[Irolla, Ludivine] Adèle, licorne malgré elle
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[Irolla, Ludivine] Adèle, licorne malgré elle
Titre : Adèle, licorne malgré elle
Auteur : Ludivine Irolla
édition : Poulpe fictions
Nombre de pages : 168 pages.
Présentation de l’éditeur :
Adèle, cheval à corne et anti-magie !
Adèle est un cheval presque comme les autres : elle est née avec une corne sur la tête, mais dans la ferme où elle habite, aux côtés de Toto la tortue à deux pattes et du chien aveugle, personne ne fait attention à cette particularité. Tous ces animaux issus de refuges ont été recueillis par Norbert, fermier au grand cœur, qui vit seul avec sa fille, Julie. La vie souriait déjà particulièrement aux Bontemps, quand Norbert gagne le plus gros prix à la loterie. Leur réussite finit par attirer les convoitises, on cherche à quoi elle pourrait tenir. C’est un enfant qui découvre le pot aux roses : Norbert abrite (sans le savoir) une licorne, évidemment responsable de leur bonheur ! La licorne nie : elle est un cheval normal et est en plus anti-magie !
Mon avis :
Adèle est une licorne ? Première nouvelle ! Elle n’est absolument pas au courant. Elle est simplement un cheval un peu différent, un peu dysfonctionnel. Elle est surtout un cheval dont personne n’a voulu, un cheval laissé-pour-compte comme tous les animaux qui partage la vie de Norbert, fermier au grand coeur, et de Julie, sa fille, fan absolue de Véyoncé.
Alors oui, le roman pourrait paraître au début comme un simple conte, avec cette licorne qui a apporté la chance dans la ferme où elle vit, cette licorne qui s’ignore mais exauce les vœux, il s’avère être bien plus profond que cela. Déjà, il nous parle de la maltraitance animale, de ces animaux qui ont été rejetés, à cause de la différence, ou parce qu’ils étaient à bout de la maltraitance, et ont eu bien de la chance, finalement, d’en réchapper. Puis, il nous parle aussi de ceux qui entendent vivre comme ils l’entendent, loin des racontars et aussi loin de tout battage médiatique. Enfin, il se demande en quoi consistent ces fameux voeux dont tant de personnes souhaitent l’accomplissement. Adèle s’en rend très vite compte : les voeux sont avant tout pour soi, et rarement pour aider les autres. Puis, avoir de la chance, si c’était plutôt ce que nous montrait Adèle ?
La chance, c’est d’avoir une famille qui vous aime, même si elle est composée d’un fermier grognon, d »une jeune fille enflammée, d’une tortue sans pattes, d’une chienne aveugle, de lapins albinos, d’une chèvre vénère, d’un cheval flippé, d’un coq qui chante mal, d’une truie aux bonnes manières et d’un chat égoïste.
Un très joli roman.
Auteur : Ludivine Irolla
édition : Poulpe fictions
Nombre de pages : 168 pages.
Présentation de l’éditeur :
Adèle, cheval à corne et anti-magie !
Adèle est un cheval presque comme les autres : elle est née avec une corne sur la tête, mais dans la ferme où elle habite, aux côtés de Toto la tortue à deux pattes et du chien aveugle, personne ne fait attention à cette particularité. Tous ces animaux issus de refuges ont été recueillis par Norbert, fermier au grand cœur, qui vit seul avec sa fille, Julie. La vie souriait déjà particulièrement aux Bontemps, quand Norbert gagne le plus gros prix à la loterie. Leur réussite finit par attirer les convoitises, on cherche à quoi elle pourrait tenir. C’est un enfant qui découvre le pot aux roses : Norbert abrite (sans le savoir) une licorne, évidemment responsable de leur bonheur ! La licorne nie : elle est un cheval normal et est en plus anti-magie !
Mon avis :
Adèle est une licorne ? Première nouvelle ! Elle n’est absolument pas au courant. Elle est simplement un cheval un peu différent, un peu dysfonctionnel. Elle est surtout un cheval dont personne n’a voulu, un cheval laissé-pour-compte comme tous les animaux qui partage la vie de Norbert, fermier au grand coeur, et de Julie, sa fille, fan absolue de Véyoncé.
Alors oui, le roman pourrait paraître au début comme un simple conte, avec cette licorne qui a apporté la chance dans la ferme où elle vit, cette licorne qui s’ignore mais exauce les vœux, il s’avère être bien plus profond que cela. Déjà, il nous parle de la maltraitance animale, de ces animaux qui ont été rejetés, à cause de la différence, ou parce qu’ils étaient à bout de la maltraitance, et ont eu bien de la chance, finalement, d’en réchapper. Puis, il nous parle aussi de ceux qui entendent vivre comme ils l’entendent, loin des racontars et aussi loin de tout battage médiatique. Enfin, il se demande en quoi consistent ces fameux voeux dont tant de personnes souhaitent l’accomplissement. Adèle s’en rend très vite compte : les voeux sont avant tout pour soi, et rarement pour aider les autres. Puis, avoir de la chance, si c’était plutôt ce que nous montrait Adèle ?
La chance, c’est d’avoir une famille qui vous aime, même si elle est composée d’un fermier grognon, d »une jeune fille enflammée, d’une tortue sans pattes, d’une chienne aveugle, de lapins albinos, d’une chèvre vénère, d’un cheval flippé, d’un coq qui chante mal, d’une truie aux bonnes manières et d’un chat égoïste.
Un très joli roman.
Sharon- Modérateur
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Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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