[Arnaud, Clara] La verticale du fleuve
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[Arnaud, Clara] La verticale du fleuve
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[Arnaud, Clara]
La verticale du fleuve
Actes Sud 7 avril 2021
378 pages
Quatrième de couverture
Un matin de mai 2012, Suyapa, une militante écologiste de la communauté lenchua, est retrouvée dans son lit, le corps criblé de balles. Sa mort brutale réunit ses trois filles, Marla, Indira et Luisa, dans le village de montagne qui les a vues naître, et que les deux aînées ont quitté depuis dix ans. Pour elles, il ne fait aucun doute que le mobile est politique : leur mère dérangeait, elle a été réduite au silence. Un an après les faits, l’ouverture du procès des meurtriers présumés coïncide avec le lancement de la construction d’un barrage hydroélectrique, contre lequel Suyapa s’est longtemps bat tue. Un édifice monumental, qui domestiquera le cours du río Lindo, fera de leur bourgade une pionnière en matière d’énergies renouvelables, mais altérera à jamais la terre de leurs ancêtres et son écosystème. Divisées sur la question, les filles de Suyapa s’émancipent peu à peu de la figure tutélaire de leur mère et voient disparaître le monde de leur enfance, tandis qu’affluent des centaines d’ingénieurs et d’ouvriers, pour qui le chantier représente tout à la fois la promesse d’emplois et de meilleurs lendemains, un terrain de jeu où assouvir leurs ambitions et leurs pulsions démiurgiques.
Mettant en scène les enjeux politiques et les aléas écosystémiques d’une modernité “verte”, Clara Arnaud signe une épopée familiale et chorale envoûtante, chargée de lyrisme et d’âpreté.
Mon avis
En Amérique Centrale, un énorme projet pour l’édification d’un barrage dans un vallon isolé, l’assassinat d’une jeune femme militante de la cause des indiens, trois sœurs qui se trouvent confrontées à l’édification du barrage qui va faire disparaître de nombreux villages de la vallée et supprimer la terre de leurs ancêtres, des enjeux politiques, la vie des ouvriers menacée à cause du : rythme que les chefs leurs imposent, tout cela crée des images tellement il y a beaucoup trop de descriptions ( ceci n’est que mon avis) , une histoire d’amour pour rafraîchir ce qu’on pourrait appeler une saga familiale mais aussi des enjeux politiques, un roman âpre que je n’ai pas trop apprécié peut-être à cause de longues descriptions qui ne m’ont pas trop intéressées….
La verticale du fleuve
Actes Sud 7 avril 2021
378 pages
Quatrième de couverture
Un matin de mai 2012, Suyapa, une militante écologiste de la communauté lenchua, est retrouvée dans son lit, le corps criblé de balles. Sa mort brutale réunit ses trois filles, Marla, Indira et Luisa, dans le village de montagne qui les a vues naître, et que les deux aînées ont quitté depuis dix ans. Pour elles, il ne fait aucun doute que le mobile est politique : leur mère dérangeait, elle a été réduite au silence. Un an après les faits, l’ouverture du procès des meurtriers présumés coïncide avec le lancement de la construction d’un barrage hydroélectrique, contre lequel Suyapa s’est longtemps bat tue. Un édifice monumental, qui domestiquera le cours du río Lindo, fera de leur bourgade une pionnière en matière d’énergies renouvelables, mais altérera à jamais la terre de leurs ancêtres et son écosystème. Divisées sur la question, les filles de Suyapa s’émancipent peu à peu de la figure tutélaire de leur mère et voient disparaître le monde de leur enfance, tandis qu’affluent des centaines d’ingénieurs et d’ouvriers, pour qui le chantier représente tout à la fois la promesse d’emplois et de meilleurs lendemains, un terrain de jeu où assouvir leurs ambitions et leurs pulsions démiurgiques.
Mettant en scène les enjeux politiques et les aléas écosystémiques d’une modernité “verte”, Clara Arnaud signe une épopée familiale et chorale envoûtante, chargée de lyrisme et d’âpreté.
Mon avis
En Amérique Centrale, un énorme projet pour l’édification d’un barrage dans un vallon isolé, l’assassinat d’une jeune femme militante de la cause des indiens, trois sœurs qui se trouvent confrontées à l’édification du barrage qui va faire disparaître de nombreux villages de la vallée et supprimer la terre de leurs ancêtres, des enjeux politiques, la vie des ouvriers menacée à cause du : rythme que les chefs leurs imposent, tout cela crée des images tellement il y a beaucoup trop de descriptions ( ceci n’est que mon avis) , une histoire d’amour pour rafraîchir ce qu’on pourrait appeler une saga familiale mais aussi des enjeux politiques, un roman âpre que je n’ai pas trop apprécié peut-être à cause de longues descriptions qui ne m’ont pas trop intéressées….
lalyre- Grand sage du forum
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