[Lecaye, Alexis] Les Dames - Tome 6 : Dame de Feu
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[Lecaye, Alexis] Les Dames - Tome 6 : Dame de Feu
Titre : Dame de Feu
Auteur : Alexis Lecaye
éditeur : édition du Masque
Nombre de pages : 360 pages
Présentation de l’éditeur :
Un tueur anonyme exécute huit personnes dans le bus 86, boulevard Henri-IV à Paris.
Le commissaire Martin apprend le soir même que sa compagne Marion fait partie des victimes.
Au fin fond de la région parisienne, dans la campagne du Vexin, un adolescent vit une folle passion avec la mère de son meilleur ami.
Quel terrible secret lie cet amour éperdu au massacre ?
C’est à la seule condition de le découvrir que Martin et son équipe pourront empêcher un autre carnage. Mais à quel prix ?
Mon avis :
Comment dire ? J’aurai aimé être enthousiaste, et je ne le suis pas. Il faut dire aussi qu’avant de lire le livre, j’avais vu l’épisode de la série télévisée qui lui correspondait, et je n’ai pas été convaincue.
Pourtant, cela commençait fort, avec la mort de huit personnes dans un bus, dont Marion, la compagne de Martin, le super-flic. Coup de théâtre à la fin du chapitre : Marion est bien vivante, elle a simplement donné sa carte de presse à une copine qui voulait faire l’interview à sa place et surtout, lui fournir un alibi pendant que Marion tromperait dans la joie et la bonne humeur Martin avec un petit jeune de son journal. Vous aurez droit à tous leurs états d’âme – enfin, surtout celui de Marion, qui se demande pourquoi elle a trompé Martin, pourquoi Martin ne lui pardonne pas, pourquoi elle a choisi cet amant-là, pourquoi cela ne s’est pas aussi bien passé que prévu. Ah, c’est sa faute, elle n’a pas assez eu d’amants pour que sa liaison se passe bien. Au secours !!! (J’espère que mon cri de détresse est bien audible, je ne suis pas psy pour couple romanesque.) J’ajoute que son ex, sa fille, et d’autres encore donneront leur avis sur le couple de Martin, ou plutôt sur sa séparation que personne ou presque ne comprend. Je rajoute que Jeannette, sa coéquipière préférée, a elle aussi une vie amoureuse des plus compliquées. Je vous fais grâce de ses précédents amoureux, morts ou vivants. J’aimerai aussi que l’auteur nous ait fait grâce des scènes érotiques – ou qui se veulent telles. Le lecteur aura compris qu’entre Jeannette et son amant, c’est passionné, on est content pour eux, mais franchement… bof. Il est vrai que Jeannette est harcelée par une femme qui ne supporte pas de les voir ensemble, et qui parvient même à obtenir des renseignements sur Jeannette via une jeune collègue – il est des policiers qui ne sont pas doués.
L’enquête ? Ah, oui, ils enquêtent, surtout de d’autres affaires viennent se greffer à l’affaire principale, affaire sordide, trop fréquentes hélas, dont la résolution est rarement satisfaisante. Ce n’est pas tant le mobile du tueur qui m’étonne – il est tout de même des pathologies psychiatriques rares et tirées par les cheveux – que la manière dont les policiers et les magistrats sont dépeints dans ce roman. Les policiers sont au mieux peu compétents, au pire tout prêt à tirer profit, de quelques manières que ce soir, des affaires sur lesquelles ils sont chargés d’enquêter. Les magistrats ? Pas mieux. Pire, dirai-je même. Nous sommes loin de l’univers du Juge est une femme. Ah, je ne vous l’ai pas précisé ? Ces policiers et ces magistrats défaillants sont en fait des policières et des magistrates. On n’arrête pas le progrès.
Auteur : Alexis Lecaye
éditeur : édition du Masque
Nombre de pages : 360 pages
Présentation de l’éditeur :
Un tueur anonyme exécute huit personnes dans le bus 86, boulevard Henri-IV à Paris.
Le commissaire Martin apprend le soir même que sa compagne Marion fait partie des victimes.
Au fin fond de la région parisienne, dans la campagne du Vexin, un adolescent vit une folle passion avec la mère de son meilleur ami.
Quel terrible secret lie cet amour éperdu au massacre ?
C’est à la seule condition de le découvrir que Martin et son équipe pourront empêcher un autre carnage. Mais à quel prix ?
Mon avis :
Comment dire ? J’aurai aimé être enthousiaste, et je ne le suis pas. Il faut dire aussi qu’avant de lire le livre, j’avais vu l’épisode de la série télévisée qui lui correspondait, et je n’ai pas été convaincue.
Pourtant, cela commençait fort, avec la mort de huit personnes dans un bus, dont Marion, la compagne de Martin, le super-flic. Coup de théâtre à la fin du chapitre : Marion est bien vivante, elle a simplement donné sa carte de presse à une copine qui voulait faire l’interview à sa place et surtout, lui fournir un alibi pendant que Marion tromperait dans la joie et la bonne humeur Martin avec un petit jeune de son journal. Vous aurez droit à tous leurs états d’âme – enfin, surtout celui de Marion, qui se demande pourquoi elle a trompé Martin, pourquoi Martin ne lui pardonne pas, pourquoi elle a choisi cet amant-là, pourquoi cela ne s’est pas aussi bien passé que prévu. Ah, c’est sa faute, elle n’a pas assez eu d’amants pour que sa liaison se passe bien. Au secours !!! (J’espère que mon cri de détresse est bien audible, je ne suis pas psy pour couple romanesque.) J’ajoute que son ex, sa fille, et d’autres encore donneront leur avis sur le couple de Martin, ou plutôt sur sa séparation que personne ou presque ne comprend. Je rajoute que Jeannette, sa coéquipière préférée, a elle aussi une vie amoureuse des plus compliquées. Je vous fais grâce de ses précédents amoureux, morts ou vivants. J’aimerai aussi que l’auteur nous ait fait grâce des scènes érotiques – ou qui se veulent telles. Le lecteur aura compris qu’entre Jeannette et son amant, c’est passionné, on est content pour eux, mais franchement… bof. Il est vrai que Jeannette est harcelée par une femme qui ne supporte pas de les voir ensemble, et qui parvient même à obtenir des renseignements sur Jeannette via une jeune collègue – il est des policiers qui ne sont pas doués.
L’enquête ? Ah, oui, ils enquêtent, surtout de d’autres affaires viennent se greffer à l’affaire principale, affaire sordide, trop fréquentes hélas, dont la résolution est rarement satisfaisante. Ce n’est pas tant le mobile du tueur qui m’étonne – il est tout de même des pathologies psychiatriques rares et tirées par les cheveux – que la manière dont les policiers et les magistrats sont dépeints dans ce roman. Les policiers sont au mieux peu compétents, au pire tout prêt à tirer profit, de quelques manières que ce soir, des affaires sur lesquelles ils sont chargés d’enquêter. Les magistrats ? Pas mieux. Pire, dirai-je même. Nous sommes loin de l’univers du Juge est une femme. Ah, je ne vous l’ai pas précisé ? Ces policiers et ces magistrats défaillants sont en fait des policières et des magistrates. On n’arrête pas le progrès.
Sharon- Modérateur
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Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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