[Mordillat, Gérard] Subito presto
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[Mordillat, Gérard] Subito Presto
[Mordillat, Gérard] Subito presto
[Mordillat, Gérard]
Subito presto
Editions Albin Michel 26 février 2020
275 pages
Quatrième de couverture
Dans Subito presto, des monstres qui nous ressemblent s'appellent et se répondent. Que ce soit la tragédie d'un homme ridicule qui rejoint l'extrême droite, le délire d'une présidente prête à rétablir l'esclavage pour combattre le chômage, un chauffeur routier vendant son âme au diable pour devenir patron, le fantôme d'un bouffon ou l'homme au cerveau d'enfant qui traverse le monde sans le voir... tous disent ce que nous sommes, ici et maintenant. Autant de textes, autant d'histoires arrachées par poignées à l'actualité, autant de pierres lancées dans le miroir du quotidien pour le briser ; pour découvrir la réalité du monde où nous sommes - violent, grotesque et parfois terriblement drôle.
Après Ces femmes-là, visionnaire et dérangeant, Gérard Mordillat, prix de l'Humour de résistance pour La Brigade du rire, reste fidèle à ses convictions dans ce recueil surprenant, provocateur et ludique.
Mon avis
Ce sont sept nouvelles qui sont rassemblées dans ce livre , certaines ont rapport à notre société actuelle. Comme toujours cet auteur nous fait ressentir les conséquences dramatiques pour certaines nouvelles, d’autres m’ont fait sourire, notamment (La véritable histoire de Riquet à la houppe) par contre une autre que je n’ai pas du tout appréciée. Cependant il faut dire que Gérard Mordillat a l’art de nous transporter dans des mondes différents car autant d’histoires et de textes sont tirés de l’actualité du monde dont nous faisons partie, alors que chacune nous fait ressentir de l’émotion. Des thèmes qui donnent réflexion, que dire des puissants qui corrompent les valeurs, que dire encore des patrons qui sentent venir la crise, se protègent aux détriment de leurs salariés, que dire encore de ce monde violent représenté dans certaines histoires, heureusement certaines sont tout simplement drôles ou parfois grotesques. L’auteur dans sa note en dernière page écrit que ces textes ont – comme on dit – des atomes crochus. Certains sont totalement inédits, d’autres sont parus ici ou là, dans des revues, des publications confidentiels ou chez des éditeurs amis, en les réunissant, ils deviennent d’autres et c’est ce qui en fait une lecture distrayante….
Subito presto
Editions Albin Michel 26 février 2020
275 pages
Quatrième de couverture
Dans Subito presto, des monstres qui nous ressemblent s'appellent et se répondent. Que ce soit la tragédie d'un homme ridicule qui rejoint l'extrême droite, le délire d'une présidente prête à rétablir l'esclavage pour combattre le chômage, un chauffeur routier vendant son âme au diable pour devenir patron, le fantôme d'un bouffon ou l'homme au cerveau d'enfant qui traverse le monde sans le voir... tous disent ce que nous sommes, ici et maintenant. Autant de textes, autant d'histoires arrachées par poignées à l'actualité, autant de pierres lancées dans le miroir du quotidien pour le briser ; pour découvrir la réalité du monde où nous sommes - violent, grotesque et parfois terriblement drôle.
Après Ces femmes-là, visionnaire et dérangeant, Gérard Mordillat, prix de l'Humour de résistance pour La Brigade du rire, reste fidèle à ses convictions dans ce recueil surprenant, provocateur et ludique.
Mon avis
Ce sont sept nouvelles qui sont rassemblées dans ce livre , certaines ont rapport à notre société actuelle. Comme toujours cet auteur nous fait ressentir les conséquences dramatiques pour certaines nouvelles, d’autres m’ont fait sourire, notamment (La véritable histoire de Riquet à la houppe) par contre une autre que je n’ai pas du tout appréciée. Cependant il faut dire que Gérard Mordillat a l’art de nous transporter dans des mondes différents car autant d’histoires et de textes sont tirés de l’actualité du monde dont nous faisons partie, alors que chacune nous fait ressentir de l’émotion. Des thèmes qui donnent réflexion, que dire des puissants qui corrompent les valeurs, que dire encore des patrons qui sentent venir la crise, se protègent aux détriment de leurs salariés, que dire encore de ce monde violent représenté dans certaines histoires, heureusement certaines sont tout simplement drôles ou parfois grotesques. L’auteur dans sa note en dernière page écrit que ces textes ont – comme on dit – des atomes crochus. Certains sont totalement inédits, d’autres sont parus ici ou là, dans des revues, des publications confidentiels ou chez des éditeurs amis, en les réunissant, ils deviennent d’autres et c’est ce qui en fait une lecture distrayante….
lalyre- Grand sage du forum
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