[Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 24 : Gare aux empoisonneuses
Page 1 sur 1
Votre avis
[Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 24 : Gare aux empoisonneuses
Titre : Agatha Raisin – tome 24 : Gare aux empoisonneuses
Auteur : M.C. Beaton
éditeur : Albin Michel
Nombre de pages : 306 pages
Présentation de l’éditeur :
Personne ne peut rester indifférent au charme de Gloria French, une veuve londonienne au rire sonore et aux joues bien roses ! Les habitants des Cotswolds ont accueilli avec joie cette dame toujours prête à rendre service et à lever des fonds pour l’église. Même si sa fâcheuse manie à emprunter des choses à ses voisins, sans jamais les rendre, en irrite plus d’un… Lorsqu’on retrouve Gloria empoisonnée par un vin de sureau qu’elle avait justement « emprunté », c’est le choc. Qui pouvait lui en vouloir ?
À Agatha de résoudre l’énigme et de trouver l’empoisonneur ou l’empoisonneuse…
Mon avis :
Même pour Agatha Raisin, c’est la crise ! Ce n’est pas que les affaires manquent parce qu’ils ne se passent rien, les affaires manquent parce que les clients potentiels n’ont plus les moyens pour l’engager – et Agatha n’a pas envie de licencier un seul membre de son personnel. Elle s’ennuie un peu, heureusement, Mrs Bloxby est là pour la réconforter. Ni l’une ni l’autre ne pensait qu’un meurtre surviendrait bientôt, dans un hameau voisin, et qu’Agatha, au bout de quelques jours d’une enquête qui piétine, serait embauchée pour trouver le coupable.
Les suspects ? Ils sont nombreux. Piddlebury a beau être véritablement une petite commune, avec l’église d’un côté et le pub de l’autre, tous les habitants ou presque pourraient être suspect. Pas le pasteur, non. Ce n’est pas à cause de son métier, c’est uniquement parce qu’il était une des rares personnes à apprécier Gloria. Sa femme ? Fatiguée par ses tâches de femmes de pasteur, elle n’aurait pourtant pas dit non pour arracher les yeux de Gloria. La vieille Mrs Tripp ? Gloria avait beau lui avoir fait la lecture pendant des heures et des heures, elle ne la supportait pas. Je pourrai continuer ainsi longtemps. Fait presque nouveau : Agatha enquête et l’on cherche très vite à la supprimer, de la même manière dont Gloria a été tuée. Ce n’est pas tant qu’Agatha craint pour elle-même – même si l’idée d’être empoisonnée ne lui sourit pas – elle craint pour les membres de son équipe – voir mort Simon ? Hors de question.
Et les amours ? Presque sereine. Agatha est toujours amie avec Charles, et elle a le béguin pour un professeur de chimie rencontré durant son enquête. James pense enfin vivre « une histoire sincère et magnifique ». Quant à Toni, elle s’interroge : pourquoi se lance-t-elle toujours dans des histoires d’amour avec des hommes violents ? Cependant… ah, je ne veux pas trop vous spoiler, mais selon Agatha elle-même, il lui arrivera pire que d’être menacée de mort – et pourtant, elle en verra vraiment des vertes et des pas mûres dans cette enquête. Quoi ? Ah, je ne le dirai pas, je dirai simplement que certains donnent fortement l’impression de vivre encore comme si l’on était au moyen-âge ou dans les années cinquante, aucune de ses options n’est préférable !
PS : ne ratez pas le mémorable passage télévisé d’Agatha, qui devrait lui assurer une longue postérité.
Auteur : M.C. Beaton
éditeur : Albin Michel
Nombre de pages : 306 pages
Présentation de l’éditeur :
Personne ne peut rester indifférent au charme de Gloria French, une veuve londonienne au rire sonore et aux joues bien roses ! Les habitants des Cotswolds ont accueilli avec joie cette dame toujours prête à rendre service et à lever des fonds pour l’église. Même si sa fâcheuse manie à emprunter des choses à ses voisins, sans jamais les rendre, en irrite plus d’un… Lorsqu’on retrouve Gloria empoisonnée par un vin de sureau qu’elle avait justement « emprunté », c’est le choc. Qui pouvait lui en vouloir ?
À Agatha de résoudre l’énigme et de trouver l’empoisonneur ou l’empoisonneuse…
Mon avis :
Même pour Agatha Raisin, c’est la crise ! Ce n’est pas que les affaires manquent parce qu’ils ne se passent rien, les affaires manquent parce que les clients potentiels n’ont plus les moyens pour l’engager – et Agatha n’a pas envie de licencier un seul membre de son personnel. Elle s’ennuie un peu, heureusement, Mrs Bloxby est là pour la réconforter. Ni l’une ni l’autre ne pensait qu’un meurtre surviendrait bientôt, dans un hameau voisin, et qu’Agatha, au bout de quelques jours d’une enquête qui piétine, serait embauchée pour trouver le coupable.
Les suspects ? Ils sont nombreux. Piddlebury a beau être véritablement une petite commune, avec l’église d’un côté et le pub de l’autre, tous les habitants ou presque pourraient être suspect. Pas le pasteur, non. Ce n’est pas à cause de son métier, c’est uniquement parce qu’il était une des rares personnes à apprécier Gloria. Sa femme ? Fatiguée par ses tâches de femmes de pasteur, elle n’aurait pourtant pas dit non pour arracher les yeux de Gloria. La vieille Mrs Tripp ? Gloria avait beau lui avoir fait la lecture pendant des heures et des heures, elle ne la supportait pas. Je pourrai continuer ainsi longtemps. Fait presque nouveau : Agatha enquête et l’on cherche très vite à la supprimer, de la même manière dont Gloria a été tuée. Ce n’est pas tant qu’Agatha craint pour elle-même – même si l’idée d’être empoisonnée ne lui sourit pas – elle craint pour les membres de son équipe – voir mort Simon ? Hors de question.
Et les amours ? Presque sereine. Agatha est toujours amie avec Charles, et elle a le béguin pour un professeur de chimie rencontré durant son enquête. James pense enfin vivre « une histoire sincère et magnifique ». Quant à Toni, elle s’interroge : pourquoi se lance-t-elle toujours dans des histoires d’amour avec des hommes violents ? Cependant… ah, je ne veux pas trop vous spoiler, mais selon Agatha elle-même, il lui arrivera pire que d’être menacée de mort – et pourtant, elle en verra vraiment des vertes et des pas mûres dans cette enquête. Quoi ? Ah, je ne le dirai pas, je dirai simplement que certains donnent fortement l’impression de vivre encore comme si l’on était au moyen-âge ou dans les années cinquante, aucune de ses options n’est préférable !
PS : ne ratez pas le mémorable passage télévisé d’Agatha, qui devrait lui assurer une longue postérité.
Sharon- Modérateur
-
Nombre de messages : 13263
Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
Sujets similaires
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 14 : gare aux fantomes
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 19 : Agatha Raisin and a Spoonful of Poison
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 30 : Bonnet d'âne !
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 31 : Au galop !
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 15 : Bal fatal
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 19 : Agatha Raisin and a Spoonful of Poison
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 30 : Bonnet d'âne !
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 31 : Au galop !
» [Beaton, M.C.] Agatha Raisin - Tome 15 : Bal fatal
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum