[Angledroit, Cicéron] Tiens bon l’pinceau, y a des coulures !
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[Angledroit, Cicéron] Tiens bon l’pinceau, y a des coulures !
Titre : Tiens bon l’pinceau, y a des coulures !
Auteur : Cicéron Angledroit
Edition :Palémon
Nombre de pages : 224 pages
Présentation de l’éditeur :
Quand on n’y connaît rien en barbouille, on ferait mieux de se coller devant une série amerloque à la télé. C’est que j’aurais dû faire. C’est ce que je fais de mieux. Alors quelle idée m’a pris d’aller fourrer mon nez dans ces tubes mal rebouchés ? Les odeurs de térébenthine ont rendu tout le monde maboule. Momo tombe amoureux d’une vieille aristo qui balade un mini-chien rose, moi je ne fais que des conneries (manipulé par le bout du nez par une minette. Ça change, hein ?) et René fout des coups de pied dans la fourmilière et des coups de butoirs dans la bonne de notre suspect number One. Le commissaire en perd, momentanément, sa déontologie atavique. Mais heureusement que, même en congé « attentat », Vaness’ ne perd pas le nord. Si elle n’était pas là, il me faudrait l’inventer celle-là.
Mon avis :
Un livre drôle oui, et pourtant, tout avait mal, très mal commencé : Vanessa avait été poignardée ! Non, pas au cours d’une enquête particulièrement sanglante et retorse, elle avait été poignardée par le boucher ! Heureusement, selon la formule consacrée, aucun organe vitale n’a été touchée, et si Cicéron rend visite à sa belle à l’hôpital, si le commissaire Saint-Antoine comprend qu’il devra se passer d’elle pendant un mois – et oui, un mois d’arrêt de travail pour un coup de poignard, je vous laisse juge ! Quant au coupable présumé (oui, restons dans les clous), le responsable n’est autre qu’une regrettable erreur médicale ! Non, je ne vous divulgâche pas le roman, j’anticipe sur la suite, parce que qui a commis l’erreur : le médecin qui a mal dosé la posologie, ou le pharmacien qui n’a pas vérifié le dosage ? Vaste débat, et pourtant, il va falloir trancher, sans pour autant se montrer aussi saignant que le boucher.
Et là, alors que le roman aurait très bien pu s’arrêter là et se concentrer sur la convalescence de Vanessa – dont la maman vient s’installer chez sa fille pour l’aider. Que nenni : le passé de notre détective (oui, je me permet de l’appeler « notre ») resurgit.
Les années lycées, et la plus belle fille de la classe. Enfin, l’une des plus belles, qui avait été victime d’un de ses accidents fréquents à cette époque, et encore trop fréquents de nos jours : une grossesse non désirée. Non, Cicéron n’était pas le père, même si tous les garçons de la classe ont été accusés – ou presque – jusqu’à ce qu’enfin elle tombe sur le bon. Des années après, cette enfant, qui ressemble énormément à sa mère, vient demander de l’aide à Cicéron. Attention ! Les misérables ne sont pas loin ! Sa mère est morte dans un accident, et si son géniteur l’a bel et bien reconnu, et bien cela s’est arrêté là. Elle a été élevée par un beau-père, ni meilleur ni pire qu’un autre. Simplement, il s’est montré incroyablement mesquin en substituant à la fille son seul bien un peu précieux : un tableau de Mijo. Vous ne connaissez pas ? Moi non plus, je vous rassure tout de suite, pour moi, la peinture s’est arrêtée avec Claude Monet ou Auguste Renoir. Non, je ne suis pas excessive, je suis peu amatrice du genre. La mission de Cicéron : enquêter, et mettre la main sur ce tableau.
Aidé par ses auxiliaires indéboulonnables Momo et René, il enquête, il trouve, il décroche le pompon, mais alors l’énorme pompon. Il ne s’attendait pas à cela, moi non plus. Quant au commissaire Saint-Antoine, il n’est pas forcément ravi ravi du résultat ! Je ne vais quand même pas tout raconter !
Mouvementé cette enquête ? Oh que oui ! Le métier de détective est tout sauf reposant, même en prenant quelques pauses le dimanche – il faut bien penser à sa famille – et en pratiquant quelques loisirs. Enquêter peut vous emmener bien plus loin qu’on ne le pense, n’est-ce pas Cicéron ?
