[Claise, Michel] Cobre (Cuivre)
Page 1 sur 1
[Claise, Michel] Cobre (Cuivre)
[Claise, Michel] Cobre (Cuivre)
[Claise, Michel]
Cobre (Cuivre)
Editions Luce Wilkin octobre 2017
ISBN 978 2 88353 537 5
249 pages
Quatrième de couverture
Chili, 11 septembre 1973. La junte militaire renverse le gouvernement démocratiquement élu. Le président Allende se suicide dans son palais de fonction, la Moneda. Juste avant, il a confié à son jeune chargé de communication une mission secrète, qui va entraîner celui-ci sur les routes, dans les mines et dans les geôles d’un pays désormais sans espoir social. Car le Chili bascule dans l’horreur : exécutions sommaires, arrestations arbitraires, tortures… Jorge se terre durant plusieurs semaines dans la cave d’un restaurant ami, avant de tenter de prendre, sous une fausse identité, la direction de la Bolivie. Mais le meilleur policier du pays, le commissaire Ramón Gil, a été chargé de l’arrêter. Et la traque commence. D’Antofagasta au camp de concentration de Chacabuco, où il est torturé, et au désert d’Atacama, le héros va vivre une transmutation pareille à celle du cuivre, la richesse du Chili.
Les faits historiques et les anecdotes qui animent le récit sont rigoureusement réels, certains personnages ont existé.
Mon avis
Quelques personnages habitant les pages de ce roman; Jorge Correa, jeune chargé de communication, proche du Président Allende qui lui a remis une mallette à remettre à Fidel Castro, nous suivrons ses péripéties avec grand intérêt car il est traqué par Ramon Gil, alors celui-ci parviendra t-il à le capturer ? Bien entendu il y est aussi question du régime de Pinochet avec toutes les horreurs et les crimes perpétrés, de Nixon et Kissinger qui au mépris de milliers de vies humaines, soutiennent les artisans du coup d’État chilien et cela pour le culte du profit et préserver les intérêts de leur pays puisque le Chili est pourvu de mines de cuivre. Cependant intervient une belle phrase de Pablo Neruda (Ils pourront couper toutes les fleurs, ils n’empêcheront jamais le printemps) Ce roman est un véritable hommage pour ce pays, ses traditions ancestrales, sa culture, ses paysages et ses habitants, j’ai ressenti le courage, l’amitié, la fraternité et la résistance, j’ai aimé Jorge, l’enfant naturel qui m’a émue lorsqu’il découvre enfin l’identité de son père biologique. J’ai apprécié ce roman avec ce mélange des espaces sacrés et profanes, une histoire empreinte de mythes, des fondements spirituels de l’humanité, partagés par tous les peuples, cela impliqué dans chaque chapitre, la terre, l’air, l’eau,le feu et le vide….4,5/5
Cobre (Cuivre)
Editions Luce Wilkin octobre 2017
ISBN 978 2 88353 537 5
249 pages
Quatrième de couverture
Chili, 11 septembre 1973. La junte militaire renverse le gouvernement démocratiquement élu. Le président Allende se suicide dans son palais de fonction, la Moneda. Juste avant, il a confié à son jeune chargé de communication une mission secrète, qui va entraîner celui-ci sur les routes, dans les mines et dans les geôles d’un pays désormais sans espoir social. Car le Chili bascule dans l’horreur : exécutions sommaires, arrestations arbitraires, tortures… Jorge se terre durant plusieurs semaines dans la cave d’un restaurant ami, avant de tenter de prendre, sous une fausse identité, la direction de la Bolivie. Mais le meilleur policier du pays, le commissaire Ramón Gil, a été chargé de l’arrêter. Et la traque commence. D’Antofagasta au camp de concentration de Chacabuco, où il est torturé, et au désert d’Atacama, le héros va vivre une transmutation pareille à celle du cuivre, la richesse du Chili.
Les faits historiques et les anecdotes qui animent le récit sont rigoureusement réels, certains personnages ont existé.
Mon avis
Quelques personnages habitant les pages de ce roman; Jorge Correa, jeune chargé de communication, proche du Président Allende qui lui a remis une mallette à remettre à Fidel Castro, nous suivrons ses péripéties avec grand intérêt car il est traqué par Ramon Gil, alors celui-ci parviendra t-il à le capturer ? Bien entendu il y est aussi question du régime de Pinochet avec toutes les horreurs et les crimes perpétrés, de Nixon et Kissinger qui au mépris de milliers de vies humaines, soutiennent les artisans du coup d’État chilien et cela pour le culte du profit et préserver les intérêts de leur pays puisque le Chili est pourvu de mines de cuivre. Cependant intervient une belle phrase de Pablo Neruda (Ils pourront couper toutes les fleurs, ils n’empêcheront jamais le printemps) Ce roman est un véritable hommage pour ce pays, ses traditions ancestrales, sa culture, ses paysages et ses habitants, j’ai ressenti le courage, l’amitié, la fraternité et la résistance, j’ai aimé Jorge, l’enfant naturel qui m’a émue lorsqu’il découvre enfin l’identité de son père biologique. J’ai apprécié ce roman avec ce mélange des espaces sacrés et profanes, une histoire empreinte de mythes, des fondements spirituels de l’humanité, partagés par tous les peuples, cela impliqué dans chaque chapitre, la terre, l’air, l’eau,le feu et le vide….4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 9623
Age : 92
Localisation : Liège (Belgique )
Emploi/loisirs : jardinage,lecture
Genre littéraire préféré : un peu de tout,sauf fantasy et fantastique
Date d'inscription : 07/04/2010
Sujets similaires
» [Claise, Michel] Souvenirs du Rif
» [Claise, Michel] Sans destination finale
» [Clavel, Fabien] Feuillets de cuivre
» [Bussi, Michel] N.E.O.
» TREMBLAY, Michel
» [Claise, Michel] Sans destination finale
» [Clavel, Fabien] Feuillets de cuivre
» [Bussi, Michel] N.E.O.
» TREMBLAY, Michel
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum