[Peyramaure, Michel] La scandaleuse
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[Peyramaure, Michel] La scandaleuse
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[Peyramaure, Michel]
La scandaleuse
Le roman de Louise Labé
Editions Calmann Lévy 26 août 2020
204 pages
Quatrième de couverture
Rien ne prédestinait Louise Labé à devenir la plus grande poétesse de la Renaissance, hormis son talent et sa liberté de penser.
Très tôt, elle apprend le maniement des armes auprès de son frère et l’accompagne, travestie en homme, dans une campagne militaire.
Intelligente et intrépide, la Belle Cordière ne tarde pas à devenir célèbre dans le milieu littéraire lyonnais et le cercle de la Pléiade où elle déchaîne les passions et collectionne les amants. Nombre d’entre eux lui dédieront des vers enflammés : Jean de Vauzelles, Clément Marot, Pontus de Tyard, Olivier de Magny, Pierre Woeriot…
Parfois accusée de sorcellerie, souvent traitée de catin, Louise a surtout vécu libre… Comme nombre de femmes de son époque. Sa véritable faute a été de l’écrire, de donner une voix au désir féminin dans des vers à la sensualité assumée et de revendiquer pour ses soeurs la liberté qu’elle s’est elle-même octroyé
Mon avis
Michel Peyramaure prenant la voix de Louise Labé pour écrire ce roman à la première personne faisant le choix de raconter et passer en revue les grands moments de la vie ainsi que les nombreuses conquêtes amoureuses de la poétesse Louise Labé, qu’on appelait La belle Cordière, nous sommes dans le milieu littéraire du XVlème à Lyon. Il n’y a pas de grands sentiments dans ce récit, par exemple quand elle raconte froidement son propre viol ainsi qu la mort épouvantable de son ami Etienne Dolet, qui était écrivain-imprimeur, à certains passages on perçoit une hésitation pour la narration de faits historiques (guerres de religion) toujours sur le même ton, Louise Labé nous conte des épisodes de sa vie intellectuelle, c’est une héroïne que l’on pourrait dire moderne car très libre dans sa vie sentimentale, par contre je n’ai guère ressenti de poésie qui me parut balayée ainsi que les difficultés de la condition féminine à cette époque, cependant ce récit m’a permis de connaître Louise Labé dans son intimité….
La scandaleuse
Le roman de Louise Labé
Editions Calmann Lévy 26 août 2020
204 pages
Quatrième de couverture
Rien ne prédestinait Louise Labé à devenir la plus grande poétesse de la Renaissance, hormis son talent et sa liberté de penser.
Très tôt, elle apprend le maniement des armes auprès de son frère et l’accompagne, travestie en homme, dans une campagne militaire.
Intelligente et intrépide, la Belle Cordière ne tarde pas à devenir célèbre dans le milieu littéraire lyonnais et le cercle de la Pléiade où elle déchaîne les passions et collectionne les amants. Nombre d’entre eux lui dédieront des vers enflammés : Jean de Vauzelles, Clément Marot, Pontus de Tyard, Olivier de Magny, Pierre Woeriot…
Parfois accusée de sorcellerie, souvent traitée de catin, Louise a surtout vécu libre… Comme nombre de femmes de son époque. Sa véritable faute a été de l’écrire, de donner une voix au désir féminin dans des vers à la sensualité assumée et de revendiquer pour ses soeurs la liberté qu’elle s’est elle-même octroyé
Mon avis
Michel Peyramaure prenant la voix de Louise Labé pour écrire ce roman à la première personne faisant le choix de raconter et passer en revue les grands moments de la vie ainsi que les nombreuses conquêtes amoureuses de la poétesse Louise Labé, qu’on appelait La belle Cordière, nous sommes dans le milieu littéraire du XVlème à Lyon. Il n’y a pas de grands sentiments dans ce récit, par exemple quand elle raconte froidement son propre viol ainsi qu la mort épouvantable de son ami Etienne Dolet, qui était écrivain-imprimeur, à certains passages on perçoit une hésitation pour la narration de faits historiques (guerres de religion) toujours sur le même ton, Louise Labé nous conte des épisodes de sa vie intellectuelle, c’est une héroïne que l’on pourrait dire moderne car très libre dans sa vie sentimentale, par contre je n’ai guère ressenti de poésie qui me parut balayée ainsi que les difficultés de la condition féminine à cette époque, cependant ce récit m’a permis de connaître Louise Labé dans son intimité….
lalyre- Grand sage du forum
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