Auteur : Cicéron Angledroit
Edition :Palémon
Nombre de pages : 224 pages
Présentation de l’éditeur :
Quand on n’y connaît rien en barbouille, on ferait mieux de se coller devant une série amerloque à la télé. C’est que j’aurais dû faire. C’est ce que je fais de mieux. Alors quelle idée m’a pris d’aller fourrer mon nez dans ces tubes mal rebouchés ? Les odeurs de térébenthine ont rendu tout le monde maboule. Momo tombe amoureux d’une vieille aristo qui balade un mini-chien rose, moi je ne fais que des conneries (manipulé par le bout du nez par une minette. Ça change, hein ?) et René fout des coups de pied dans la fourmilière et des coups de butoirs dans la bonne de notre suspect number One. Le commissaire en perd, momentanément, sa déontologie atavique. Mais heureusement que, même en congé « attentat », Vaness’ ne perd pas le nord. Si elle n’était pas là, il me faudrait l’inventer celle-là.
Mon avis :
Un livre drôle oui, et pourtant, tout avait mal, très mal commencé : Vanessa avait été poignardée ! Non, pas au cours d’une enquête particulièrement sanglante et retorse, elle avait été poignardée par le boucher ! Heureusement, selon la formule consacrée, aucun organe vitale n’a été touchée, et si Cicéron rend visite à sa belle à l’hôpital, si le commissaire Saint-Antoine comprend qu’il devra se passer d’elle pendant un mois – et oui, un mois d’arrêt de travail pour un coup de poignard, je vous laisse juge ! Quant au coupable présumé (oui, restons dans les clous), le responsable n’est autre qu’une regrettable erreur médicale ! Non, je ne vous divulgâche pas le roman, j’anticipe sur la suite, parce que qui a commis l’erreur : le médecin qui a mal dosé la posologie, ou le pharmacien qui n’a pas vérifié le dosage ? Vaste débat, et pourtant, il va falloir trancher, sans pour autant se montrer aussi saignant que le boucher.
Et là, alors que le roman aurait très bien pu s’arrêter là et se concentrer sur la convalescence de Vanessa – dont la maman vient s’installer chez sa fille pour l’aider. Que nenni : le passé de notre détective (oui, je me permet de l’appeler « notre ») resurgit.
Les années lycées, et la plus belle fille de la classe. Enfin, l’une des plus belles, qui avait été victime d’un de ses accidents fréquents à cette époque, et encore trop fréquents de nos jours : une grossesse non désirée. Non, Cicéron n’était pas le père, même si tous les garçons de la classe ont été accusés – ou presque – jusqu’à ce qu’enfin elle tombe sur le bon. Des années après, cette enfant, qui ressemble énormément à sa mère, vient demander de l’aide à Cicéron. Attention ! Les misérables ne sont pas loin ! Sa mère est morte dans un accident, et si son géniteur l’a bel et bien reconnu, et bien cela s’est arrêté là. Elle a été élevée par un beau-père, ni meilleur ni pire qu’un autre. Simplement, il s’est montré incroyablement mesquin en substituant à la fille son seul bien un peu précieux : un tableau de Mijo. Vous ne connaissez pas ? Moi non plus, je vous rassure tout de suite, pour moi, la peinture s’est arrêtée avec Claude Monet ou Auguste Renoir. Non, je ne suis pas excessive, je suis peu amatrice du genre. La mission de Cicéron : enquêter, et mettre la main sur ce tableau.
Aidé par ses auxiliaires indéboulonnables Momo et René, il enquête, il trouve, il décroche le pompon, mais alors l’énorme pompon. Il ne s’attendait pas à cela, moi non plus. Quant au commissaire Saint-Antoine, il n’est pas forcément ravi ravi du résultat ! Je ne vais quand même pas tout raconter !
Mouvementé cette enquête ? Oh que oui ! Le métier de détective est tout sauf reposant, même en prenant quelques pauses le dimanche – il faut bien penser à sa famille – et en pratiquant quelques loisirs. Enquêter peut vous emmener bien plus loin qu’on ne le pense, n’est-ce pas Cicéron ?
Sharon- Modérateur
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Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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