[Séverac, Benoît] Tuer le fils
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[Séverac, Benoît] Tuer lee fils
[Séverac, Benoît] Tuer le fils
[Séverac, Benoît]
Tuer le fils
Editions La manufacture des livres 6 février 2020
280 pages
Quatrième de couverture
Matthieu Fabas a tué parce qu’il voulait prouver qu’il était un homme. Un meurtre inutile, juste pour que son père arrête de le traiter comme un moins que rien. Verdict, 15 ans de prison. Le lendemain de sa libération, c’est le père de Matthieu qui est assassiné et le coupable semble tout désigné. Mais pourquoi Matthieu sacrifierait-il une nouvelle fois sa vie ? Pour l’inspecteur Cérisol chargé de l’enquête et pour ses hommes, cela ne colle pas. Reste à plonger dans l’histoire de ces deux hommes, père et fils, pour comprendre leur terrible relation.
Derrière cette intrigue policière qu’on ne lâche pas, ce nouveau roman de Benoît Séverac nous parle des sommes de courage et de défis, de renoncements et de non-dits qui unissent un père et un fils cherchant tous deux à savoir ce que c’est qu’être un homme.
Mon avis
Les personnages : Mathieu un jeune homme paumé ayant vécu une enfance malheureuse avec son père, Mathieu vient de sortir de prison pour meurtre. On imagine qu’il pourrait bien y retourner, car on vient de découvrir son père mort, est-ce accidentel ou un criminel ? Celà ce sera l’équipe d’enquêteur qui vont essayer de déterminer la cause de cette mort, on pense qu’il est le principal suspect, pour le savoir il faudra lire le roman jusqu’à la fin. Le père était un homme violent et vouait un culte aux officiers nazis, il était membre d’un groupe de motards dangereux aux idées radicales, qui n’hésitaient pas à participer à des séances punitives. Tout cela dans un roman qui dépeint les relations père-fils, il est pourtant dérangeant car l’auteur avec une plume tendre pour nous décrire les trois enquêteurs dont le commandant Cérisol, un homme honnête, j’ai trouvé det homme attachant, j’ai aimé lorsqu’il se retrouve chez lui avec sa femme, c’est un homme humain et lorsqu’il est chez c’est une bouffée d’amour que l’on ressent ? Une belle entente entre les trois policiers avec chacun une vie différente, bref j’ai aimé le style de l’auteur pour nous raconter une histoire que j’ai ressentie réaliste….4,5/5
Tuer le fils
Editions La manufacture des livres 6 février 2020
280 pages
Quatrième de couverture
Matthieu Fabas a tué parce qu’il voulait prouver qu’il était un homme. Un meurtre inutile, juste pour que son père arrête de le traiter comme un moins que rien. Verdict, 15 ans de prison. Le lendemain de sa libération, c’est le père de Matthieu qui est assassiné et le coupable semble tout désigné. Mais pourquoi Matthieu sacrifierait-il une nouvelle fois sa vie ? Pour l’inspecteur Cérisol chargé de l’enquête et pour ses hommes, cela ne colle pas. Reste à plonger dans l’histoire de ces deux hommes, père et fils, pour comprendre leur terrible relation.
Derrière cette intrigue policière qu’on ne lâche pas, ce nouveau roman de Benoît Séverac nous parle des sommes de courage et de défis, de renoncements et de non-dits qui unissent un père et un fils cherchant tous deux à savoir ce que c’est qu’être un homme.
Mon avis
Les personnages : Mathieu un jeune homme paumé ayant vécu une enfance malheureuse avec son père, Mathieu vient de sortir de prison pour meurtre. On imagine qu’il pourrait bien y retourner, car on vient de découvrir son père mort, est-ce accidentel ou un criminel ? Celà ce sera l’équipe d’enquêteur qui vont essayer de déterminer la cause de cette mort, on pense qu’il est le principal suspect, pour le savoir il faudra lire le roman jusqu’à la fin. Le père était un homme violent et vouait un culte aux officiers nazis, il était membre d’un groupe de motards dangereux aux idées radicales, qui n’hésitaient pas à participer à des séances punitives. Tout cela dans un roman qui dépeint les relations père-fils, il est pourtant dérangeant car l’auteur avec une plume tendre pour nous décrire les trois enquêteurs dont le commandant Cérisol, un homme honnête, j’ai trouvé det homme attachant, j’ai aimé lorsqu’il se retrouve chez lui avec sa femme, c’est un homme humain et lorsqu’il est chez c’est une bouffée d’amour que l’on ressent ? Une belle entente entre les trois policiers avec chacun une vie différente, bref j’ai aimé le style de l’auteur pour nous raconter une histoire que j’ai ressentie réaliste….4,5/5
lalyre- Grand sage du forum
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