[Leroux, Gaston] La poupée sanglante
2 participants
Page 1 sur 1
Votre avis sur : La poupée sanglante
[Leroux, Gaston] La poupée sanglante
Auteur : LEROUX, Gaston
Titre : La poupée sanglante
Parution : 1923
Éditions : Groupe DDB, 2011
Collection : Motifs
ISBN : 978-2-268-07119-0
Nombre de pages : 296
Préface : Francis Lacassin
Genre : Policier
Quatrième de couverture :
Au moment où Leroux compose ''La poupée sanglante'' (1923), la France est encore sous le choc du procès d'Henri Landru, qui sert de déclic à la genèse du roman. Mais se contenter d'un héros devenu tueur en série par simple cupidité aurait été indigne de l'imagination de Leroux. Il a donc fait du relieur Masson l'instrument d'un grand dessein qui le dépasse : le mystère de la vie et de la mort. Leroux dépoussière les vieux mythes de Dracula et Frankenstein, les débarrasse de leurs artifices gothiques et les modernise grâce à un habillage scientifique. Benedict Masson ne proclame-t-il pas : < < De nos jours, le vampirisme ne peut être que scientifique... > >
Une des meilleures œuvres de Gaston Leroux, trop souvent méconnue au profit des Aventures de "Rouletabille" ou de "Chéri-Bibi"
Mon avis :
Dans notre capitale des années vingt, vivait dans le quartier de l'Ile Saint Louis, un relieur du nom de Benedict Masson. Ayant 35 ans au moment de l'histoire, il avait une particularité : il était extrêmement laid !
Pour son grand malheur, il était follement amoureux de Christine, la fille d'un horloger, vivant dans une maison en face de la sienne.
Je vous laisse lui même vous avouer son tourment :
(p.26) - < < Et voici qu'il est temps que je vous dise pourquoi je n'avais aucun espoir du côté de Christine ; cela tient en trois mots ! ... Je suis laid ! > >
Christine Norbert, vivait avec son père et était fiancée à un scientifique. Inutile de dire que Benedict Masson passait ses soirées à regarder par une lucarne ce qui se passait chez ses voisins. Il suivait les moindres mouvements de Christine à travers ce que les fenêtres éclairées pouvaient lui permettre d'apercevoir de la demeure. Hors, il s'y déroulait des faits curieux... Le soir, on pouvait apercevoir un jeune homme tout ce qu'il y a de plus beau. Il était d'une beauté irréelle et portait des vêtement de gentilhomme du temps de la révolution. On ne le voyait jamais arriver ni partir. Si bizarre que cela paraisse, il semblait sortir d'une armoire et y disparaitre à nouveau un peu plus tard, après que la belle Christine l'ait dorloté et passé du temps avec lui.. le père et le fiancé semblant trouver ça normal.
Je n'en dirai pas plus car il est des romans où il ne faut rien dévoiler !
Vous n'obtiendrez pas un mot de plus venant de moi !!!
Je rajouterai seulement que ce roman est excellent car il y est question de mystères, de meurtres, de vampirisme, de morts-vivants et de bien plus encore... le tout réuni dans un polar très bien écrit.
Néanmoins, j'ai été déçue. Le problème, n'est pas que le roman n'est pas une réussite (non, au contraire, il est très bien...) mais que le feuilleton étant passé à la télévision dans les années 70, a été trop bon ! Voilà le problème !
Ceux et celles qui étaient adultes ou enfants (ce qui était mon cas dans les années 70), si ils lisent ce livre en se souvenant de la série télé vont être obligatoirement déçus.
Eh bien oui, c'est extrêmement rare mais il arrive que la série télé, surpasse l’œuvre de laquelle elle est tirée...
Cette histoire est en deux tomes. Le tome 2, porte le titre de : La machine à assassiner
Titre : La poupée sanglante
Parution : 1923
Éditions : Groupe DDB, 2011
Collection : Motifs
ISBN : 978-2-268-07119-0
Nombre de pages : 296
Préface : Francis Lacassin
Genre : Policier
Quatrième de couverture :
Au moment où Leroux compose ''La poupée sanglante'' (1923), la France est encore sous le choc du procès d'Henri Landru, qui sert de déclic à la genèse du roman. Mais se contenter d'un héros devenu tueur en série par simple cupidité aurait été indigne de l'imagination de Leroux. Il a donc fait du relieur Masson l'instrument d'un grand dessein qui le dépasse : le mystère de la vie et de la mort. Leroux dépoussière les vieux mythes de Dracula et Frankenstein, les débarrasse de leurs artifices gothiques et les modernise grâce à un habillage scientifique. Benedict Masson ne proclame-t-il pas : < < De nos jours, le vampirisme ne peut être que scientifique... > >
Une des meilleures œuvres de Gaston Leroux, trop souvent méconnue au profit des Aventures de "Rouletabille" ou de "Chéri-Bibi"
Mon avis :
Dans notre capitale des années vingt, vivait dans le quartier de l'Ile Saint Louis, un relieur du nom de Benedict Masson. Ayant 35 ans au moment de l'histoire, il avait une particularité : il était extrêmement laid !
Pour son grand malheur, il était follement amoureux de Christine, la fille d'un horloger, vivant dans une maison en face de la sienne.
Je vous laisse lui même vous avouer son tourment :
(p.26) - < < Et voici qu'il est temps que je vous dise pourquoi je n'avais aucun espoir du côté de Christine ; cela tient en trois mots ! ... Je suis laid ! > >
Christine Norbert, vivait avec son père et était fiancée à un scientifique. Inutile de dire que Benedict Masson passait ses soirées à regarder par une lucarne ce qui se passait chez ses voisins. Il suivait les moindres mouvements de Christine à travers ce que les fenêtres éclairées pouvaient lui permettre d'apercevoir de la demeure. Hors, il s'y déroulait des faits curieux... Le soir, on pouvait apercevoir un jeune homme tout ce qu'il y a de plus beau. Il était d'une beauté irréelle et portait des vêtement de gentilhomme du temps de la révolution. On ne le voyait jamais arriver ni partir. Si bizarre que cela paraisse, il semblait sortir d'une armoire et y disparaitre à nouveau un peu plus tard, après que la belle Christine l'ait dorloté et passé du temps avec lui.. le père et le fiancé semblant trouver ça normal.
Je n'en dirai pas plus car il est des romans où il ne faut rien dévoiler !
Vous n'obtiendrez pas un mot de plus venant de moi !!!
Je rajouterai seulement que ce roman est excellent car il y est question de mystères, de meurtres, de vampirisme, de morts-vivants et de bien plus encore... le tout réuni dans un polar très bien écrit.
Néanmoins, j'ai été déçue. Le problème, n'est pas que le roman n'est pas une réussite (non, au contraire, il est très bien...) mais que le feuilleton étant passé à la télévision dans les années 70, a été trop bon ! Voilà le problème !
Ceux et celles qui étaient adultes ou enfants (ce qui était mon cas dans les années 70), si ils lisent ce livre en se souvenant de la série télé vont être obligatoirement déçus.
Eh bien oui, c'est extrêmement rare mais il arrive que la série télé, surpasse l’œuvre de laquelle elle est tirée...
Cette histoire est en deux tomes. Le tome 2, porte le titre de : La machine à assassiner
DameLecture- Membre connaisseur
-
Nombre de messages : 341
Localisation : france
Date d'inscription : 12/06/2021
Re: [Leroux, Gaston] La poupée sanglante
Tiens, un autre Gaston Leroux... Tu récidives ?
Je ne connais pas du tout la série, et je n'ai jamais vu le livre. Je ne vois que Le Parfum de la Dame en noir ou Le Mystère de la chambre jaune, à la médiathèque notamment, mais ce serait déjà un début.
Je ne connais pas du tout la série, et je n'ai jamais vu le livre. Je ne vois que Le Parfum de la Dame en noir ou Le Mystère de la chambre jaune, à la médiathèque notamment, mais ce serait déjà un début.
elea2020- Grand sage du forum
-
Nombre de messages : 5875
Age : 56
Localisation : 44
Emploi/loisirs : enseignante en reconversion
Genre littéraire préféré : dystopies et classiques, littérature russe
Date d'inscription : 02/01/2020
Re: [Leroux, Gaston] La poupée sanglante
oui, j'ai fait des récidives Par contre chez Gaston Leroux, j'ai lu les ''Rouletabille'' mais pas les ''Chéri-Bibi'', ça ne m'a jamais rien dit...
DameLecture- Membre connaisseur
-
Nombre de messages : 341
Localisation : france
Date d'inscription : 12/06/2021
Sujets similaires
» [Leroux, Gaston] Le mystère de la chambre jaune
» [Leroux, Gaston] Le fauteuil hanté
» [Leroux, Gaston] Le fantôme de l'opéra
» [Leroux, Gaston] L'homme qui revient de loin
» [Leroux, Gaston] Le parfum de la dame en noir
» [Leroux, Gaston] Le fauteuil hanté
» [Leroux, Gaston] Le fantôme de l'opéra
» [Leroux, Gaston] L'homme qui revient de loin
» [Leroux, Gaston] Le parfum de la dame en noir
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum