[Izaguirre, Marian] D'Elizabeth à Térésa
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[Izaguirre, Marian] D'Elizabeth à Térésa
[Izaguirre, Marian] D'Elizabeth à Térésa
[Izaguirre, Marian]
D’Elizabeth à Térésa
Editions Les Escales mars 2019
ISBN 978 2 36569 351 6
379 pages
Quatrième de couverture
Un siècle sépare Teresa et Elizabeth. Pourtant lorsque Teresa disparaît, les lettres d'Elizabeth pourraient bien offrir la clef de ce mystère.
Endettée, Teresa Mendieta doit se résoudre à fermer l'hôtel de la Costa Brava qu'elle gère seule. Cette maison du début du siècle, située au sommet d'une falaise, est intimement liée à son passé et à celui d'une autre femme, Elizabeth Babel, qui y vivait cent ans plus tôt. D'Elizabeth, jeune femme muette et isolée, ne restent que des lettres adressées à elle-même, comme un journal intime, que Teresa garde précieusement.
Lorsque Teresa disparaît sans laisser de traces, le contenu des lettres se révèle plus important que jamais : alors qu'un siècle sépare les deux femmes, plusieurs expériences et goûts communs semblent étrangement les unir...
Véritable hommage au pouvoir de l'écriture et de la transmission, D'Elizabeth à Teresa déploie, à travers les époques, les destinées de personnages féminins inoubliables.
Mon avis
Ce roman c’est le destin de deux femmes, Elizabeth et Térésa que cent ans séparent, cependant une connexion se lie entre les deux parce que Térésa a hérité du journal intime d’Elizabeth, rédigé en forme de lettres que cette dernière muette et isolée, s’écrivait à elle-même, d’ailleurs ces lettres écrites en italiques dans le roman commençait par Chère Elizabeth. J’ai ressenti un mal-être fréquent chez Térésa, que quelque chose la torturait, bien sûr l’endettement dans lequel elle se débat n’arrange rien, on peut imaginer que, encouragée après la lecture des lettres, comme Elizabeth , elle a préféré disparaître sans laisser de traces car avait-elle envie de l’imiter, unie par quelque chose qu’elle ressentait ? Que l’on sache que je ne raconte nullement la fin….A noter que cette disparition pourrait aussi être liée à la souffrance telle qu’Elizabeth l’a ressentie, car malgré le siècle qui les sépare, des secrets et de mauvaises expériences les unissent inexorablement. C’est alternativement dans des aller-retours que nous allons suivre l’histoire de ces deux femmes, dont l’auteure trace un beau portrait. J’ai ressenti ce roman comme étant assez extravagant,c’est bien simple (l’auteure en P.153 nous dit qu’elle nous prévient, que l’histoire est peut-être un rien fantaisiste) malgré cela, c’est un style travaillé pour tracer ces vies de femmes, on y perçoit de la tendresse et nous comprendrons la raison de leur souffrance, ce qui malgré mon ressenti évoqué plus haut a été pour moi un roman bouleversant semé d’émotion que j’ai apprécié 4,5/5
D’Elizabeth à Térésa
Editions Les Escales mars 2019
ISBN 978 2 36569 351 6
379 pages
Quatrième de couverture
Un siècle sépare Teresa et Elizabeth. Pourtant lorsque Teresa disparaît, les lettres d'Elizabeth pourraient bien offrir la clef de ce mystère.
Endettée, Teresa Mendieta doit se résoudre à fermer l'hôtel de la Costa Brava qu'elle gère seule. Cette maison du début du siècle, située au sommet d'une falaise, est intimement liée à son passé et à celui d'une autre femme, Elizabeth Babel, qui y vivait cent ans plus tôt. D'Elizabeth, jeune femme muette et isolée, ne restent que des lettres adressées à elle-même, comme un journal intime, que Teresa garde précieusement.
Lorsque Teresa disparaît sans laisser de traces, le contenu des lettres se révèle plus important que jamais : alors qu'un siècle sépare les deux femmes, plusieurs expériences et goûts communs semblent étrangement les unir...
Véritable hommage au pouvoir de l'écriture et de la transmission, D'Elizabeth à Teresa déploie, à travers les époques, les destinées de personnages féminins inoubliables.
Mon avis
Ce roman c’est le destin de deux femmes, Elizabeth et Térésa que cent ans séparent, cependant une connexion se lie entre les deux parce que Térésa a hérité du journal intime d’Elizabeth, rédigé en forme de lettres que cette dernière muette et isolée, s’écrivait à elle-même, d’ailleurs ces lettres écrites en italiques dans le roman commençait par Chère Elizabeth. J’ai ressenti un mal-être fréquent chez Térésa, que quelque chose la torturait, bien sûr l’endettement dans lequel elle se débat n’arrange rien, on peut imaginer que, encouragée après la lecture des lettres, comme Elizabeth , elle a préféré disparaître sans laisser de traces car avait-elle envie de l’imiter, unie par quelque chose qu’elle ressentait ? Que l’on sache que je ne raconte nullement la fin….A noter que cette disparition pourrait aussi être liée à la souffrance telle qu’Elizabeth l’a ressentie, car malgré le siècle qui les sépare, des secrets et de mauvaises expériences les unissent inexorablement. C’est alternativement dans des aller-retours que nous allons suivre l’histoire de ces deux femmes, dont l’auteure trace un beau portrait. J’ai ressenti ce roman comme étant assez extravagant,c’est bien simple (l’auteure en P.153 nous dit qu’elle nous prévient, que l’histoire est peut-être un rien fantaisiste) malgré cela, c’est un style travaillé pour tracer ces vies de femmes, on y perçoit de la tendresse et nous comprendrons la raison de leur souffrance, ce qui malgré mon ressenti évoqué plus haut a été pour moi un roman bouleversant semé d’émotion que j’ai apprécié 4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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