[Lindenberg, Hugo] Un jour ce sera vide
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[Lindenberg, Hugo] Un jour ce sera vide
[Lindenberg, Hugo] Un jour ce sera vide
[Lindenberg, Hugo]
Un jour ce sera vide
Editions Christian Bourgeois 20 août 2020
172 pages
Quatrième de couverture
C'est un été en Normandie. Le narrateur est encore dans cet état de l'enfance où tout se vit intensément, où l'on ne sait pas très bien qui l'on est, où une invasion de fourmis équivaut à la déclaration d'une guerre qu'il faudra mener de toutes ses forces. Un jour, il rencontre un autre garçon sur la plage, Baptiste. Se noue entre eux une amitié d'autant plus forte qu'elle se fonde sur un déséquilibre : Baptiste a des parents parfaits, habite dans une maison parfaite. Sa famille est l'image d'un bonheur que le narrateur cherche partout, mais qui se refuse à lui.
Flanqué d'une grand-mère à l'accent prononcé, et d'une tante « monstrueuse », notre narrateur rêve, imagine, se raconte des histoires, tente de surpasser la honte sociale et familiale qui le saisit face à son nouvel ami. Il entre dans une zone trouble où le sentiment d'appartenance est ambigu : vers où va, finalement, sa loyauté ?
Écrit dans une langue ciselée et très sensible, Un jour ce sera vide est un roman fait de silences et de scènes lumineuses qu'on quitte avec la mélancolie des fins de vacances. Hugo Lindenberg y explore les sentiments, bons comme mauvais, qui traversent toute famille, et le poids des traumatismes de l'Histoire.
Mon avis
C’est l’histoire d’un jeune garçon, le narrateur, pendant les vacances en Normandie avec sa grand-mère et sa tante et il s’ennuie mais il fait la connaissance de Baptiste, un garçon de son âge, dont on devine qu’il vit dans une famille aisée et qu’il est choyé. Très vite, notre narrateur comprend la différence avec grand-mère immigrée et sa tante monstrueuse. Il a honte de sa mamie, de la maison ou ils occupent un étage alors que Baptiste vit dans une villa, il traîne sur la plage et passe son temps à regarder et écouter les autres familles, il aimerait être un autre que lui-même, il a peur que son ami aperçoive sa tante handicapée. Dans ce roman l’auteur nous fait entrevoir l’ambiance des vacances à la mer, il décrit les rêves et les désillusions de l’enfance, une histoire poétique et nostalgique ou il ne se passe pas grand-chose qui ne m’a nullement accrochée…..
Un jour ce sera vide
Editions Christian Bourgeois 20 août 2020
172 pages
Quatrième de couverture
C'est un été en Normandie. Le narrateur est encore dans cet état de l'enfance où tout se vit intensément, où l'on ne sait pas très bien qui l'on est, où une invasion de fourmis équivaut à la déclaration d'une guerre qu'il faudra mener de toutes ses forces. Un jour, il rencontre un autre garçon sur la plage, Baptiste. Se noue entre eux une amitié d'autant plus forte qu'elle se fonde sur un déséquilibre : Baptiste a des parents parfaits, habite dans une maison parfaite. Sa famille est l'image d'un bonheur que le narrateur cherche partout, mais qui se refuse à lui.
Flanqué d'une grand-mère à l'accent prononcé, et d'une tante « monstrueuse », notre narrateur rêve, imagine, se raconte des histoires, tente de surpasser la honte sociale et familiale qui le saisit face à son nouvel ami. Il entre dans une zone trouble où le sentiment d'appartenance est ambigu : vers où va, finalement, sa loyauté ?
Écrit dans une langue ciselée et très sensible, Un jour ce sera vide est un roman fait de silences et de scènes lumineuses qu'on quitte avec la mélancolie des fins de vacances. Hugo Lindenberg y explore les sentiments, bons comme mauvais, qui traversent toute famille, et le poids des traumatismes de l'Histoire.
Mon avis
C’est l’histoire d’un jeune garçon, le narrateur, pendant les vacances en Normandie avec sa grand-mère et sa tante et il s’ennuie mais il fait la connaissance de Baptiste, un garçon de son âge, dont on devine qu’il vit dans une famille aisée et qu’il est choyé. Très vite, notre narrateur comprend la différence avec grand-mère immigrée et sa tante monstrueuse. Il a honte de sa mamie, de la maison ou ils occupent un étage alors que Baptiste vit dans une villa, il traîne sur la plage et passe son temps à regarder et écouter les autres familles, il aimerait être un autre que lui-même, il a peur que son ami aperçoive sa tante handicapée. Dans ce roman l’auteur nous fait entrevoir l’ambiance des vacances à la mer, il décrit les rêves et les désillusions de l’enfance, une histoire poétique et nostalgique ou il ne se passe pas grand-chose qui ne m’a nullement accrochée…..
lalyre- Grand sage du forum
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