[Coulonges, Henri] Six oies cendrées
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[Coulonges, Henri] Six oies cendrées
[Coulonges, Henri] Six oies cendrées
[Coulonges, Henri]
Six oies cendrées
Livre de poche 3 juin 2003
575 pages
Quatrième de couverture
1943. A Monte Cassino les moines de l'abbaye reçoivent la visite d'un colonel allemand qui les conjure de mettre à l'abri les trésors accumulés là depuis des siècles. Situé sur la ligne de feu, l'édifice risque d'être détruit !
Non loin, dans la nuit baroque de Naples libérée et meurtrie, le destin de trois hommes et de deux femmes semble relié, par un étrange jeu de miroirs, à des événements survenus dans les mêmes lieux plus d'un siècle auparavant. Est-ce là le message que nous laissent ces mystérieuses « Six oies cendrées » ?
Tissant les fils épars de la guerre en Italie et des passions contrariées, Henri Coulonges nous fait plonger avec délices dans le pur plaisir du romanesque.
Mon avis
En effet ces trésors (incunables, reliques, livres précieux etc) qui sont entreposés au monastère doivent être transférés au Vatican. Car nous sommes pendant la seconde guerre mondiale, ce colonel allemand fait des recherches sur la vie secrète de Percy Shelley, surtout un dessin représentant six oies cendrées, pour cela il est prêt à tout surtout qu’au moment de quitter le monastère, il aperçoit un manuel traitant l’histoire des oiseaux de paradis et des toucans, mais que fait-il à cet endroit ? C’est dans Naples bombardée que Percy et son ami Paul, un américain chargé de la protection des monuments historiques sont embusqués, car c’est là que Shelley a vécu de sombres années, tourmenté par le deuil et l’amour, qu’est devenue cette dernière lettre avec six oies dessinée au dos écrite par Mary ayant écrit Frankenstein qui fut son premier roman ? Quel est donc ce message posthume ? Cette histoire de deux hommes avec leur amour contrarié ou leur destin et leurs aventures donnent le désir d’en continuer la lecture bien que des passages trop longs lassent un peu...4/5
Six oies cendrées
Livre de poche 3 juin 2003
575 pages
Quatrième de couverture
1943. A Monte Cassino les moines de l'abbaye reçoivent la visite d'un colonel allemand qui les conjure de mettre à l'abri les trésors accumulés là depuis des siècles. Situé sur la ligne de feu, l'édifice risque d'être détruit !
Non loin, dans la nuit baroque de Naples libérée et meurtrie, le destin de trois hommes et de deux femmes semble relié, par un étrange jeu de miroirs, à des événements survenus dans les mêmes lieux plus d'un siècle auparavant. Est-ce là le message que nous laissent ces mystérieuses « Six oies cendrées » ?
Tissant les fils épars de la guerre en Italie et des passions contrariées, Henri Coulonges nous fait plonger avec délices dans le pur plaisir du romanesque.
Mon avis
En effet ces trésors (incunables, reliques, livres précieux etc) qui sont entreposés au monastère doivent être transférés au Vatican. Car nous sommes pendant la seconde guerre mondiale, ce colonel allemand fait des recherches sur la vie secrète de Percy Shelley, surtout un dessin représentant six oies cendrées, pour cela il est prêt à tout surtout qu’au moment de quitter le monastère, il aperçoit un manuel traitant l’histoire des oiseaux de paradis et des toucans, mais que fait-il à cet endroit ? C’est dans Naples bombardée que Percy et son ami Paul, un américain chargé de la protection des monuments historiques sont embusqués, car c’est là que Shelley a vécu de sombres années, tourmenté par le deuil et l’amour, qu’est devenue cette dernière lettre avec six oies dessinée au dos écrite par Mary ayant écrit Frankenstein qui fut son premier roman ? Quel est donc ce message posthume ? Cette histoire de deux hommes avec leur amour contrarié ou leur destin et leurs aventures donnent le désir d’en continuer la lecture bien que des passages trop longs lassent un peu...4/5
lalyre- Grand sage du forum
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