[Fenris, Mochael] Jeff Fergusson - Tome 1 : Diamants sur macchabées
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[Fenris, Mochael] Jeff Fergusson - Tome 1 : Diamants sur macchabées
Titre : Jeff Fergusson - Tome 1 : Diamants sur macchabées
Auteur : Michael Fenris
éditeur : Eaux troubles
Nombre de pages : 380 pages
Présentation de l’éditeur :
Ancien policier devenu détective privé, Jefferson Fergusson tente de survivre en acceptant la plupart des enquêtes qui lui sont confiées. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de Véra Llerellyn, dont le frère David a disparu. Alors qu’il est persuadé que le jeune homme est mort et enterré quelque part en ville, Fergusson réalise assez vite qu’il n’est pas seul à s’intéresser à cette disparition soudaine. Il s’agit en particulier de son ancien collègue, Bridges, brutal et retors, devenu chef de ta police, mais également Tony Di Marzo, un gros patron de la pègre locale. Et si l’affaire était liée à un important vol de bijou survenu quelques années plus tôt ? Au fur et à mesure qu’il progresse, avec la désagréable impression qu’on cherche à le doubler, Jeff Fergusson soulève certains secrets qui n’ont pas envie d’être révélés, et réveille de vieilles rancoeurs. Rien n’est jamais bon lorsqu’on hante les rues de « La Ville ». Surtout lorsqu’on est un ancien flic…
Mon avis :
Premier tome des aventures du privé Jeff Fergusson, tome que je lis en deuxième après avoir apprécié la lecture du second tome Vengeance sur pellicule de Michael Fenris. J’ai été logique avec moi-même. Ma manière de lire prouve seulement que l’on peut lire la série dans le désordre, cela ne pose aucun souci, même si le tome 2 comporte quelques allusions au tome 1.
Jeff Fergusson est donc un détective privé. Il a quitté la police parce qu’il était dégoûté de la corruption qui y régnait. Son ancien co-équipier, Taylor Bridges, a d’ailleurs atteint le sommet de la hiérarchie. D’autres policiers ont plutôt fini avec une balle dans le buffet – ce sont des choses qui arrivent. Ce n’est plus le problème de Fergusson. Son problème serait plutôt de boucler ses fins de mois, et de ne pas dépasser une certaine dose d’alcool – il sait ce que trop boire peut coûter à sa santé, en le privant de réflexes vitaux. Il apprécie le jazz, notamment Miles Davis.
Un jour, une riche jeune femme lui demande de rechercher son frère, David. Ils devaient partir ensemble, pour vendre la maison d’une vieille tante, et il s’est évaporé. Que lui est-il arrivé ? Jeff n’est pas vraiment optimiste, il sait trop ce qui se passe dans cette ville. Et pourtant, il va mener l’enquête – il est payé pour cela, et son métier, il le fait bien, et son enquête va faire remonter à la surface une affaire vieille de dix ans.
Roman noir ? Oui. Diamants sur macchabées est un roman contemporain, pourtant, il emprunte tous les codes des romans des années cinquante auquel il rend homme sans les plagier. Le roman ne manquera pas de femmes fatales, qu’elles se nomment Véra ou April. Il ne manquera pas non plus de patrons de la pègre (tous se valent) ou d’hommes de main cognant, tabassant, achevant, ou étant achevé (cela dépend). Jeff a beaucoup de mal non à se sortir indemne de la masse d’embûches et de gros bras qui seront sur son chemin, il a beaucoup de mal à s’en sortir tout court. Il est un détective privé avec trente ans de police derrière lui, non un super héros, et si son corps souffre, se blesse, cicatrise, il reste le plus souvent lucide sur celles et ceux qui l’entourent. Que l’on veuille s’en sortir dans la vie, oui, mais pas par tous les moyens.
Auteur : Michael Fenris
éditeur : Eaux troubles
Nombre de pages : 380 pages
Présentation de l’éditeur :
Ancien policier devenu détective privé, Jefferson Fergusson tente de survivre en acceptant la plupart des enquêtes qui lui sont confiées. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de Véra Llerellyn, dont le frère David a disparu. Alors qu’il est persuadé que le jeune homme est mort et enterré quelque part en ville, Fergusson réalise assez vite qu’il n’est pas seul à s’intéresser à cette disparition soudaine. Il s’agit en particulier de son ancien collègue, Bridges, brutal et retors, devenu chef de ta police, mais également Tony Di Marzo, un gros patron de la pègre locale. Et si l’affaire était liée à un important vol de bijou survenu quelques années plus tôt ? Au fur et à mesure qu’il progresse, avec la désagréable impression qu’on cherche à le doubler, Jeff Fergusson soulève certains secrets qui n’ont pas envie d’être révélés, et réveille de vieilles rancoeurs. Rien n’est jamais bon lorsqu’on hante les rues de « La Ville ». Surtout lorsqu’on est un ancien flic…
Mon avis :
Premier tome des aventures du privé Jeff Fergusson, tome que je lis en deuxième après avoir apprécié la lecture du second tome Vengeance sur pellicule de Michael Fenris. J’ai été logique avec moi-même. Ma manière de lire prouve seulement que l’on peut lire la série dans le désordre, cela ne pose aucun souci, même si le tome 2 comporte quelques allusions au tome 1.
Jeff Fergusson est donc un détective privé. Il a quitté la police parce qu’il était dégoûté de la corruption qui y régnait. Son ancien co-équipier, Taylor Bridges, a d’ailleurs atteint le sommet de la hiérarchie. D’autres policiers ont plutôt fini avec une balle dans le buffet – ce sont des choses qui arrivent. Ce n’est plus le problème de Fergusson. Son problème serait plutôt de boucler ses fins de mois, et de ne pas dépasser une certaine dose d’alcool – il sait ce que trop boire peut coûter à sa santé, en le privant de réflexes vitaux. Il apprécie le jazz, notamment Miles Davis.
Un jour, une riche jeune femme lui demande de rechercher son frère, David. Ils devaient partir ensemble, pour vendre la maison d’une vieille tante, et il s’est évaporé. Que lui est-il arrivé ? Jeff n’est pas vraiment optimiste, il sait trop ce qui se passe dans cette ville. Et pourtant, il va mener l’enquête – il est payé pour cela, et son métier, il le fait bien, et son enquête va faire remonter à la surface une affaire vieille de dix ans.
Roman noir ? Oui. Diamants sur macchabées est un roman contemporain, pourtant, il emprunte tous les codes des romans des années cinquante auquel il rend homme sans les plagier. Le roman ne manquera pas de femmes fatales, qu’elles se nomment Véra ou April. Il ne manquera pas non plus de patrons de la pègre (tous se valent) ou d’hommes de main cognant, tabassant, achevant, ou étant achevé (cela dépend). Jeff a beaucoup de mal non à se sortir indemne de la masse d’embûches et de gros bras qui seront sur son chemin, il a beaucoup de mal à s’en sortir tout court. Il est un détective privé avec trente ans de police derrière lui, non un super héros, et si son corps souffre, se blesse, cicatrise, il reste le plus souvent lucide sur celles et ceux qui l’entourent. Que l’on veuille s’en sortir dans la vie, oui, mais pas par tous les moyens.
Sharon- Modérateur
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Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
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