[Spitzer, Sébastien] Ces rêves qu'on piétine
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[Spitzer, Sébastien] Ces rêves qu'on piétine
[Spitzer, Sébastien] Ces rêves qu'on piétine
Titre: Ces rêves qu'on piétine
Auteur: Sébastien Spitzer
Editions: Éditions de L'Observatoire / Humensis
Genre: Roman historique
Époque: 1945
305 pages
ISBN 979-10-329-0071-0
Quatrième de couverture
Sous les bombardements, dans Berlin assiégé, la femme la plus puissante du IIIe Reich se terre avec ses six enfants dans le dernier refuge des dignitaires de l'Allemagne nazie. L'ambitieuse s'est hissée jusqu'aux plus hautes marches du pouvoir sans jamais se retourner sur ceux qu'elle a sacrifiés. Aux dernières heures du funeste régime, Magda s'enfonce dans l'abîme, avec ses secrets.
Au même moment, des centaines de femmes et d'hommes avancent sur un chemin poussiéreux, s'accrochant à ce qu'il leur reste de vie. Parmi ces survivants de l'enfer des camps, marche une enfant frêle et silencieuse. Ava est la dépositaire d'une tragique mémoire : dans un rouleau de cuir, elle tient cachées les lettres d'un père. Richard Friedländer, raflé parmi les premiers juifs, fut condamné par la folie d'un homme et le silence d'une femme : sa fille.
Elle aurait pu le sauver.
Elle s'appelle Magda Goebbels.
Sébastien Spitzer est journaliste. Ces rêves qu’on piétine est son premier roman.
Mon avis
Un coup de coeur.
Un vocabulaire riche et un style qui accroche.
Les personnages sont très bien affirmés et disparaissent quelquefois trop vite.
Il aurait été très possible que ce roman basé sur des faits avérés ne soit qu'une autre histoire dans cette Deuxième Guerre, mais c'est beaucoup plus que ça. Y sont personnifiés l'angoisse, la folie, la haine, l'innocence sacrifiée ou sauvée, l'indifférence, la vengeance et tout ce qui peut être l'humain.
Ma cote: 8/10.
Un vocabulaire riche et un style qui accroche.
Les personnages sont très bien affirmés et disparaissent quelquefois trop vite.
Il aurait été très possible que ce roman basé sur des faits avérés ne soit qu'une autre histoire dans cette Deuxième Guerre, mais c'est beaucoup plus que ça. Y sont personnifiés l'angoisse, la folie, la haine, l'innocence sacrifiée ou sauvée, l'indifférence, la vengeance et tout ce qui peut être l'humain.
Ma cote: 8/10.
Citations
"Choisir, c'est renoncer." (Page 124)
"Et quand vient la défaite, les héros disparaissent, au profit des héros ennemis."
(Page 165)
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Genre littéraire préféré : Roman historique
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