité, être ballotés d’une ville à une autre avec toujours la peur de se faire prendre au ventre. Cette première partie est très forte en émotions.
La seconde titrée Il n’est pas si facile de vivre m’a paru plus décousue et surtout, j’ai eu l’impression que l’auteure était plus détachée, plus lointaine, comme étrangère à ce qui se passait autour d’elle, ce qu’elle souligne souvent d’ailleurs. Du coup, le lecteur prend lui-même de la distance, même si on la comprend : elle vit dans la peur, est encore sous le choc des horreurs qu’elle a vues lors du siège de sa ville, a sans doute besoin de se détacher pour pouvoir continuer à avancer. Ce passage donc sur leur fuite et leur arrivée au camp de réfugiés de Kulfstein m’a paru long et je n’ai pas été aussi réceptive à cette partie. J’ai commencé à raccrocher lorsqu’elle part pour la France. Elle vit alors de petits boulots où on la traite comme une esclave. La jeune fille de bonne famille ayant reçu une éducation et qui vivait dans un certain luxe découvre l’envers du décor, est une pariah, une étrangère qui a du mal à trouver sa place et doit lutter vaillamment pour se reconstruire et bâtir un avenir plus radieux. Sa vocation d’écrivain lui sera une aide précieuse, qui va l’aider à faire face aux coups durs. Ce sont des passages que j’ai beaucoup appréciés : on assiste à ses premiers pas sur la scène littéraire.
Dans l’ensemble, j’ai donc bien aimé cette lecture, même si les journaux intimes, récits autobiographiques ne sont toujours pas ce que je préfère. J’ai d’ailleurs un peu lutté (lors de la seconde partie notamment) pour arriver au bout et j’ai l’impression d’avoir déjà lu celui-ci car il m’a fait penser pendant toute la lecture à un autre (dont je n’ai plus le titre en tête mais qui était écrit par une jeune fille également, à Sarajevo je crois, pendant les bombardements de la ville). Bref, même si leur valeur historique me semble importante, je n’adhère jamais totalement à ce genre littéraire…
Invité- Invité
Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
J'ai lu ce livre quand j'étais au lycée et j'avais beaucoup plus accroché qu'avec le journal d'Anne Franck. Un souvenir coup de coeur!!!!
Par contre je ne savais pas qu'il existait une suite. Je le note, mais avec la critique précédente je ne sais pas trop si j'ai réellement envie de la,lire on verra!
Par contre je ne savais pas qu'il existait une suite. Je le note, mais avec la critique précédente je ne sais pas trop si j'ai réellement envie de la,lire on verra!
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Re: [Arnothy, Christine] J'ai quinze ans et je ne veux pas mourir + Il n'est pas facile de vivre
Je ne connaissais pas ce livre là
Je le note aussi!
Je le note aussi!
Invité- Invité
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