[Laroche, Agnès] Prunelle, sorcière rebelle
Page 1 sur 1
Votre avis
[Laroche, Agnès] Prunelle, sorcière rebelle
Titre : Prunelle, sorcière rebelle
Auteur : Agnès Laroche
éditeur : Rageot
Nombre de pages : 256 pages
Présentation de l’éditeur :
Prunelle est une sorcerelle qui pratique la magie douce pour améliorer la vie des habitants du comté de Tendreval. Un jour, instinctivement, elle lance un sort de magie forte, strictement réservé aux sorciers, les Eclaireurs. Or le père de Prunelle est le chef des Eclaireurs… Prunelle est confrontée à un dilemme : cacher la vérité à son père qu’elle adore ou lui avouer qu’elle a trahi sa confiance. Elle hésite, mais comment ignorer l’appel de la magie qui palpite en elle ?
Mon avis :
Ce qui m’a attiré en premier dans ce livre, c’est sa couverture, qui est absolument magnifique. Bonne nouvelle : le roman est tout aussi intéressant que le laissait présager la couverture. C’est le deuxième roman d’Agnès Laroche que je lis en peu de temps, et je trouve vraiment remarquable de parvenir à passer ainsi d’un genre (la littérature contemporaine) à un autre (la fantasy) avec la même profondeur.
Le comté de Tendreval est un monde magique et idyllique, un monde où les Eclaireurs et les sorcerelles prodiguent leurs bienfaits. Les sorcerelles rendent heureux, accomplissent toutes les actions qui permettent de remonter le moral. Les Eclaireurs, eux, accomplissent tous les sortilèges réellement utiles. Par choix ? Non. Les femmes n’ont pas le droit de pratiquer la magie forte. Pourquoi ? Parce qu’elles sont des femmes, elles n’ont pas les capacités, la force, le discernement pour pratiquer cette magie. Non, laissons-les faire ce pour quoi elles sont faites. Si ce discours vous semble désuet, il ne l’est pas tant que cela pour certaines personnes ! Oui, le comté de Tendreval est un univers de contes, avec sa magie, et ses interdits, si faciles à transgresser, finalement, mais aux conséquences particulièrement lourdes.
Hélas pour Prunelle, le chef des éclaireurs n’est autre que son père, et son frère, éclaireur lui aussi, entend bien faire respecter la loi, édictée par son père lui-même. A quoi sert d’être parmi les « bons » si personne ne vous empêche d’être cruel ?
J’ai aimé… une intrigue qui monte en puissance, un récit qui évolue et nous emmène toujours là où l’on ne s’y attendait pas. J’ai aimé un récit qui nous montre qu’isoler, ostracisé, ne résout aucun problème – surtout pas quand ceux qui prônent ses solutions sont aveugles.
J’attends le tome 2 avec impatience – en comptant beaucoup sur Nox.
Auteur : Agnès Laroche
éditeur : Rageot
Nombre de pages : 256 pages
Présentation de l’éditeur :
Prunelle est une sorcerelle qui pratique la magie douce pour améliorer la vie des habitants du comté de Tendreval. Un jour, instinctivement, elle lance un sort de magie forte, strictement réservé aux sorciers, les Eclaireurs. Or le père de Prunelle est le chef des Eclaireurs… Prunelle est confrontée à un dilemme : cacher la vérité à son père qu’elle adore ou lui avouer qu’elle a trahi sa confiance. Elle hésite, mais comment ignorer l’appel de la magie qui palpite en elle ?
Mon avis :
Ce qui m’a attiré en premier dans ce livre, c’est sa couverture, qui est absolument magnifique. Bonne nouvelle : le roman est tout aussi intéressant que le laissait présager la couverture. C’est le deuxième roman d’Agnès Laroche que je lis en peu de temps, et je trouve vraiment remarquable de parvenir à passer ainsi d’un genre (la littérature contemporaine) à un autre (la fantasy) avec la même profondeur.
Le comté de Tendreval est un monde magique et idyllique, un monde où les Eclaireurs et les sorcerelles prodiguent leurs bienfaits. Les sorcerelles rendent heureux, accomplissent toutes les actions qui permettent de remonter le moral. Les Eclaireurs, eux, accomplissent tous les sortilèges réellement utiles. Par choix ? Non. Les femmes n’ont pas le droit de pratiquer la magie forte. Pourquoi ? Parce qu’elles sont des femmes, elles n’ont pas les capacités, la force, le discernement pour pratiquer cette magie. Non, laissons-les faire ce pour quoi elles sont faites. Si ce discours vous semble désuet, il ne l’est pas tant que cela pour certaines personnes ! Oui, le comté de Tendreval est un univers de contes, avec sa magie, et ses interdits, si faciles à transgresser, finalement, mais aux conséquences particulièrement lourdes.
Hélas pour Prunelle, le chef des éclaireurs n’est autre que son père, et son frère, éclaireur lui aussi, entend bien faire respecter la loi, édictée par son père lui-même. A quoi sert d’être parmi les « bons » si personne ne vous empêche d’être cruel ?
J’ai aimé… une intrigue qui monte en puissance, un récit qui évolue et nous emmène toujours là où l’on ne s’y attendait pas. J’ai aimé un récit qui nous montre qu’isoler, ostracisé, ne résout aucun problème – surtout pas quand ceux qui prônent ses solutions sont aveugles.
J’attends le tome 2 avec impatience – en comptant beaucoup sur Nox.
Sharon- Modérateur
-
Nombre de messages : 13271
Age : 46
Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
Sujets similaires
» [Laroche, Agnès] Prunelle, l'ultime sortilège
» [Laroche, Agnès] La dragonne de minuit
» [Laroche, Agnès] Notre monstre
» Les carnets d'Agnès - Premier carnet [Abecassis, Agnès]
» [Desjours, Ingrid] La prunelle de ses yeux
» [Laroche, Agnès] La dragonne de minuit
» [Laroche, Agnès] Notre monstre
» Les carnets d'Agnès - Premier carnet [Abecassis, Agnès]
» [Desjours, Ingrid] La prunelle de ses yeux
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum