[Huguen, Hervé] Commissaire Baron - Tome 4 : Le canal des innocentes
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[Huguen, Hervé] Commissaire Baron - Tome 4 : Le canal des innocentes
Titre Le canal des innocentes
Auteur : Hervé Huguen
éditeur : édition du Palémon
Nombre de pages : 350 pages
Présentation de l’éditeur :
1988. En six mois, trois jeunes femmes mystérieusement disparues furent retrouvées le long des berges du canal de Nantes à Brest, victimes d’un tueur maniaque qui ne sera jamais identifié.
Vingt-trois ans plus tard, un corps sans vie est abandonné sur les mêmes rives, le long du seuil de partage de Bout-de-Bois. Puis c’est au tour d’une cinquième jeune femme d’être découverte à proximité de l’écluse de la Prée. Toutes deux présentent exactement les mêmes caractéristiques physiques que les disparues de 1988.
Persuadé que le Prédateur du Canal s’est réveillé, le commissaire Nazer Baron exhume les vieux dossiers.
Mon avis :
Les affaires classées ne le sont jamais réellement.
Vingt-trois ans plus tôt, un criminel n’avait pu être arrêté. Il avait torturé et tué trois femmes. Oui, un suspect avait été identifié, mais il avait été relâché et s’était suicidé peu après avoir été relâché. Aucun autre crime n’avait été commis, mais deux femmes sont tuées, exactement de la même manière. Un copieur ? Cela paraît strictement impossible, tant les similitudes sont nombreuses, pour ne pas dire totales. Le seul homme suspecté ne peut plus l’être. Alors ?
Alors il faut compter sur la patience des enquêteurs et sur une bonne dose de civisme (oui, cela existe encore) de la part de certaines personnes. Toutes les vérités ne sont pas faciles à dire, encore moins à entendre, et pourtant, nous ne le répéterons jamais assez, communiquer est important. Que penser aussi de l’avenir d’un couple quand on ne peut rien dire à son/sa conjoint(e), que l’on n’a pas envie de se retrouver face à elle/lui, ou, pire, que l’on craint de se retrouver face à lui, parce qu’on sait que l’on est dans une impasse ? La violence n’est pas que physique, elle est aussi psychologique, il est toujours bon de le rappeler. Il est bon de rappeler aussi que les enfants se retrouvent (parfois) au centre de tout ceci et se retrouvent victimes collatérales des adultes, quand ils ne sont pas instrumentalisés par eux.
Le canal des innocentes – une enquête solide et étonnante.
Auteur : Hervé Huguen
éditeur : édition du Palémon
Nombre de pages : 350 pages
Présentation de l’éditeur :
1988. En six mois, trois jeunes femmes mystérieusement disparues furent retrouvées le long des berges du canal de Nantes à Brest, victimes d’un tueur maniaque qui ne sera jamais identifié.
Vingt-trois ans plus tard, un corps sans vie est abandonné sur les mêmes rives, le long du seuil de partage de Bout-de-Bois. Puis c’est au tour d’une cinquième jeune femme d’être découverte à proximité de l’écluse de la Prée. Toutes deux présentent exactement les mêmes caractéristiques physiques que les disparues de 1988.
Persuadé que le Prédateur du Canal s’est réveillé, le commissaire Nazer Baron exhume les vieux dossiers.
Mon avis :
Les affaires classées ne le sont jamais réellement.
Vingt-trois ans plus tôt, un criminel n’avait pu être arrêté. Il avait torturé et tué trois femmes. Oui, un suspect avait été identifié, mais il avait été relâché et s’était suicidé peu après avoir été relâché. Aucun autre crime n’avait été commis, mais deux femmes sont tuées, exactement de la même manière. Un copieur ? Cela paraît strictement impossible, tant les similitudes sont nombreuses, pour ne pas dire totales. Le seul homme suspecté ne peut plus l’être. Alors ?
Alors il faut compter sur la patience des enquêteurs et sur une bonne dose de civisme (oui, cela existe encore) de la part de certaines personnes. Toutes les vérités ne sont pas faciles à dire, encore moins à entendre, et pourtant, nous ne le répéterons jamais assez, communiquer est important. Que penser aussi de l’avenir d’un couple quand on ne peut rien dire à son/sa conjoint(e), que l’on n’a pas envie de se retrouver face à elle/lui, ou, pire, que l’on craint de se retrouver face à lui, parce qu’on sait que l’on est dans une impasse ? La violence n’est pas que physique, elle est aussi psychologique, il est toujours bon de le rappeler. Il est bon de rappeler aussi que les enfants se retrouvent (parfois) au centre de tout ceci et se retrouvent victimes collatérales des adultes, quand ils ne sont pas instrumentalisés par eux.
Le canal des innocentes – une enquête solide et étonnante.
Sharon- Modérateur
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Localisation : Normandie
Emploi/loisirs : professeur
Genre littéraire préféré : romans policiers et polars
Date d'inscription : 01/11/2008
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