[Lefèvre, Maëlle] Jiazoku
Page 1 sur 1
[Lefèvre, Maëlle] Jiazoku
[Lefèvre, Maëlle] Jiazoku
[Lefèvre, Maëlle]
Jiazoku
Editions Albin Michel janvier 2019
ISBN 978 2 226 43804 1
350 pages
Quatrième de couverture
Kabuchiko, le quartier le plus dangereux de Tokyo, territoire des yakusas. Daisuke, membre du redoutable clan Kobayashi, dirige un vaste réseau de mères porteuses vouées à approvisionner de riches chinois en mal d'enfants. Kei, qui a été conçu pour un couple de Shanghaiens, n'a pas connu ses parents, morts accidentellement avant sa naissance. Il a grandi entre l'affection de sa mère porteuse et la défiance de Daisuke, qu'il considère comme son père. Jusqu'au jour où ce dernier lui révèle le secret de sa naissance et l'existence de sa soeur, restée en Chine. Kei entreprend dès lors de partir pour Shanghai, décidé à relier le fil de ses origines. Jiazoku?: de « jia » en chinois et « kazoku » en japonais, deux mots qui signifient « famille ». Sur fond de trafics et d'exploitation humaine, Maëlle Lefevre, dix-neuf ans, explore dans ce premier roman émouvant l'amour idéal qui unit parents et enfants.
Mon avis
Bo et Guan Yin sont mères porteuses miséreuses pour survivre, sans se douter qu’elles font partie de celles qui sont choisies par un gang, les Yakusa, organisateurs de trafics d’enfants. Dans cette histoire, ce sont Ann et Kei, deux enfants issus de l’une des mères porteuses qui sont élevés de façon sévère par Daisuke qui fait partie du gang. Alors que sont devenus les parents adoptifs et les mères porteuses du début de l’histoire et pourquoi ces deux enfants ont-ils Daisuke comme éducateur sévère? Nous suivrons donc Ann et Kei pour connaître leur destin. Je ne m’avance pas plus dans l’histoire car ce serait dévoiler trop. Et bien voilà encore une belle lecture grâce à cette jeune auteure qui avec un beau style, s’est attachée à nous faire connaître les sentiments des personnages principaux, nous faisant participer à cette absence de liens et d’amour familiale mais aussi une plongée glaçante dans le milieu des Yakusas (maffia) ainsi que beaucoup de détails sur le Japon et la Chine. Un grand bravo à cette jeune auteure pour ce magnifique premier roman que j’ai lu très vite et qui ne saurait être qu’un coup de coeur. 5/5
Jiazoku
Editions Albin Michel janvier 2019
ISBN 978 2 226 43804 1
350 pages
Quatrième de couverture
Kabuchiko, le quartier le plus dangereux de Tokyo, territoire des yakusas. Daisuke, membre du redoutable clan Kobayashi, dirige un vaste réseau de mères porteuses vouées à approvisionner de riches chinois en mal d'enfants. Kei, qui a été conçu pour un couple de Shanghaiens, n'a pas connu ses parents, morts accidentellement avant sa naissance. Il a grandi entre l'affection de sa mère porteuse et la défiance de Daisuke, qu'il considère comme son père. Jusqu'au jour où ce dernier lui révèle le secret de sa naissance et l'existence de sa soeur, restée en Chine. Kei entreprend dès lors de partir pour Shanghai, décidé à relier le fil de ses origines. Jiazoku?: de « jia » en chinois et « kazoku » en japonais, deux mots qui signifient « famille ». Sur fond de trafics et d'exploitation humaine, Maëlle Lefevre, dix-neuf ans, explore dans ce premier roman émouvant l'amour idéal qui unit parents et enfants.
Mon avis
Bo et Guan Yin sont mères porteuses miséreuses pour survivre, sans se douter qu’elles font partie de celles qui sont choisies par un gang, les Yakusa, organisateurs de trafics d’enfants. Dans cette histoire, ce sont Ann et Kei, deux enfants issus de l’une des mères porteuses qui sont élevés de façon sévère par Daisuke qui fait partie du gang. Alors que sont devenus les parents adoptifs et les mères porteuses du début de l’histoire et pourquoi ces deux enfants ont-ils Daisuke comme éducateur sévère? Nous suivrons donc Ann et Kei pour connaître leur destin. Je ne m’avance pas plus dans l’histoire car ce serait dévoiler trop. Et bien voilà encore une belle lecture grâce à cette jeune auteure qui avec un beau style, s’est attachée à nous faire connaître les sentiments des personnages principaux, nous faisant participer à cette absence de liens et d’amour familiale mais aussi une plongée glaçante dans le milieu des Yakusas (maffia) ainsi que beaucoup de détails sur le Japon et la Chine. Un grand bravo à cette jeune auteure pour ce magnifique premier roman que j’ai lu très vite et qui ne saurait être qu’un coup de coeur. 5/5
lalyre- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 9623
Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Sujets similaires
» [Lefèvre, Thierry] Attaques nocturnes
» [Lefèvre, Kim] Les Eaux mortes du Mékong
» [Desard, Maëlle] L'école de Minuit
» [Points] Les eaux mortes du Mékong de Kim Lefèvre
» [Fierpied, Maëlle] Chroniques de l'université invisible
» [Lefèvre, Kim] Les Eaux mortes du Mékong
» [Desard, Maëlle] L'école de Minuit
» [Points] Les eaux mortes du Mékong de Kim Lefèvre
» [Fierpied, Maëlle] Chroniques de l'université invisible
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum